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L'injurieux rencontre la silencieuse -Feat Alwena Conan

Anonymous





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Jeu 13 Déc - 23:51
Rob & Alwena
D'ordinaire c'est ce con de réveil qui me sort de mon sommeil, mais cette fois-ci, ce sont des  piafs. J'ai déjà dit à Mégara de faire virer ces saloperies, mais je crois que je peux espérer. Si seulement ils savaient respecter mon sommeil ces foutus oiseaux. Je fixe l'heure sur mon portable faute d'avoir un véritable réveil et je constate bien vite que ma harfang a déjà filé. Oh ce que cette journée à l'air merdique, ça pue à plein nez, un peu comme moi. Haleine de cadavre, tronche vitreuse. Quelle idée de picoler comme un trou, toute la soirée. Après, je m'étonne que Mégara m'envoie chier, mais qui voudrait se taper un cadavre pareil. Sans chercher à avaler quoi que ce soit, je me jette dans la salle de bain et la douche. Je fixe mes fringues par terre et repense au fait que si je les laisse là après je vais me faire déchirer par une jolie blonde sans hésitation. Rah chier, l'eau est gelée, mais faute de mieux, je me lave comme ça. Je ressors aussi frigorifié que les vieilles bûches de Noël congelées avant de ramasser mes merdes. Au moins dans le bac de linge sale, je risque beaucoup moins la colère de Mégara. Au moins, je suis en congé, j'aurais une raison de ne pas bouger. J'enfile de nouvelles affaires avant de voir un message de mon patron. Pourquoi je sens que je vais me mettre ma journée de congé à la raie et devoir filer au QG ? Je termine de m'habiller, parce que merde, il peut bien attendre ce sale con et comme prévu, je suis demandé d'urgence là-bas. Mais qu'est-ce qu'ils ont encore foutu cette bande de branleurs, sérieux ? Et à quoi me servent mes jours de congé, si je ne peux même pas en profiter ? Bon, bah, pas le choix.

Je croise notre jardinier, enfin celui qu'à embaucher Mégara. Je ne sais pas si je peux saquer ou pas ce mec, en tout cas, je lui rends en me forçant, son sourire. Je suis au moins heureux de voir que ma Mustang est toujours flambe en neuve et qu'en plus elle a été nettoyée. Qui a touché à ma caisse putain ? Hum peut-être moi en fait… Il faut vraiment que j'arrête d'autant picoler, je ne sais même plus ce que j'ai foutu. D'ailleurs, est-ce que j'ai pioncé avec Mégara ? Je lui demanderais ce soir, si je survis à cette journée de merde. Une fois le cul posé dans le siège de ma bagnole et avoir mis le contact, je tapote le volant en attendant que la grille s'ouvre. Je prends la route sans le poser de question, filant aussi rapidement que possible. Plus j'approche du QG et moins le peu de joie que j'avais, arrive à tenir le coup. Rien que savoir que je vais encore voir leur tronche de con et entendre des remarques aussi débiles qu'eux, ça me fout le cafard. Me voilà bientôt hors de ma voiture à pousser du pied la porte du QG avant de filer vers la salle où je sais que je suis convoqué. Le chef est là, mais il n'est pas seul. Je ne sais pas qui est cette rousse, mais pourquoi je sens qu'on va me la refiler ? « Bonjour Robert. Vous êtes enfin là. » « Je dois vous rappeler que c'est mon jour de congé ou ça se passe comment ? » « Vous en aurez un autre en remplacement. » « Et vous ne vous êtes pas dit que je l'avais pris exprès ce jour ? Enfin bref, je peux parler dix ans, c'est comme pisser dans un violon. Vous me voulez quoi ? » « Rob ce n'est pas parce que vous êtes un hunter efficace qu'il faut me manquer de respect. Vous savez que je peux vous virer sur-le-champ. » « Je sais aussi que ça vous enlèverez un bon élément au passage. » « Voici, Alwena. Cette soldier a été récemment amené au QG afin d'épauler dans de futurs missions le ou la hunter que je choisirais. Etant donné que vous n'avez rien à faire je vous la confie afin que vous vous familiarisez avec la présence des soldiers. » Il se barre en me laissant comme un pauvre con devant cette Alwena. Quelle journée de merde. Je pose mon cul sur une des chaises et je la fixe. « Euh...salut, moi Rob comme tu as du le comprendre. Comme le fait que je sois hunter. Je ne vais pas te demander ton pédigree parce que je n'en ai pas envie, donc si tu veux me dire des choses sur toi, balance que la journée soit moins merdique pour nous deux. »


