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La chauve-souris salvatrice ♦ PW Marty

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Lun 24 Avr - 17:34
Ame étouffa un bâillement. Sa vision troublée par les larmes de fatigue transforma le visage de la jolie infirmière en une sorte de… d’alien atteint de constipation. Ou quelque chose approchant.
Il soupira, et préféra refermer son carnet pour observer les alentours.

Car il en avait du temps.
Les hybrides avaient beau être accueillis à l’hôpital, on pouvait aisément remarquer que leur traitement n’était le même que celui des humains. Pas de grands sofas moelleux pour patienter, pas de douce lumière chaude pour vous rassurer, ni même de distributeur à proximité. Et l’on pouvait bien patienter de longues heures avant d’être traité… Si on ne mourrait pas de de douleur sinon d’ennui avant.
Et il ne voulait même pas songer aux infirmières. La dernière fois, c’était une de ces hybrides dociles qui avait été en la grande charge de lui coller un pansement et une tape sur le crâne, avant de le renvoyer encore nauséeux.

A vrai dire, s’il continuait de se rendre dans cet hôpital plutôt que dans les bas-fonds de la résistance, c’était pour une unique personne. Certes, il avait une chance sur une dizaine de risques de tomber sur lui ; mais avec sa drôle de maladie, peu étaient ceux qui acceptaient ou même savaient comment le traiter. Et du fait de son hybridation, jamais un de ces docteurs diplômés ne s’occuperait de lui.
Il voyait donc en Marty une sorte d’ange salvateur.

Ame laissa échapper un rire. Étouffé par une fulgurante douleur abdominale. Il soupira. Par habitude, il avait rouvert son carnet et s’était mis à dessiner au gré de ses songeries. Et une chauve-souris angélique était apparue.

Étrange spectacle qu’un grand garçon plein d’ecchymoses, pourtant tout sourire, juché sur sa chaise bancale dans un coin de la pièce avec pour seul éclairage qu’une vieille ampoule clignotante. Un peu suspect sans doute.

Il grimaça.

« Bouge-toi, Marty… »

Ame rejeta la tête en arrière, le cou appuyé sur le dossier de la chaise. Il avait terriblement envie d'une cigarette.
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Lun 24 Avr - 19:31

Brothers
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Ame & Marty
Soin des bobos du poto
« Certaines blessures sont si douloureuses que rien ne peut-être curatif. Alors, un sourire, une parole, ça peut tout changer. »Le doigt dans le fond du nez avec l'élégance d'un pachyderme, tu baillais. Il était beau l'infirmier à bayer aux corneilles en attendant que la neige tombe. Tu n'avais pas eu une matinée très calme, alors tu flânais un peu, la blouse sur le dos, les mains dans les poches. Logiquement, vous n'aviez pas avoir ce genre d'accoutrement, vous les infirmiers, mais tu l'avais piqué à un médecin absent. Vu qu'il n'était pas là et que personne ne semblait spécialement ce souci de ton vol qualifié, tu te baladais avec. Dans un renifle d'une élégance rare, tu sortais de la salle de repos avec ton chocolat chaud goût flotte et poudre chocolatée. Tu allais devoir retourner aux charbons comme tu aimais dire. L'hôpital ne reposait pas sur tes épaules, mais tu avais un travail à faire. Tu croisais pas mal de collègue avant de passer devant l'une de ses salles d'attente des urgences. Il y avait foule, ce qui voulait dire que ce soit tu allais encore te coucher très tard, voire pas du tout.

Tu attrapais le bloc de feuille dans le compartiment près de la porte de la salle et tu inspectais les dossiers. Un furoncle au pied pour une mamie sexagénaire, une piqûre d'abeille sur la langue pour un père de famille. C'était le rendez-vous des catastrophés aujourd'hui, du coup, tu soupirais. Pourtant, ton regard se posait dans la salle, sur une tignasse d'une couleur étrange : bleu-gris. Mais qu'est-ce que faisait là ton bon poto Ame ? Tu reposais le tas de feuilles en faisant signe à une infirmière qu'il y avait des cas étranges avant de t'approcher d'Ame.

