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Javier Velasques - El Diablo

Anonymous





Invité
Invité
Dim 7 Mai - 17:02

▬ ft. Chato Santana de Suicide Squad

Nom complet : Javier Velasques
Âge : 39 ans
Nationalité : Porto-Ricain
Profession : Pompier
Sexe : Masculin, Cabrón.
Orientation sexuelle : ce qui est vivant.
Etat civil : En couple avec une hermaso de planta

Classe : Hybride
Sous-classe : New-Rich
Espèce : Salamandre Mythique

Situation financière : Riche.

Pseudonyme : Skin
Premier compte? : DC
Présence : Très souvent là
Niveau de RP :  Entre 500 et 1500 mots ?

Commentaire : J'aime les loutres °^°

Code du règlement : Dansons avec les concombres de mer !

A votre propos
JAVIER VELASQUES
Physique
Il arpente les rues, zippo dans une main, l'autre serrée sous la colère, les flammes se dégageant de son corps, cela aurait pu être un mirage, mais non, c'est El Diablo. Javier Velasques de son vrai nom. Un homme qui en impose autant par la carrure que par ce qu'il est. Derrière des flammes aussi opaques que le verre d'une bouteille ternie par le temps, il vous fixe. Des iris incandescents, agressifs et perçants qui ne vous lâchent jamais. Il ne peut pas vous brûler l'âme ou le corps d'un simple regard, mais cela ne l'empêche pas de vous assassiner de ses iris, sans dire un mot. Avez-vous déjà croisé les yeux d'un molosse prêt à vous tuer avec sa gueule assoiffée et son air enragé ? Alors, dites-vous que quand Javier ne vous aime pas, cette impression est permanente en sa compagnie. On peut dénoter un changement de teinte au fond de ses pupilles quand il commence à s'énerver comme une indication à fuir. La couleur orangée et déjà particulièrement translucide et surprenant, virent alors à un jaune enflammé. Quand, dans le calme total, c'est un brun foncé ou ambré assez discret. On ne lui avouera jamais, mais l'Américain d'origine espagnole a de beaux yeux, simplement ce qui les entoure ne peut pas les sublimer, bien au contraire. C'est un peu comme si quelqu'un avait serti ces deux perles étranges dans un crâne de marbre et de terre. D'ailleurs, il ne supporte pas qu'on le fixe continuellement dans les yeux, sous peine de l'agacer et de recevoir dans le pire des cas, des désagréments.

Même si cela peut paraitre comique au premier abord, il n'est jamais dérangé par une mèche rebelle le matin, étant donné qu'il n'a plus de cheveux. Non pas qu'il soit chauve, mais par habitude de la prison et des gangs, dont il a fait partie, il se rase la tête très régulièrement. Il aurait pu laisser simplement ses flammes consumer jusqu'à la racine sa chevelure, mais cela l'occupe alors il exécute ce même rituel deux fois par mois. Toujours le même jour, avec ce même couteau de barbier, dans le calme et la solitude d'une salle de bain miteuse. Il se regarde dans le miroir jauni par le temps, soupire lentement puis applique de la mousse et rend donc à son crâne cet aspect glabre et lisse. Il passe ses doigts longuement sur ce dernier afin d'être sûr de ne pas en avoir oublié. Il n'est pas perfectionniste, mais c'est bien par son absence de cheveux et les flammes qui lui forment une couronne onirique, que l'on reconnaît et craint El Diablo. Personne ne voudrait se moquer de lui en voyant bien, que ce visage n'a rien d'ingrat, mais n'exprime pas plus la joie. D'ailleurs, il ne porte jamais rien sur son crâne que ce soit un bonnet, une casquette ou autre couvre-chef, autant éviter de les brûler au passage. Évitez également de le provoquer, un coup de tête serait fâcheux surtout si cette dernière au moment de l'impact devenait une vraie mèche de dynamite.