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Dim 16 Déc - 17:46
L'injurieux rencontre la silencieuse
Aujourd’hui était un jour spécial pour moi : ma première rencontre avec un hunter en dehors des formateurs. Un vrai, qui chassait les hybrides pour subvenir à ses besoins. Au fond, j’espérais qu’il ne serait pas le genre de Hunter qu’Eliot aurait détesté, qui prenais plaisir à faire son métier comme un boucher prenait plaisir à couper la tête d’une poule en l’imaginant déjà dans son four. Je soupirais en me levant de mon lit, au camp de redressement. Alors non, je vous arrête : je n’ai rien fait pour être ici. Je dois juste rencontrer ce Hunter ici, parce que c’est soit disant leur QG. QG bien pourris si je peux me permettre, parce que vus l’argent qu’ils doivent se faire, ils pourraient avoir largement mieux comme locaux. Enfin, ce n’est que mon avis de Soldier fraichement diplômée. Je sortais du quartier des Soldier, où habitais une autre personne que je ne croisais que très rarement. Un petit nain noir, sans être raciste : il est juste petit et noir, c’est tout. Je ne savais même pas son nom, ni même s’il avait finis la formation, rien du tout. En même temps, je n’avais pas cherché à savoir, parce que ça ne me regardais tout simplement pas. Je me dirigeais lentement vers les douches, me fichant pas mal de l’heure qu’il était, après tout il paraissait que le Hunter avec qui j’allais travailler aujourd’hui n’était même pas au courant. Je serais une sorte de ‘mise en garde’ pour son comportement. Qu’elle joie d’avoir trimée pendant trois ans pour être au final, considérée comme une punition, comme si ce Hunter était un enfant de 10 ans. Alors que d’après la description de la fiche, il est plutôt du genre ours mal léché qui insulte à tout va et qui n’hésite pas à t’en foutre une si tu le fais chier. Je prenais une douche rapide, histoire de pas penser à Eliot, comme d’habitude quand je prends mon temps. Après cela, j’enfilais un short noir moulant, un haut doré et mes éternelles cuissardes à talons. Elles ne m’avaient jamais empêchée de courir ou de grimper sur un mur pour rentrer dans un bâtiment, alors on ne m’avait jamais demandée de mettre autre chose pour les missions. Une fois habillée, je mettais doucement, presque religieusement le manteau d’Eliot, me retenant de sentir le tissu, sachant très bien que depuis trois longues années, l’odeur de son parfum n’y serait clairement plus. Je savais bien que je pouvais acheter son parfum, mais ça allait plus me faire souffrir et prolongé mon deuil qu’autre chose…