« Bah alors qu'est-ce que tu fais ici toi ? Oulah, tu n'as pas l'air serein copain, je vais t'arranger ça. »

Tu sais clairement qu'il n'allait pas pouvoir se lever tout seul pour venir avec toi. On aurait une Prim'Holstein, les fameuses vaches blanches tachées noires, avec tous ses bleus. Tu glissais ton bras lentement dans son dos en l'aidant à se lever avant de l'emmener tout calmement vers l'une des salles de consultations pour l'examiner. Il avait l'air dans un état assez limite et tu te demandais s'il ne valait mieux pas appeler un médecin, plus compétent que toi. Tu haussais les épaules en sortant tout le nécessaire puis tu tendais le petit bâton, similaire au bâtonnet des glaces, pour qu'il ouvre la bouche.

« Ouvre grand la bouche Ame, je fais le bilan comme d'habitude, après, tu me diras ce que tu as encore fait pour être dans cet état, petit poulpe fragile que tu es. »

Tu avais toujours le dernier mot pour rire, dire n'importe quoi ou faire le pitre avec ton entourage. Pourtant, comme toujours, tu t'inquiétais pour lui. Sa santé avait l'air assez sensible et tu te demandais si un jour, il n'allait pas venir en fauteuil voir en civière. Jour que tu n'avais pas vraiment envie de voir arriver de sitôt. Tu l'aimais bien le Ame, et encore plus en vie.
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Lun 24 Avr - 23:48
Ame faillit s'étouffer lorsqu'il vit Marty, quelque part dans les brumes de son ennui. C'était qu'il avait presque l'air angélique, à vrai dire, dans cette blouse un peu trop grande pour lui et le puissant éclairage du centre de la salle. Enfin cela sans compter son teint cadavérique qui était ainsi mis en avant ; c'était à se demander s'il n'était pas lui aussi un des patients de l'hôpital. A côté de lui, Ame pourrait presque avoir l'air bronzé.

Ce qu'il appréciait tant chez Marty, c'était son flegme. Sa désinvolture. Il avait cette capacité à faire ce qu'il fallait au bon moment et surtout, ne pas se fendre en questions futiles quand il sentait qu'Ame n'était pas d'humeur. L'air de rien, c'était ces petites tournures de phrase qui changeaient tout à fait une relation...

Bordel, il avait mal.
Néanmoins il prit le temps de taquiner le pauvre Marty qui veillait à ne pas le brusquer. C'était une façon comme une autre de le saluer.

"Tu aurais quand même pu me porter comme une princesse. Terminer dans les bras d'un docteur c'est quand même plus attrayant que celui d'un infirmier. Le rêve de bien des jeunes filles...!"

Mais avant qu'il n'ait pu se fendre d'une autre remarque, son ami lui fourra un bâton dans la bouche. Tiens, songea-t-il en observant la blouse qui lui chatouillait le genou. On pouvait donc prendre un chocolat ici ?

"Tu me diras ce que tu as encore fait pour être dans cet état, petit poulpe fragile que tu es."

Gêné, il ne releva pas. Depuis gamin, il n'avait jamais trop apprécié les contacts physiques et même s'il s'agissait de Marty, il ne put que se sentir soulagé une fois qu'il prenait un peu de distance. Toutefois il resta docile pendant le reste de l’auscultation. Il ne voulait pas causer d'ennui à la seule personne qui appréciait ces derniers temps après tout.

"Scénario habituel : je me réveille avec quelques bleus. Puis je tombe, et ça fleurit. En masse."

Il eut un vague mouvement du menton en désignant l’étendue des dégâts. Seule sa main droite avait été épargnée et heureusement –à chaque fois que celle-ci triplait de volume, l’humeur d’Ame devenait terrible. Marty, en bon ami, en avait parfois fait les frais.
Bien évidemment, pour cette même raison, il passa sous silence les détails de toutes ces ecchymoses. Il ne lui raconta pas son double jeu découvert, et cette hunter qui était à sa recherche. Il se sentait déjà assez mal de lui demander de le soigner…

Il sourit d’un air narquois.

