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Wandering in the streets (Ludmilla)

Euphemia S. Granger
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Euphemia S. Granger
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Jeu 23 Mai - 13:33
Euphemia & Ludmilla
"Wandering in the streets"

Pendant quelques semaines, tu as cru à un peu de tranquillité. Puis tout s'est effondré d'un coup. Ta maîtresse n'avait vraiment pas l'air méchante. Cette fille un peu folle à tes yeux, qui avait eu la bonne idée de t'acheter. Mais chez elle, c'était calme. Pas de paroles dégradantes, pas de coups. Une chose à laquelle tu ne croyais plus. Pendant un moment, tu as songé à rester chez elle. A prendre un peu de repos. Tu n'étais pas si mal là-bas, tu dois l'avouer. Un toit, de la nourriture, des vêtements. Tu avais tout ce qu'il fallait. Et en prime, tu avais pu retrouver la joie de parcourir les touches d'un piano. Dans une famille de musiciens, ce fut facile à trouver.

Mais l'illusion s'est brisée. Tu commençais doucement à lui faire confiance. Jusqu'à ce que tu découvres que ta maîtresse n'en était pas une. Ta maîtresse a toujours été un homme. Et découvrir ce secret, tu ne l'as pas supporté. Il avait voulu te mentir. Dans quel but, tu n'as pas cherché à savoir. Dès que tu as vu ça, tu t'en enfuie. Tu ne voulais pas passer une seconde de plus sous son toit. Tu ne veux plus retourner chez lui. Il a osé te mentir, il a voulu te faire croire qu'il était bon. Au final, il est juste comme les autres. Tu es idiote d'avoir voulu lui faire un peu confiance. Alors que tu le sais, on ne peut faire confiance à personne dans ce monde.

Alors, depuis plusieurs jours, tu erres dans les rues. Hésitante sur ce que tu dois faire. Retourner à l'animalerie ? Déprimer là-bas, tu aimais bien. Et les vendeurs te traitent toujours comme leur pupille. Si tu dis qu'il est arrivé malheur à ton acheteur, ils te croiront. Jamais il ne leur viendrait à l'esprit que tu as pu fuir. Mais retourner là-bas, c'est prendre le risque d'être adoptée à nouveau. Ou de retomber sur ton ancien maître. Alors tu as vite abandonné l'idée. Tu ne veux pas rejoindre les rebelles non plus. Eux aussi ne sont pas digne de confiance. Il ne te reste donc plus qu'à errer dans les rues de la ville.

Tu évites les hunters, sans faire vraiment d'effort pour ça. Tu ne les fuis pas totalement non plus. Si ils te capturent, tant pis. Tu as trouvé un petit coin à peu près tranquille dans une ruelle. Les vêtements que tu portes commencent à sentir, en plus d'avoir de jolies tâches partout. Forcément, vivre à la rue, ça vient avec son lot de difficultés. Tu as songé à te faire passer pour une humaine, le temps de manger et t'habiller. Mais tu n'as pas d'argent. Et il te faudrait de quoi couvrir ta tête, pour cacher les oreilles entre tes épis blonds. Même en laissant pousser, c'est impossible de les cacher totalement. Sans ces oreilles, tu pourrais paraître parfaitement humaine.

Le soleil commence doucement à décliner. Tu sens ton estomac crier famine. Il faut dire que tu n'as rien trouvé à manger depuis hier. Une légère soif a aussi fait son apparition. Étonnamment, tu te refuses à voler. Jusque là, tu as fais les poubelles. Ou parfois pris la charité d'autres hybrides des rues. Cette faim manque de te faire prendre le chemin de l'animalerie. Leur nourriture est infect, mais ce serait mieux que rien. Puis tu te ravises. Animalerie veut dire vente. Et donc maître. Tu ne veux plus de ça. Peut-être qu'il va falloir te résoudre à voler quelque chose. Ou bien à te laisser dépérir dans un coin.

Considérant que le monde dans les rues en train de diminuer, tu pourrais te balader un peu plus librement. Mais tu préfères encore éviter les places très fréquentées. Étonnamment, tu t'es stoppée devant une boutique de vêtement. Tu voudrais tellement changer ta tenue. Celle que tu portes n'apprécie pas trop d'être malmenée par les aléas de la rue. Si elle commence à lâcher, et à se déchirer, on pourra voir ta peau. Il te faudrait une nouvelle tenue pour te couvrir. Mais comment faire sans argent ? Un soupire t'échappe. Dommage que tu n'en ais pas pris chez le maître que tu as fui.
© ASHLING POUR LIBRE GRAPH'


 
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Ludmilla St-Clair
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Ludmilla St-Clair
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Mar 25 Juin - 2:21


Wandering in the streets


Nekaï. Voilà un endroit où l'on ne s'attendait pas à croiser une Grande Créatrice Française. Que venait-elle faire ici? Une excellente question à laquelle elle répondra sans doute simplement pas "je suis là pour le travail", dans la froideur qui lui est propre. Elle n'est pas le genre à donner de longues explications pleines d'émotions, loin d'elle cette idée dérisoire. Si l'on dit souvent que les créatifs sont des personnes sensibles et qui trahissent souvent leurs émotions, Ludmilla devait être une exception à la règle. Mais passons. Nous étions là pour parler de sa présence à Nekaï, n'est-ce pas? Je n'en savais pas plus que vous au sujet des raisons de ce soudain déménagement à l'autre bout du monde, mais elle y était et c'était selon elle tout ce qu'il y avait à savoir.