Je soupirais en entrant dans une sorte de salle de réunion, où le chef des Hunter ce tenais bien droit sur sa chaise. Mon dieu, qu’on lui enlève le balai qu’il avait dans les fesses… Je suis mal placée pour parler, mais moi au moins j’avais une excuse : perdre l’homme qu’on aimait changeais une femme. Lui il avait l’air d’être né en faisant la gueule. Je m’asseyais donc, supportant pour la troisième fois le récapitulatif du Hunter que je devais surveiller aujourd’hui. Oui, que je devais surveiller. Pour éviter qu’il fasse la tête au carré à notre cible du jour. Génial hein ? Une Soldier devenue baby-sitter pour Hunter. Je devrais déposée un brevet pour ça, non ? Enfin, je me contentais de hocher la tête sans vraiment écouter Monsieur J’ai Un Balai Dans Le Cul, avant d’entendre des pas venant du couloir. Liberté ! Je ne sais pas qui tu es, mais si tu ouvres cette porte, je te sourirais comme remerciement pour m’éviter une minute de plus son éternel blablatage. Je me levais doucement, lorsque la porte s’ouvrit… Sur un mec qui faisait encore plus la gueule que le patron. Joie, bonheur et allégresse, encore quelqu’un qui se lève tout le temps du pied gauche. Je remballais bien vite mon sourire intérieur, me contentant de garder mon éternelle figure froide et impassible. Pas pour rien qu’on me dit souvent que c’est moi qui ai fait couler le Titanic. Je restais de glace pendant toute leur conversation, me contentant d’attraper l’épée d’Eliot, désormais la mienne je suppose, qui était posée contre le mur. Je la prenais doucement, comme si elle était en cristal alors qu’elle était bien aussi lourde qu’elle ne le laissait penser. Je revenais calmement me poster à côté du Hunter, désormais le mien, pour la journée, restant droite et le regard fixer devant moi, comme le protocole l’indiquais : toujours attendre l’autorisation du Hunter pour agir librement. Je laissais le chef partir comme un roi qui donnait fièrement ses ordres à la plèbe de son royaume, ne sursautant même pas lorsqu’il claquât la porte. Vus le nom du Hunter, Robert, tu m’étonne qu’il fasse la gueule comme ça… Je posais la pointe de mon épée par terre, gardant le pommeau dans la main droite, laissant mon bras gauche le long de mon corps, écoutant le Hunter, qui n’avait franchement pas l’air amical. Tant mieux, je n’étais pas devenue Soldier pour me faire des amis.

-Tout ce que vous avez besoin de savoir est mon nom. Et vous le savez déjà. Si vous avez des questions, mon dossier est sur la table, Monsieur MacAlister. Tout comme le dossier de la mission qui nous est confiée aujourd’hui.

Et toc. Si tu oses dire devant ton patron que t’es un bon élément de cette façon, eh bien tu as la preuve que moi aussi je suis un bon élément. Un Hunter n’est pas censé se lier au Soldier qui lui ai confié, alors si Monsieur pensais que j’allais déballer ma vie comme ça, c’est raté. Bien sûr, je me doutais déjà de ce qui était dans ce dossier : ma race, que j’ai été première de ma promotion, ce qui n’était pas dur honnêtement, et la personne qui s’est occupé de ma formation. Je doute fortement qu’ils parlent d’Eliot, vu que ça ne concerne que les hauts placés.

-Je suis prête à partir quand vous le voudrez, Monsieur. Sachez tout de même que je ne suis pas ici pour assurer votre protection, mais plus celle de la cible. Ce n’est pas noté dans le rapport, mais le chef voulait que vous le sachiez.

Je me retenais de faire un sourire en coin : je savais très bien que le patron faisait ça uniquement pour ce vengé du comportement de ‘Rob’. Même si je n’aimais pas être l’outil de cette vengeance, cette situation m’amusait, intérieurement bien sûr.