"Sinon, tu es passé sous quelle table pour être promu ?"
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Mar 25 Avr - 16:21

I Do It
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Ame & Marty
Soin des bobos du poto
« Certaines blessures sont si douloureuses que rien ne peut-être curatif. Alors, un sourire, une parole, ça peut tout changer. »Tu savais bien que ton petit surnom, affectif ou pas, n'avait pas spécialement plus à Ame. Tu ne lui en voulais pas plus d'être gêné que lui de ce surnom sans doute. Tu continuais ton auscultation dans le silence avec une concentration qui te tirait le visage dans des grimaces particulièrement ridicule. Non vraiment Marty, tu avais l'air d'un crétin comme ça, mais cela t'allait si bien qu'on ne le relevait jamais. Tu faisais tourner la petite tige de bois entre tes doigts avant de la jeter dans la poubelle non loin en restant concentré sur ton ami. Tu l'écoutais te raconter ce qu'il avait fait pour finir comme un léopard avec tous ses bleus. Il avait beau essayait d'arrondir les angles, tu n'étais pas aussi idiot que tu en avais l'air. Il te montrait vaguement ses ecchymoses avec son menton, mais malgré tout, tu plissais les yeux. Tu n'aimais pas qu'on te mente à vrai dire. Alors, volontairement, tu appuyais sur un de ses bleus en soufflant.

« Ame, je t'adore, tu es un amour, mais ne me prends pas pour un idiot, s'il te plaît. Si tu t'es fait ça en tombant du lit simplement, je suis la reine d'Angleterre en crocs. Et ne m'appelle pas Elizabeth, tu seras gentil. Raconte VRAIMENT ce que tu as fait, ça serait cool. Je m'en fiche que tu me sortes que tu as fait des conneries et que tu t'amuses à chercher la merde avec des humains, je fais pareil, sauf que moi ma santé me le permet. »

Tu t'asseyais sur le lit à côté de lui en faisant la tronche, car ça ne te plaisait pas du tout cette situation. L'air narquois de ton ami quand il te demandait comment tu étais devenu infirmier ne te faisais pas du tout rigoler. Tu plissais légèrement les yeux en grognant envers lui avait de te relever dans un air un peu brusque. Tu pouvais être vraiment désagréable mon bon Marty, même si pour le coup, la raison de ton changement d'humeur était justifiée. Extérieurement, tu donnais toujours l'air de quelqu'un qui se fichait de tout, que rien n'affectait et c'était en partie la vérité. Les insultes, l'influence des autres n'avaient pas d'impact sur toi, leur santé par contre. Tu t'inquiétais toujours de savoir s'ils allaient bien ou non, c'était évident chez toi. Et bien sûr Ame ne dérogeait pas à la règle, surtout vu comment sa santé avait l'air de lui rendre la vie encore plus compliquée que celle qu'il avait déjà. Androgyne sur les bords, rebelle, non sincèrement, tu ne l'enviais pas. Tu te calais contre le mur en face de lui, les bras croisés et un air entre le Marty insatisfait et le Marty légèrement agacé.

« Non, j'ai étudié encore et encore pour avoir ce post. Je ne dirais pas que j'en ai chié, c'est faux ça été super simple, mais je ne suis pas venu les mains dans les poches, tu vois. D'ailleurs, toi tu as fait des études d'arts appliqués, pour savoir dessiner et peindre comme tu le fais ? Tu me montres quand ton antre et tes peintures, tiens ? Promis, je ne mettrais pas le bazar chez toi et je ne te collerais pas, je sais que tu ne supportes pas ça. »