D'origine espagnole, mais né à Porto Rico, il ne dénote pas de ses congénères. Le type caucasien, avec un teint légèrement plus foncé saupoudré d'un air des plus latins. Cette base du nez assez fin, des lèvres présentes, mais discrètes, des yeux légèrement enfoncés, mais entouré de tatouage qui ne font que renforcer cet effet, tout de lui surprenant. Sous ses marasmes d'encre, de forme et de signification se cache pourtant un homme qui avait tout pour plaire. Son type latino ainsi que ses petits airs revanchards lui donnent une belle gueule, il faut l'avouer. Sans doute pas de ceux qui voient les femmes leur tomber dans les bras, mais qui se font tout de même régulièrement aborder par elles. À le voir, on pourrait croire qu'il sort tout droit d'un mauvais film sur les cartels et autre gang des favelas ou d'un western moderne où les chevaux et la poudre ont été remplacés par les véhicules et les armes à feu performantes. En plus d'avoir cette chair totalement ignifugée, ne faisant que confirmer l'engeance dont il vient. Il peut rester autant qu'il le désire au soleil. Après tout, il ne reste pas moins qu'un reptile, quand bien même il fasse partie des légendes. La chaleur, le feu, les flammes, les rayons du soleil, c'est son élément, sa source même de bien-être et de vie. Il se pourrait qu'il bronze en restant des heures, découvert et pile vers l'astre du jour, mais pas sans lunette. Même avec sa nature et ses capacités physiques, il ne voudrait pas finir aveugle, même avec ce qu'il a vu, vécu et à son âge.

Il dépassa la foule de plusieurs centimètres et bouscule souvent ceux qui restent là comme des crétins devant lui. Environnant le mètre quatre-vingt-cinq et les presque quatre-vingt-dix kilos, Javier n'est pas à prendre à la légère. Quand certains ne feraient que vous dire pardon pour passer, lui n'aura rien contre vous menacer de force, vous broyer le bras ou vous refaire l'épaule en se frayant lui-même un passage à l'aide de sa corpulence. Il n'ignore pas que beaucoup de monde voudrait sans doute sa peau, mais comme personne n'ose s'avancer et le défier, il continue son train de vie. Il lui suffit de croiser les bras sur son torse, de se pointer derrière ceux qui dérangent et bien vite plus personne ne moufte. Avec des faux airs de dieux Aztèques anciens et terribles, il ne recule devant rien pour qu'on comprenne que c'est lui le chef. Surtout quand, pour le fixer, vous êtes obligé de lever le nez voir la tête carrément. Un air de juge et bourreau à la fois qui semble décider de la vie et de la mort de ceux qui le côtoient, alors qu'il n'en est rien. Pourtant, tous ceux qui ont pu croiser sa route ou qui la suivent encore, ne feront que confirmer qu'il vaut mieux avoir Javier dans son camp, plutôt qu'en face. La prison l'a forgée à son image c'est-à-dire rude, brutal et tout sauf ridicule. Les muscles, ils ne manquent pas sur Javier, mais cela se voit bien plus quand il ne porte rien sur le torse. Ils sont tracés sur sa chair, que ce soit pectoraux, abdominaux ou biceps et triceps. On ignore si cela attire vraiment les femmes, en tout cas, c'est aussi cela qui fait son succès même succinct auprès d'elle.

Sa peau est d'ailleurs tout sauf vierge de toute marque. En plus de son numéro de prisonnier dans diverses prisons qu'il a côtoyé, c'est-à-dire trois en l'espace de cinq ans, on peut également voir d'autres signes. La faux, mais aussi le crâne de la mort sur son propre visage. Ainsi, sur son front figure l'arme qui fauche les âmes, quand le crâne de la personne chargé de le faire, est tracé sur l'intégralité de son visage et de son crâne. Cela forme une réplique à l'identique de sa propre boite crânienne, mais le mieux est encore de le voir de vos propres yeux. Sur son menton figure une partie de son surnom « Diablo » quand son cou porte, lui le chiffre 13. Sa signification reste un mystère pour beaucoup de personnes, mais si vous savez creuser sous la couche de crasse et de sang qui se trouve sur l'homme, vous en saurez peut-être plus. À vrai dire, faire la liste complète de tous les tatouages que porte Javier serait long et périlleux. Du dieu aztèque dont il pense être possédé en passant par le nom de son précédent gang, de sa famille ou encore de pas mal de chose qu’il aime ou déteste, il ne manque pas d’idée. Pourtant, l’un d’eux garde son importance, un impressionnant Hile Side sur son ventre, qui semble à la fois complet et inachevé, étrange en tout cas. Ou effrayant, tout comme la personne qui les porte tous. Personne ne sait combien de fois il a été se faire tatouer, ni ce que cela aurait pu lui coûter en temps, argent ou douleur, en tout cas, il forme une fresque de sa vie, de sa psyché et de ce qu’il est.