Arrivée depuis quelques jours dans la Cité des Hybrides, elle n'avait pourtant pas eu beaucoup le loisir d'y flâner. Chose qu'elle aimait pourtant faire: elle explorait toujours les villes qu'elle visitait et en rapportait systématiquement des souvenirs improbables. Mais voilà: à peine avait-elle passé la porte du bureau des arrivées qu'une voiture l'attendait, montée à bord elle eut à peine le temps de jeter ses valises dans sa suite au Grand Hôtel que déjà elle repartait rencontrer son nouveau mécène. Celui-ci disait avoir énormément de monde à lui présenter et cela occupa entièrement ses premières journées. Ludmilla faisait semblant de s'intéresser et suivait les conversations d'une oreille, songeant au temps qu'elle perdait.

Voilà, la voiture la ramenait à l'Hôtel ce soir encore. Il faudrait qu'elle songe à chercher un appartement si elle venait à rester longtemps ici... La tête appuyée sur sa main, accoudée au bord de la fenêtre, elle regardait les rues défiler. Le soleil se couchait sur la ville, encore une journée sans inspiration! Sur un coup de tête, elle ordonnait au chauffeur de s'arrêter et de la déposer là. Celui-ci tentait de lui expliquer qu'elle était bien loin de son Hôtel et qu'elle pourrait se perdre. Elle ne l'écoutait pas et déjà se trouvait hors de la voiture

Le fond de l'air était frais, aussi Ludmilla refermait d'une main son long manteau rouge sur sa poitrine. Dans cette tenue, n'importe qui pouvait la reconnaître, mais elle comptait sur l'incohérence de sa présence ici pour empêcher les potentiels fans de l'assaillir. Elle avait envie de se promener et estimait qu'elle en avait parfaitement le droit, de toute façon. Serrant son petit carnet dans sa poche en cas d'idée volatile, elle inspectait les rues, les gens, tout ce qu'elle voyait. Ces rues étaient différentes de celles de Paris, qu'elle arpentait tous les jours, ... Elles ne ressemblaient pour ainsi dire à rien de ce qu'elle avait connu mais avait quelque chose d'un composite à base de toutes les métropoles du monde. Cela avait quelque chose de fascinant.

Elle arrivait dans une grande avenue qui semblait entièrement faites de boutiques alignées comme des cubes pour enfants. Cela ressemblait à quelque chose qu'elle connaissait bien. Sous une rangée d'arcades, la vitrine d'un magasin de vêtements d'une chaîne qui ne lui était pas inconnue puisqu'elle venait d'aussi loin qu'elle! Et devant la boutique, une jeune femme blonde pauvrement vêtue qui attira la curiosité de notre artiste. Ce n'était pas la première hybride qu'elle croisait depuis son arrivée en ville, son chauffeur lui-même en était un, ni la première pauvresse qui se trouvait sur son chemin, mais elle avait quelque chose de spécial. Était-ce son physique angélique ou ses matières qui s'opposaient tout à fait aux vêtements qu'elle portait? Sans doute un peu des deux. Elle observait la vitrine du magasin qui avait déjà fermé ses portes depuis un bon moment, sans doute rêvait-elle à des vêtements qu'elle ne pouvait s'offrir. En tout cas, si il s'agissait d'une hybride des rues, cela ne faisait pas longtemps.

- Ces couleurs ne sont pas faites pour vous, elles vous effacent. C'est dommage. Fit Ludmilla, sans réfléchir.

Elle avait tendance à se mêler de ce qui ne la regardait pas, surtout quand cela touchait à la mode. Toujours était-il qu'elle n'avait pas simplement mit les pieds dans le plat: elle avait sauté dedans à pieds joints de façon purement volontaire. C'était sa façon à elle d'attirer l'attention de la demoiselle. Énerver quelqu'un était la meilleure façon à son sens de prendre la température, de comprendre le tempérament de la personne à laquelle elle avait à faire. Et critiquer le sens de la mode d'une pauvre hybride qui portait manifestement des vêtements qu'elle n'avait pas choisi ou il y a fort longtemps... Voilà qui avait le mérite d'être énervant.
Et dénué d'empathie.
Ludmilla dans toute sa splendeur.


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