Tu t'étais un peu calmé au final, car de toute façon t'emporter sur lui n'aurait servi à rien du tout. Il ne se gênait pas pour le faire lui, mais tu ne rendais pas les coups aussi facilement, il en fallait plus. Tu ouvrais un placard avant de lui jeter un paquet de médoc en lui faisant un clin d'œil puis tu posais dans sa main un chocolat. Tu savais qu'il adorait ça, ce n'était pas pour rien que tu en avais toujours dans tes poches.
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Mar 25 Avr - 17:55
Il savait bien que Marty n'appréciait pas qu'il lui tienne ce genre de secrets -mais Ame avait ce foutu réflexe protecteur. Et comme toujours, ce salaud perçait bien trop aisément ses réserves...
Il prit le temps d'organiser ses pensées, de faire le tri. Même s'il ne tenait pas à lui mentir, Ame espérait encore ne pas le mêler à ses propres problèmes qui au final, pouvaient s'avérer peu importants. Non pas qu'il manquât de confiance, bien au contraire... Seulement, Marty avait aussi ses preuves à faire ici et sa situation restait aussi précaire que la sienne.

"Je te dirai. Mais pas ici."

Il le dévisagea, lui et son air de vampire du dimanche. Bien sûr, les années avaient fait d'eux des adultes quelques peu capables, un peu téméraires aussi mais ils restaient au final des gamins pleins de faiblesses. Et pourtant, ils étaient devenus des rebelles.
Une belle paire de masochistes.

Ame se contenta d'esquisser un sourire en réponse à l'agacement de Marty.

"Je parlais simplement de la blouse -je ne savais pas que tu étais passé docteur. Tu sais bien que tu restes l'infirmière qui hante mes rêves."

Et son sourire s'élargit.

"D'ailleurs, toi tu as fait des études d'arts appliqués ?"

Ame hocha négativement de la tête. Il avait appris pour tuer le temps, pour tuer la solitude ; de toute façon, à l'époque, il n'avait eu pas les moyens d'étudier tant financièrement qu'en raison de ses petits boulots pour survivre et aider le reste de la famille.

"Ce ne sont toujours que des dessins dont la plupart s'accumulent et pourrissent dans un coin.
- Tu me montres quand ton antre et tes peintures, tiens ? Promis, je ne mettrais pas le bazar chez toi et je ne te collerais pas, je sais que tu ne supportes pas ça."

Ame attrapa les médicaments à la volée. Toujours les mêmes. Il glissa la petite boîte dans une de ses poches comme l'on rangerait un paquet de cigarettes.
Il prit un air songeur.

"C'est vrai que tu n'es pas encore passé depuis le déménagement... "

Interrompant sa réflexion, Marty lui glissa un chocolat. Ame n'était plus un enfant mais ça fonctionnait toujours aussi bien avec lui. La seconde d'après, il reprit, tout sourire, le chocolat en bouche :

"Passe ce soir si tu veux, par contre, ce sera nouilles instantanées. Me reste plus que ça."

Nouilles chimiques et fragrances toxiques, c'était prometteur ; et bien que Marty ait avancé l'envie de voir ses dessins, Ame savait bien qu'il ne manquerait pas de le questionner sur ses activités de ces derniers jours.

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Mar 25 Avr - 22:11

Fucklalife
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Ame & Marty
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« Certaines blessures sont si douloureuses que rien ne peut-être curatif. Alors, un sourire, une parole, ça peut tout changer. »Tu avais haussé un sourcil auparavant quand il ne t'avait dit pas ici. Tu te demandais s'il pensait que l'hôpital était rempli de caméra et de micro. De toute façon, tu allais attendre d'avoir la réponse et jusque-là, tu n'allais pas le lâcher d'une semelle. Sans être particulièrement collant avec les gens, surtout ton entourage, tu avais des raisons de vouloir tout savoir de l'incident, quitte à te mettre dans le caca au passage. Les ennuis, tu connaissais, et même si tu étais du genre discret, tu avais parfois des altercations avec des patients. Tu n'aimais pas spécialement qu'on te marche sur les pieds, alors tu sortais tes sabots et tu marchais plus fort sur ceux des autres. Sans avoir un caractère de cochon, le dernier qui avait reçu à te faire déchanter, il dormait entre quatre planches ou était en retraite, sans doute. En tout cas, tu étais content qu'il veuille bien se donner la peine de t'expliquer. Dans le cas contraire, il aurait eu la joie de se recevoir quelque commentaire peu avenant de ta part. Gentil comme tout, adorable avec les demoiselles, mais avec son caractère, tel était le Marty sauvage. Tu prenais un pan de la blouse avant de te moucher comme un crade dedans avec aucune discrétion. Comme pour confirmer que même en ayant une blouse sur le dos, tu restais le même, l'unique. Tu baillais encore à t'en décrocher la mâchoire puis le fixais.