Si ses tatouages le rendent tout sauf discret, il peut aussi bien se faire remarquer par ses flammes que sa voix. Comme venue d'outre-tombe, elle est portante, parfois lancinante. On ne sait pas toujours quelle émotion se dégage de ses paroles au point de déstabiliser pas mal de personnes sur cette terre. Que vous soyez un simple écolier, le caïd du coin ou une timide hybride, vous aurez tous de la stupeur ou de la surprise en l'entendant parler. Il n'a pas que l'air de sortir d'une tombe il y a peu, d'en avoir la tête du cadavre, il en prend aussi les cordes vocales. Il est difficile de dire s'il est capable de parler doucement, avec presque du charme ou de la sensualité dans la voix, étant donné que personne ne l'a entendu de cette façon, mais qui sait ? On peut y sentir un accent espagnol très prononcé, mâchant parfois ses mots au point de rendre ses injures plus agressives encore ou ses mots moins compréhensibles. Ce qui ne l'empêchera pas de ne pas répéter afin que vous vous débrouilliez pour comprendre ce qu'il a voulu vous dire auparavant. Beaucoup de grossièretés sortiront de la bouche de Javier, et même si elles ne seront pas forcement envers vous, cela peut être vexant ou blessant. Il ne s'excusera pas, mais il saura faire comprendre d'un geste ou d'un regard si vous êtes ou non la cible de ses agressions verbales en tout genre.

Loin d'être un ignare quand bien même il n'a pas fait de grandes écoles, il sait se vêtir de façon intelligente. Ainsi, El Diablo ne sort jamais de chez lui sans porter des vêtements en coton, ayant la propriété de mieux supporter la chaleur. Ils ne résisteront sans doute pas plusieurs heures s'il les portait alors qu'il était enflammé de la tête au pied. Malgré tout, cela lui permet de ne pas finir totalement nu après avoir déchaîné sa rage et sa capacité d'embrasement. La plupart du temps, l'homme porte un pantalon de coton semblable à un jogging, mais en plus solide et moins miteux. Sur son torse quand il ne porte pas une veste identique à celle que l'on peut voir sur les sportifs d'université dans les films, c'est un tee-shirt de corps ou marcel toujours blanc qui le couvre. Au pied de vieilles baskets ou des rangers font l'affaire. Même si cela est assez bref, on ne peut pas dire que l'homme soit très difficile en tenue vestimentaire, préférant la sobriété à la variété et ayant autre chose à faire que faire les boutiques, il n'a que cela pour se vêtir et c'est largement suffisant pour cet homme, très clairement.
Caractère
Flambant, explosif et instable comme une flamme, c'est sans doute la meilleure définition de ce qu'il est. Javier n'est pas un élément qui se canalise, mais un électron libre bien souvent très à vif sur les choses. Il peut s'emporter pour très peu de choses comme au contraire ignorer totalement les paroles d'une personne sans pour autant la quitter du regard. Impulsif et susceptible ne serait qu'un euphémisme quand on voit à quel point il peut être extrême dans ses agissements. Dans son métier de pompier, cela pose parfois des soucis étant donné qu'il ne porte pas les humains dans son cœur. Pour lui, s'il pouvait en faire brûler une grande partie, ce serait avec joie. Il ne se contrôle que très rarement, surtout dans son travail, afin de sauver des vies quand bien même il voudrait au contraire en faucher. En dehors, il se montre particulièrement virulent et cela n'est pas étonnant. Même pour un nouveau riche comme lui, frapper des humains captifs avec la plus grande des rages est monnaie courante. Il se fiche de bien de les laisser dans un état proche du coma ou de la mort, tant que cela le défoule. Il ne connaît pas spécialement la pitié quand il s'agit de vous briser. S'il est en colère, ce qui arrive la plupart du temps, vous n'aurez pas beaucoup d'échappatoires, surtout s'il se montre sadique. Alors, il ne vous achèvera pas rapidement, mais laissera ses flammes vous consumer à petit feu si j'ose dire. El Diablo, son surnom n'est pas là pour faire décoration, il le parfait synonyme de ce que peut –être cet homme au quotidien.