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Ven 1 Fév - 16:11
Rob & Alwena
La première approche avait de quoi être qualifiée d'approche de merde. Je crois que le mot était juste, vu le résultat. Je ne savais pas si cette hybride avait envie de rester un morceau de glace à vie en tout cas, j'avais compris le message. Elle n'allait pas jouer la nounou de service, ni le chien qui m’obéit. Je ne prenais pas mal sa présence, mais sans doute bien plus l'excuse qu'avait trouvé le chef pour me la coller dans les pattes. Je n'en voulais pas spécialement à cette Alwena. Elle était dans la même galère que moi et je crois que supporter ma sale gueule de con, ça allait déjà être un exploit pour elle. Je grinçais un peu des dents à son monsieur MacAlister. J'avais beau m'appeler comme ça, je crois que c'était limite aussi agaçant que d'entendre quelqu'un m'appeler volontairement par mon prénom, au complet. Dans une autre situation, je me serais arrêté deux minutes pour réfléchir au fait de lâcher une réflexion ou non, mais pour le coup, je crois que je n'avais plus rien à perdre. «  Appelle-moi Rob, sinon je crois que ça va me les briser vite. Ce n'est pas contre toi, mais le chef m'appelle presque que comme ça et j'en ai ras le cul de l'administratif depuis quelque temps. Par contre, je m'en contrefous du dossier sur la table. Ça été sans doute écrit par un connard qui t'a observé comme un animal sans jamais réfléchir, pour ça que je te demande directement. Quitte à devoir faire plus ou moins équipe avec toi, j'aimerais autant savoir à quoi m'attendre. Pas tous les jours que je me retrouve avec une hybride qui se la joue épée de 100 kilos dans les pattes. Bref, je parle trop, on va y aller avant que tu finisses par te figer comme une statue de cire dans la pièce. »

Il me prenait quoi putain à parler autant aujourd'hui ? J'étais censé faire la gueule, passer une sale journée, pas faire la discussion. Même si dans le fond, elle était aussi forcée à la tâche que moi cette Alwena. Je soupirais en me relevant brusquement de ma chaise, chaise que rangeais pour le coup plus calmement que ma levée au passage. Je passais devant Alwena, sans vraiment la regarder avant d'ouvrir la porte pour la lui tenir. Connard ou pas, journée de merde ou non, la galanterie avait encore un minimum d'intérêt pour moi. Je la laissais passer en voyant qu'elle se cacher avec son épée avant de lever un sourcil. « J'ai quelqu'un que tu t'en fiches ou pas, pas la peine de faire bouclier avec ton épée. Je ne vais pas t'agresser. » Une fois Alwena devant moi et loin de la porte, je la laissais se rabattre lourdement avant d'indiquer le chemin à la Soldier sans vraiment regarder derrière moi. Elle n'avait rien d'une empotée de merde et savait marcher sur ses jambes, donc aucune raison de la regarder toutes les 30 secondes pour m'assurer qu'elle était encore dans mon dos. Je soupirais longuement en me disant que plus j'allais me plaindre et moins la journée allait s'arranger dans le fond. Même Mégara me disait d'arrêter de faire la gueule pour rien. Venant d'elle, c'était à moi une blague, mais l'autre moitié voulait bien dire ce qu'elle voulait dire : j'étais trop négatif comme mec. « Ouais, j'avais compris et de toute façon, je ne t'aurais pas demandé de l'aide pour me torcher ou lasser mes chaussures, je te rassure. Enfin, tout ça pour dire que si je t'ai demandé de te présenter, c'était par politesse…mais aussi parce que j'essaye toujours d'apprendre à connaître les gens avec qui je bosse, autrement qu'en lisant leur CV. T'es rendue à servir de punition, alors que tu pourrais apprendre plus. » Une fois en dehors du QG, je sortais une clope avant de lui tendre le paquet. Bon, elle n'était pas du genre à fumer, je prenais ça en compte. Je ne savais pas si elle me voyait faire, mais j'allais sans doute l'air con, le doigt levé pour savoir le sens du vent. J'allumais ma cigarette avant de me mettre contre le vent pour parler à Alwena. «  Autant, je comprends la raison pour laquelle il t'a mis dans mes pattes, beaucoup moins,  pourquoi toi. S'il avait voulu m'emmerder, il aurait mis un hybride chétif, un truc qui dit oui à tout ce que je lui aurais dit, un casse-burne en gros. Toi, tu as beau te tenir droite comme le protocole le veut, je doute que tu agisses comme un toutou, je me trompe ? Donc, sauf si ça t'emmerde vraiment, on va revenir au début. Sans prendre en compte la situation dans la salle de réunion. »