« Ah la blouse ? Je l'ai piqué à un médecin absent pour un bon mois. Comme ça, si je fais des conneries ça lui retombera sur le dos. Ça lui apprendra à dire que je suis incompétent sans jamais avoir vu ce dont je suis capable. Je ne suis pas revanchard ou rancunier, mais je ne suis pas une plante verte. »

Ce petit côté, je sors les dents parce que ça ne me plaît pas, c'était digne de toi. Tu avais tendance à te montrer assez protecteur avec les gens de ton entourage, surtout les demoiselles. Aller savoir si ça avait un rapport avec ta timidité que tu voulais comprendre ou parce que tu adorais leur douceur, en tout cas, tu faisais mur pour elle. Même si Ame n'était pas de sexe féminin, tu avais tout de même de le protéger surtout avec sa petite santé. Tu jouais avec tes cheveux et le pan de la blouse encore propre tout en l'écoutant avec attention. Tu n'aimais pas spécialement manque de respect à ceux que tu appréciais alors, tu allais être attentif aux paroles d'Ame. Il avait beau dire que les dessins étaient pour la plupart en train de pourrir chez lui, tu avais envie de les voir. Le curieux petit homme en toi, voulait en apprendre plus sur lui et surtout admirer ses dessins. Tu aimais bien sa façon de dessiner, de faire des croquis, mais si peu d'occasions de voir ses chefs-d'œuvre. Tu souriais un peu plus en entendant sa proposition que tu viennes manger chez lui. Tu l'aidais alors à se lever du lit, car tu n'avais malheureusement pas que lui à soigner.

« Tu sais, je mange de tout alors ça ne me dérangera pas. Oui, je ne suis pas encore venu depuis un moment, vu que tu as déménagé petit cachotier sans me demander mon aide. J'amènerais des chips et de quoi boire si tu veux et des consoles dans un carton. Histoire de game entre potos, mais après le service, j'ai encore masse de gens à voir malheureusement. Tu comprends, je pense ? »

Tu ne savais pas trop quoi ajouter après avoir dit ça alors tu préférais attendre de voir ce qu'allait dire et faire ton ami Ame et tu allais suivre. Ton côté flemmard qui reprenait sagement le dessus par moment, avait en cet instant, la main mise.

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Jeu 27 Avr - 14:04
Un sourire flottait sur les lèvres d'Ame, comme à chaque fois que le grand Marty se montrait un peu plus véhément qu'habituellement. C'était un de ses petits plaisirs qu'il se permettait avec lui -car tout comme son ami n'était du genre vindicatif et violent, lui-même n'était taquin de nature. Il était de ces facettes que l'on réservait à une personne en particulier...

Enfin il n'allait pas s'éterniser ici.
Bien évidemment, avec l'attente qui pouvait durer une demi-journée, il n'avait rien de prévu aujourd’hui ; mais ce n'était une raison pour larver non plus. Même s'il n'était de grande utilité pour les autres rebelles, il aimait à croire que son entêtement et sa détermination à changer les choses suffirait à soutenir sa cause.
Alors qu'il se relevait non sans peine, il jeta un regard vers Marty. Il savait son ami inquiet pour sa santé, de son activité et des risques qu'il prenait pour les rebelles, derrière ce sourire nonchalant. Mais il était bien trop égoïste pour arrêter.

Ame remercia Marty d'une tape sur l'épaule, avant de reprendre ses affaires et de se diriger vers la sortie.

"Évidemment. Mais ne me fais pas languir trop longtemps à jouer les Batman en blouse."