Sa franchise alliée à ses injures régulières ne fleurissent pas son vocabulaire de mots délicats et sobres. Il a beau posséder une immense demeure, des gens à son service et même un véritable trône dans l'une des salles chez lui, il n'a rien d'un prince. Ou alors, sorti des bas-fonds des limbes de Satan. Il n'a pas beaucoup de relation amicale dans son entourage et s'il en possède, c'est bien souvent un vrai miracle. Il n'a pas vraiment un comportement qui donne envie de s'en approcher ou de la connaitre même s'il a le mérite de dire ce qu'il pense très clairement. Ne mâchant pas ses mots, il peut très bien vous démonter pièce par pièce avec arrogance et violence sans vous quitter des yeux. On pourrait croire qu'avec le léger bagage culturel qu'il possède, Javier n'est qu'une bête féroce et ignare sauf qu'il est plus intelligent qu'il en donne l'air. C'est aussi cela sa force la plus dangereuse : Il sait dire ce qui fait mal quand il le faut. Il a eu le temps dans son existence de parler couramment anglais en plus de sa langue natale et d'un peu d'argot des gangs. Alors, si vous souhaitez le désarçonner, je vous conseille de partir avec beaucoup de conviction, car Javier ne sera pas un tendre avec vous. Surtout s'il ne ponctue pas ses phrases de puta et d'autres obscénités en espagnol. Jouer au plus malin avec cet homme revient à se jeter nu dans une arène remplit de loup avec pour seule arme, votre arrogance, pas bien fameux.

Ce qui découle de sa façon de parler est celle d'aborder les gens. Même si être sociable avec les autres n'est pas son péché mignon, il sait que vivre seul ne lui apportera de toute façon rien de bon. Sans être impoli, il aura parfois l'air de vous agresser dans ses paroles et c'est justifié. Vivre seul pendant une bonne partie de son enfance, sans connaitre son géniteur, ni pourquoi on est ainsi, ça ne rend pas spécialement adorable. Non sans être spécialement qualificatif avec les gens, son discours pourra changer en fonction de qui vous êtes et de pourquoi il vous parle. Il n'est pas devin et ne lira pas dans vos pensées, mais il trouvera bien quelque chose dans votre agissement ou vos paroles qui vous trahiront et lui indiqueront si vous êtes alliés ou ennemi de sa race. Il est aussi très différent en fonction du sexe de la personne en face. Ayant était élevé dans le respect de la matriarche, il a donc un respect plus présent envers les femmes.  Cela ne l’empêche pas de leur dire ce qu’il pense tout haut, mais malgré tout, il prend légèrement plus de tact, enfin tact est un bien grand mot. Disons qu’une demoiselle aura moins de risque de recevoir un coup d’un homme, mais cela s’arrête là. Il ne va pas pour autant devenir mielleux ou gentil, sous prétexte que vous êtes du sexe féminin. Alors, si vous êtes une sublime demoiselle et que Javier se montre intéressé par vous, vous complimente et veut savoir plu de vous, profitez-en, car cela n’est pas plus courant que la neige en plein désert africain.