Je tendais la main vers elle, avec un air moins désagréable. « Bonjour, moi c'est Rob et on va être partenaire cette journée. » J'attendais de voir ce qu'elle ferait, en essayant de lui montrer que je faisais un effort pour éviter que la journée qui se passait actuellement, en ma compagnie, soit tout sauf un calvaire. Je n'arrêtais pas de dire qu'elle et moi étions dans le même bateau, alors il était tant de rendre ça moins chiant à supporter. En plus, mine de rien, j'allais avoir quelque chose de positif à raconter ce soir à Mégara. Sans sortir le champagne, ça ne pourrait qu'améliorer l'ambiance à la maison. Surtout après ce que j'avais fait. Non parce que je savais d'avance que si j'avais été bourré, c'est que j'avais bu comme un trou et que la dispute avec Mégara était limite obligatoire ce soir. C'était con à dire, mais à vivre tout le temps seul, j'en avais presque oublié que maintenant, je vivais avec cette jolie harfang et qu'il fallait que je fasse des concessions moi aussi et pas juste elle. Quelle journée bordel, sérieux quelle journée.


©️ ASHLING POUR EPICODE


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Dim 10 Fév - 17:15
L'injurieux rencontre la silencieuse
Je ne réagissais pas vraiment à son air encore plus renfermé lorsque je l’appelais par son nom. Après tout c’était normal non ? Une Soldier sais où est sa place, même si à la base je venais d’une famille ‘respectable’, j’avais abandonnée tout ça pour prendre la place d’Elliot, et je ne regrette absolument pas. Mais je devais aussi faire ce qu’il me demandait. Oh et puis après tout c’est lui qui prenait toutes les responsabilités à l’instant même où le patron au balai était sorti de la pièce. Alors j’allais faire ce qu’il me demandait, mais il pouvait rêver pour que je le fasse avec le sourire. Je me contentais de hausser un sourcil sur sa façon de décrire la personne qui avait écrit ce dossier. Effectivement, il n’avait pas été écrit comme si c’était un dossier médical concernant un humain, mais plus comme le mode d’emplois sur un micro-onde… Par exemple : mon passé, mon caractère, ce qu’il faudrait éviter d’aborder pour que je ne sois pas encore plus ‘bavarde’... Notez la blague, surtout. Enfin bref, je n’étais qu’un objet, une arme secondaire pour les Hunter, alors il était normal que celui qui m’ai observé se comporte comme cela en écrivant ce dossier. Mais apparemment Rob n’était pas de cet avis. Un Hunter qui n’aime pas la base des Hunter, ça risque d’être une mission intéressante… Je serais le pommeau dans ma main lorsqu’il fit une remarque sur son poids, le fixant dans les yeux sans rien dire. Il est vrai qu’il est rare de voir une femme comme moi, qu’on considérait frêle physiquement, se promener avec une épée comme arme… Mais pour qu’il fasse cette réflexion, on ne devait même pas lui avoir dit ma race, qui était connue pour sa force dans les membres inférieurs et supérieurs. Comment voulez-vous qu’on mène à bien une mission si moi, le glaçon de service, devais tout dire ?! C’était le boulot du patron de le renseigner ! Je serais les lèvres, assez vexée de voir qu’on demandait beaucoup aux Soldier sans même les respecter un minimum en retour.