Il rit doucement ; ne lui avait-il pas proposé de passer le soir, après tout ? Bien qu'ils se connaissent depuis un moment déjà, Marty était toujours soucieux et conservait des formes de politesses qu'Ame avait fait sauter aussitôt qu'ils étaient devenus amis. L'air de rien, cette chauve-souris avaient des similitudes avec le chevalier noir. Il faudrait qu'il lui trouve une fille un de ces quatre.

Il adressa un signe de la main pour saluer Marty avant de regagner le couloir, d'un pas tranquille. Il lui sembla que les patients s'étaient fait plus nombreux depuis son arrivée ; tout semblait plus animé et... il y avait des blessés ? Rapidement, il constata qu'il s'agissait uniquement d'humains.
Ame fronça les sourcils. Les rebelles y étaient pour quelque chose ? Il irait faire un tour dans les bas-quartiers pour essayer de glaner quelques informations.

Quoiqu'il en soit, Marty allait avoir du boulot.
Et lui devra sans doute l'attendre jusqu'à tard. Il haussa les épaules, et se dirigea vers la sortie.


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Jeu 27 Avr - 20:20

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Rag'n'Bone Man
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Ame & Marty
Soin des bobos du poto
« Certaines blessures sont si douloureuses que rien ne peut-être curatif. Alors, un sourire, une parole, ça peut tout changer. »Tu suivais ce bon Ame afin de le raccompagner avant de voir la quantité astronomique de monde qui s'était rajouté rien que pendant la consultation de ton ami. Tu clignais des yeux avant de soupirer longuement. La journée allait être encore crevante, très crevante. Alors, venir rendre visite au poulpe aurait le mérite de te détendre après avoir aidé des tonnes de personnes, humaines ou non. Bon pour le coup, à la vue de tous ces gens, tu voyais bien qu'il n'y avait en général que des êtres humains. Rebelle ou pas, tu te fichais bien de savoir leur race ou leur ethnie. Ton boulot n'était pas de juger la classe sociale, les origines d'une personne, mais de la soigner, de la faire sortir d'ici, bien mieux. Ce n'était pas toujours possible, car tes connaissances en médecine n'étaient pas des plus extraordinaires, mais tu faisais ton maximum pour eux. Ton métier exigeait que tu sois attentif, réactif et débrouillard, ce que tu savais faire avec merveille. Même si intérieurement, tu regrettais de ne pas pouvoir faire taire les maux d'Ame. Tu l'entendais non sans sourire à nouveau et de rire.

« Je passerais ce soir vers 21h promis. Je ne peux pas venir avant, car après le boulot, sans douche, je vais me sentir très sale et je déteste venir chez les gens tout crades. Aller rentre bien et évite de te faire encore d'autres bleus. Je suis doué pour faire mon boulot, mais il n'y a pas marqué Mère Thérésa sur le front et je ne parle pas de la jolie pote.»

Tu le laissais finalement repartir en le saluant de la main avant d'intimer à une vieille dame de te suivre. Son mari commençait déjà à s'impatienter en te regardant, et même s'il semblait vouloir se plaindre, tu chassais rapidement ses remarques d'un ton franc et sec. Tu lui disais alors combien tu étais seul pour gérer un service où aurait dû se trouver quatre médecins en plus de toi alors s'il n'était pas content, il allait se débrouiller avec sa piqûre de guêpe sur la fesse, tout seul. Il baissait rapidement d'un ton alors que sa femme le tirait par le bras pour qu'il entre. Tu jetais un dernier coup d'œil à ton ami, non sans rire encore. Ah ce qu'il pouvait t'amuser ce cher Ame. Il te ressemblait beaucoup, aussi bien par cette facette nonchalante et si naturelle dans son comportement que par le fait que vous soyez des hybrides rebelles après tout. Ça ne se voyait pas dans vos agissements, ni sur votre visage, mais vous l'étiez malgré tout. Tu faisais s'installer le vieil avant de fermer la porte pour entamer cette consultation. C'était parti pour des heures de soins, youhou.
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