Énormément porté sur la famille aussi bien de par ses croyances, sa culture et sa vie passée, Javier a un côté très protecteur, trop même. Sans décider d'avec qui vous sortez, de ce que vous allez faire avec des amis, il n'aime pas vraiment partager. Il le fait, non sans trouver cela désagréable, car sans entourage sa vie ne serait que vide, terne et bien plus longue. Il ravale donc sa fierté d'homme, de salamandre et de noble malgré lui et laisse donc de la liberté à ceux à qui il tient. Heureusement, cela ne lui porte pas que préjudice, car être disponible à toute heure lui permet d'être vraiment une personne sur qui l'on peut tenir. Ce qui ne veut pas dire que le trahir est une bonne chose. Se ficher de lui, lui faire des coups bas ou encore lui mentir revient à signer son arrêt de mort. Après tout, il n'en reste pas moins un ex-tolard et dealer de drogue, donc quelqu'un qui n'a pas baigné dans des eaux calmes. Forcément, l'impact de tout cela ne l'a pas vraiment porté sur le pardon et le fait de passer outre les erreurs des autres. Ne lui en tenait pas rigueur s'il vous toise d'un regard sans rien dire sur vos propres mots, c'est qu'il n'aura pas apprécié vos commentaires, mais qu'il aura la justesse de ne pas relever. Avec lui, aucun faux-semblant ni d'agissement tel un faux frère. Il n'est pas pour la trahison des siens ni pour retourner sa veste. Javier à ses valeurs et quitte à froisser pas mal de monde, il ne risquerait pas un seul instant de changer pour quelqu'un.  

Il donne l'air d'être insensible, ne pleurant pas aux enterrements ou n'affichant que rarement une véritable émotion autre que la haine ou la rage sur son visage. Pourtant, comme tout le monde, et même si sa vie ne l'a pas ménagé, il est capable de compassion ou encore d'émotion plus douce. Cela ne se fait simplement pas en un jour, surtout quand on est de base un solitaire. Alors, oui, il pourrait tomber amoureux d'une femme, ça ne fait aucun doute, mais elle devra être solide mentalement. Il s'agit tout de même d'un homme qui a répandu sang, tripe et drogue à tout-va. Qu'on l'a forcé à faire les pires choses et qui n'a jamais eu de remords ou du moins en surface. Sans être fragile dans sa psyché, c'est un homme qui a besoin de temps et qu'on respecte cette volonté. Le forcer à agir dans votre sens, ne ferais que le froisser et vous finirez en piteux état.

Hybride des pieds à la tête, il ne porte pas pour autant ses confrères et consœurs dans son poitrail. Pour lui, beaucoup d'hybrides et principalement les dociles ne sont qu'une honte ou quelque chose de totalement négligeable. Il n'irait pas jusqu'à se charger lui-même de les rayer de la carte, mais il ne va pas leur adresser beaucoup de sympathie. Il ne cautionne pas l'agissement des humains envers les hybrides bien au contraire. Alors, même si un Hunters tuait un docile devant lui, il vaudrait mieux que ce dernier sache courir vite. Sinon le lendemain, se serait deux cadavres que l'on retrouverait sur le sol. Il n'y a pas de demi-mesure avec cet homme, pas de limite et peu de retenue. Il ne porte pas énormément de gens dans son cœur humains comme hybrides. Il agit bien souvent comme un paria, un reclus et ne s'en inquiète pas. Il sait qu'il peut-être remplaçable, mais qu'il reste indispensable dans Nekai. Peu de personnes voudront sa place en tant que pompier alors jusqu'à ce que la balance change de côté, il va vivre encore et encore à son rythme.