Je ne sursautais pas lorsqu’il se relevait brusquement, me contentant de lever la tête pour continuer à le regarder. Vue ma taille, il était assez rare pour moi que je doive faire ça, mais pour une fois, ça ne me gênais pas. Et puis comme ça, il pouvait voir que question d’yeux au moins, on avait un point commun. Même s’il passait devant moi sans me regarder. Je me retenais de soupirer, cette journée promettais d’être longue et pénible, autant pour moi que pour lui, apparemment. Je le suivais sans rien dire, avant d’être légèrement surprise qu’il me laisse passer devant lui. Serait-il un gentleman caché ? Je rigolais intérieurement de ma pensée, passant la porte en mettant mon épée devant moi par reflexe, avant de me tourner vers lui à sa réflexion, les sourcils froncés. Est-ce que ça m’intéressait de savoir qu’il avait quelqu’un ? Non. De toute façon, même s’il tentait quelque chose, je pense que physiquement, je gagne. Après tout, j’ai ma force d’hybride, même s’il est un homme il n’en reste pas moins un humain. Pas pour rien qu’aucun prof humain n’avais tenté quelque chose avec moi au camp : ils savaient que je pouvais facilement leur briser un bras, même si j’en paierais les conséquences. Je pinçais les lèvres lorsqu’il se remit à marcher, me demandant si c’était une bonne idée de vouloir lui dire qu’il ferait la même chose si on lui matait tout le temps l’arrière train. Je soufflais doucement pour me calmer et ainsi éviter d’envenimer le début de cette mission qui ma fois, n’avais pas vraiment très bien commencée. Je refusais calmement sa proposition de fumer, avec presque une grimace : je détestais l’odeur de ce machin, mais je n’allais pas lui faire de réflexion. Il faisait ce qu’il voulait de ses poumons après tout, il était majeur. Au moins il avait compris que je n’étais pas ravie d’être une nounou, même si ça façon de le dire était extrêmement impolie… A croire qu’une séance de cours de bienséance en société ne lui ferait pas de mal. Enfin, je comprenais aussi à moitié pourquoi il m’a demandé de me présenter, même si je n’étais pas ravie, je ne savais pas trop quoi dire, appart mon nom, en vérité. Je n’avais pas vraiment envie qu’il en apprenne trop sur moi et finisse par avoir pitié, comme la plupart des gens en dehors du camp qui apprenait pour Elliot. Insupportable. Le suivant calmement, laissant le son de mes talons remplir le blanc qu’il y avait le temps d’arriver devant sa voiture qui… Oh, une Mustang… C’était un peu le rêve d’Elliot de pouvoir se payer une voiture aussi belle… Je dois avouer que ça me fait tout drôle de me retrouver devant du coup… Elliot avait toujours aimé la beauté et la puissance de cet engin… Un peu sauvage, comme lui et sa nature de loup, en bref. J’étais surprise de la proposition de Rob, mais encore plus de sa main tendue, que je fixais pendant quelques bonnes secondes. Je clignais des yeux avant de le fixer, changeant mon arme de main, pour serrer la sienne.

-Je m’appelle Alwena. Alwena Connan. Je suis loin d’être un toutou, mais j’ai pour habitude d’obéir, même quand ça ne me plait pas. Avec bien sûr, une petite… Vengeance derrière. Demandez donc à votre patron où à finis sa boite de cigare hors de prix lorsqu’il m’a forcée à remplir un dossier d’inscription aux cours de tango pour sa femme.

Je reprenais ensuite mon arme dans ma main droite, continuant de le fixer. S’il désirait être clair, autant que je le sois aussi. Et puisqu’il n’était pas du genre à lire un dossier, il faudrait qu’il sache qui je suis ou au moins comment je me bats.

-Je suis une hybride dendrolague. Un kangourou des arbres, en gros. Et cette épée ne fait pas cent kilos…. Juste 4 ou 5… Je ne l’ai jamais pesée en vérité. Et même si elle ne m’appartient pas vraiment, je vous déconseille d’essayer de me l’enlever sans mon consentement, comme ce manteau. Sinon je pense que vous devrez poser un congé maladie pendant quelques semaines pour membres cassé.

Je clignais calmement des yeux, après tout ce n’était pas une menace. Je le prévenais de ce qu’il ne fallait pas faire avec moi après tout. Même si ça pouvait passer pour autre chose qu’une mise en garde…

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