La croyance catholique pilier fondamentale aussi bien de son éducation que de sa vie, ne l'a jamais lâché. Même si ses agissements ne sont que péchés aux yeux de l'église, qu'il ne respecte pas plus les prêtres humains qu'il pourrait croiser à la messe, il vient chaque dimanche. On peut même trouver chez lui plusieurs croix, dans sa chambre, salon et cuisine de taille différente. Il n'a pas honte de prier tous les soirs le dieu en qui il peut croire à chaque instant ni de porter sur lui un chapelet. Sur son dos, on peut trouver la vierge à l'enfant de façon assez détaillé ainsi que Notre-Dame de Guadalupe sur le bas du dos. C'est un signe de sa dévotion, et même si pour vous ses croyances sont illégitimes ou désuètes, évitez de lui dire. Il n'est pas un martyr, ni un homme de foi pieux, il vous tuera pour la moindre indiscrétion sur sa foi. D'ailleurs, son fanatisme envers cette religion est allié à celle des anciens hybrides. Il croit en leur retour et à la suprématie qu'ils avaient auparavant. Si un jour un groupuscule refait naître ce culte, Javier n'hésitera pas de près ou de loin à les aider quitte à devoir décimer des gens dans son entourage ou la ville. Il sait pertinemment que le feu pourra effacer les traces et cela tombe bien, il pourra en créer à volonté. Qui y aurait-il de plus adapté comme fidèle d'une croyance révolue, mais, non perdue qu'un prêcheur discret et instable, capable de beaucoup ?
Histoire

La famille, les amis, la joie, la fraternité, il ne connaît pas. Il n'est pas né dans une maternité paisible et accueillante. Pas de père comme modèle pour veiller sur soi et une mère qui n'a été au final qu'un pion sur l'échiquier. Il ne peut commémorer la mort de celle qui l'a mis au monde, car son corps n'a jamais été retrouvé. Il est encore un enfant, il ne sait rien, n'apprend rien de tout cela et c'est ainsi qu'un grand vide se forme dans ses souvenirs. Le néant ne fera que laisser la place aux idées folles, fanatiques et incontrôlables, qu'un esprit vide et lobotomisé par l'absence d'amour aura fait germer.

22 Juillet 21xx• Porto Rico – La flamme vacille lentement.

Les enfants jouent avec un ballon en riant, ils s'amusent, vivent à un rythme de leur âge, mais pas tous. Il y en a un aussi maigre que livide qui regarde le paysage. Il ne dit pas un mot, il fixe juste l'horizon en soupirant. Un homme en costume cravate un peu trop propre sur lui vient d'un coup le tirer par le bras en l'insultant de tous les noms en espagnol. Il se débat en lui répondant avec autant d'arrogance et d'injure avant de recevoir une gifle magistrale. Il ne bronche pas en continuant avant de sentir sa jumelle sur son autre joue. Cette fois-ci, il ne parle plus, il ne s'agite plus et bite l'homme élégant dans les yeux avec noirceur. L'autre rigole avant de l'emmenant dans un grand hangar comme d'autres enfants. Il n'est pas le seul à devoir travailler pour ce Locochón. Tout le monde le connaît sous son surnom, car il n'a aucun scrupule à tuer les gens qui l'entourent s'il considère que leur travail n'est plus utile ou qu'il est bâclé. Javier ne le sait pas encore, de ses yeux d'enfants, mais plus qu'un bourreau, il va devenir son élément déclencheur. Il s'installe devant l'une des tables et commence donc en enfilant un masque à préparer comme d'autres comme lui des stupéfiants. Il ne fait aucunement cela par plaisir, mais quelqu'un doit le faire et ce ne sera pas un adulte. Ils n'iront pas en prison ces jeunes s'ils se font prendre, au contraire. Locochón le sait parfaitement et il profite énormément de cette situation. Il peut ainsi les exploiter encore et encore sans avoir la simple inquiétude qu'ils divulguent ce qu'ils font, car tout le monde sait qui est Locochón et ce dont il est capable.  

07 Février 21xx • Porto Rico – Dans le feu de l’action.

Javier attend dans une ruelle sombre, sa capuche sur son crâne, les mains enfoncées dans ses poches de blouse. La nuit est fraiche, lugubre et pas un chat ne rôde. Une scène se passe alors sans que Javier n'en soit choqué, car il est l'acteur même de cet incident. Il voit arriver un de ses clients qui tentent de l'arnaquer avant de le menacer avec un couteau. Le latino en possède également un, mais la différence de taille. SI l'inconnu n'ose pas tenter la chose, ne faisant que brasser du vent en violence verbale. Alors, que comme une braise chaude, l'impact de Javier est sans appel. La lame de son couteau se plante dans le bas-ventre de son interlocuteur et en croisant son regard il la bouche de droite à gauche en se tachant les mains avant de le laisser tomber sur le sol, mort. Il a tué et il le refera, sans aucun doute autant de fois que le destin le poussera à le faire. Il n'a pas envie d'être généreux ou agréable avec ceux qui ne méritent pas ce genre de politesse. La tendresse, le pardon n'ont pas leur place dans ce milieu malfamé et sanglant.

11 Octobre 21xx • Porto Rico - Une flamme sous une cloche de verre et de fer.

La vente de stupéfiant, la violence et les agressions dont il avait été accusé avaient fini par le faire terminer sa route en prison. Il se faisait raser, violenter et c'est en prison qu'il entamait alors un changement radical. Sa chair se parsemait de plus en plus de marques d'encre, de tatouages. Chacun ayant son sens, sa raison d'être sur le corps d'un Javier tout sauf abattu par sa condition. Ici, il était loin de Locochón, même s'il se doutait que le trafiquant avait des hommes dans la prison. Les jours, les semaines et bientôt les mois s'écoulaient avec une vitesse folle. La prison ne faisait pas que forger le caractère de Javier, il lui donnait l'occasion de s'épanouir d'une façon surprenante. Les agressions dans les douches, au bout des couloirs avaient été fréquentes, mais c'était sans compter ce qui vivait dans sa chair. La prison dans laquelle il se trouvait, au beau milieu du Texas, avait connu des truands en tout genre, des tueurs et autres criminels, mais pas de son acabit. Personne n'aurait pu deviner, pas plus que Javier lui-même que sous la colère qu'il avait accumulée aussi longtemps, un homme périsse par les flammes. Le corps calciné, méconnaissable et inerte du détenu en face de Javier était la preuve que le porto ricain n'était pas un homme comme les autres. Quand beaucoup auraient paniqué, prit peur ou auraient été décontenancé, lui fixait son crime. Un sourire imperceptible se formait sur son visage alors qu'il se tournait vers un autre homme en lui brûlant la joue de son index avant de mettre un coup de boule au troisième. « Puta la madre, vous m'avez pris pour votre proie, alors maintenant, c'est qui le vrai chasseur ? » Il était fier de son acte, il l'assumait totalement et en sortant, il recevait alors des coups par les gardes non sans voir dans leur regard de la méfiance. Il était passé de simples détenus à cas isolé et dangereux. Pourtant, personne ne savait ce qu'il était, et même après une batterie de tests, il restait un cas totalement ingérable. Il fallait l'abattre, s'en débarrer, ce qui plusieurs ont essayé, en vain. Le pendre avec une corde qui brûlait sous ses flammes ? La chaise électrique qui, avant même d'être mise en marche avait fondu sous son don ou encore une balle qui n'était plus que liquide avant de toucher son crâne. Non, Javier ne voulait pas mourir et après tant d'effort de leur part, il avait terminé sa peine, retournant dans la nature.

29 Avril 21xx • Nekai

Le temps avait fait son office et c'était en prison qu'il avait appris l'existence de Nekai, la ville aux hybrides, celle qui pouvait l'accueillir. Il avait alors pris la direction de cet endroit, mais hélas pas seul. Locochón était mort, mais son fils Raul lui avait repris d'une main de fer la direction de toute cette entreprise de l'ombre. Délégant à l'un de ses bras droits la direction à Porto-Rico, il avait alors suivi Javier dans ce monde inconnu dans l'espoir de se faire encore plus d'argent et une renommée là-bas également. Il était loin d'être le seul et si Raul avait su trouver rapidement des moyens d'arriver à ses fins en aidant les Hunters volontairement, ne se souciant pas de la condition de Javier, la vengeance ne traînait pas loin. Le pompier qu'était devenu la salamandre, était responsable, silencieux, mais pas moins lui-même et croyant. Il ne pouvait pas laisser ce sombre tortionnaire, fils d'une tête pensante sans scrupule continuer son manège. Les hybrides devaient être les supérieurs, pas les humains. Alors, pendant des mois et des mois, Javier ruminait sa vengeance, errant chaque soir autour de la propriété de Raul qui sans rien soupçonner l'accueillait parfois chez lui. Il pensait l'avoir à sa merci et ne rien craindre d'un petit agneau comme Javier. Hélas, l'agneau était en fait un loup, plus ambitieux dangereux et inflammable que jamais. Il préparait son coup de maître chaque jour, jusqu'à ce qu'il soit prêt. L'erreur était humaine, comme l'idiotie d'un Raul si sûr de lui qu'il avait laissé ce brasero vivant chez lui. D'un simple geste, boiserie, rideaux et autres textiles prirent alors feu rapidement, pièce par pièce la demeure de trafiquant commençait à être dévorée par les flammes. Il finissait reclus dans un petit vestibule, entouré par les flammes, avant que Javier ne sorte de ces dernières. « Ton padre a détruit ma vie et celle de bien d'autres. Tu penses que nous autres hybrides sommes tes chiens. Alors, Cabron, tu vas mourir comme l'ordure que tu es. Et moi les tâches comme toi, je les immole par le feu, pour nettoyer le péché vivant que tu représentes, Hijo de puta. Bienvenue en enfer Raul, les flammes sont ton accueil. » Il quittait alors le manoir en le laissant brûler. Il avait découvert bien plus tard qu'une partie de l'argent que possédait Raul avait fini par lui revenir. Depuis, il vit de son métier de pompier tout en habitant dans un vrai palace. La richesse n'est là que pour l'envelopper dans un coussin de luxe, car au fond de lui, il reste un hybride humble, mais fanatique.

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Aria T. Murasaki
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Aria T. Murasaki
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Dim 7 Mai - 20:34
Re-bienvenue, j'ai remis la balise manquante en place! :3
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Invité
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Lun 8 Mai - 15:29
Annnnh coucou toi ♥ 
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Invité
Invité
Lun 8 Mai - 15:43
Gracias señorita ~

Je me permet de demander quand le temps le permettra, si tu peux Aria me dire si l'aspect religieux correspond à ce que vous aviez voulu avec le culte qui va être mit en place, merci ~
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Aria T. Murasaki
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Aria T. Murasaki
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Lun 8 Mai - 16:45
J'ai lu la partie sur les religions et pour moi cela correspond bien au culte des hybrides qui sera en place prochainement. Tu ne donnes pas trop de détails, ce qui colle avec le mystère qui plane encore autours de ce culte, et les deux religions peuvent se rejoindre sans trop de soucis!
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Invité
Invité
Jeu 11 Mai - 20:19
Fiche terminée !
Par contre je tiens à préciser qu'il y a sans doute deux bugs avec le code ou CSS.

Impossible d'éditer le sujet si on prévisualise avant et si le texte est trop long aka caractère et histoire de Javier, ça fait buger la scroll bar (je précise plus pour information j'suis naze en CSS)


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Aria T. Murasaki
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Aria T. Murasaki
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Ven 12 Mai - 20:34
Coucou-coucou!
Comme promis je suis venue pour lire ta fiche, et très franchement je ne vois presque rien à redire. Mon seul petit soucis est de savoir si hériter de beaucoup d'argent suffit à faire de toi un noble. Je suppose que les capacités spéciales le mettent dans une position où tout le monde voudrait qu'il continue de faire son boulot... Donc un rang de noble lui reviendrait de droit! J'ai bon?
Zeki rentre tard ce soir donc je vais demander l'avis d'Abel pour le conforter!
*appel à un ami*
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Anonymous





Invité
Invité
Ven 12 Mai - 21:10
C'est aussi ce que j'avais pensé en fait. Qu'il ne soit pas considéré comme noble seulement par son argent, mais aussi parce qu'avec son métier il a du se faire une bonne réputation, contrebalançant qu'il est un dangereux malade.
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Aria T. Murasaki
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Aria T. Murasaki
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Ven 12 Mai - 21:23
Bebel m'a donné son accord donc je valide!
Pour la suite tu connais le chemin :3
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