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Love is all (Marty chou ♥)[Terminé]

Thérésa M. Smiren
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Thérésa M. Smiren
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Ven 8 Sep - 22:46
Thérésa & Marty
"Love is all."

L'heure était grave. Debout face à sa penderie, Thérésa observait les vêtements qu'elle avait à sa disposition. Le choix était large, et elle ne parvenait pas à se décider. D'ordinaire, elle ne faisait pas vraiment attention à ce qu'elle mettait. Mais aujourd'hui, elle refusait d'être trop négligente. Bien que la majorité de ses vêtements se ressemblaient, ou étaient simples. C'était dans ce genre de moment que la jeune femme regrettait un peu de ne pas faire plus attention à ce qu'elle achetait. Faustine était bien plus regardante qu'elle sur ce point-là.

Aujourd'hui, il y avait un évènement spécial. Une chose qui n'arrivait, malheureusement, pas tous les jours. Marty, son Marty, venait chez elle. La renarde avait profité d'un jour où ses parents étaient absents pour l'inviter. Il restait bien sa sœur, mais elle ne poserait pas de problèmes. C'est que Marty n'était pas n'importe qui. Si, officiellement, il était juste un bon ami, Thérésa le voyait différemment. Il y avait au fond d'elle des sentiments, bien que pas du tout assumé pour l'heure.

La jeune femme finit par arrêter son choix sur un pantalon en toile marron foncé, et un top de même couleur mais plus claire. Un jour prochainement, elle retournerait faire du shopping plus sérieusement avec sa cadette. Faustine avait bon goût, et s'y connaissait mieux qu'elle. Après les vêtements vinrent les cheveux. Démêler une telle longueur était une vraie plaie, mais pourtant elle prenait plaisir à le faire.

Thérésa jeta un œil à l'heure. Marty n'allait plus tarder normalement. Assise dans le salon avec sa cadette, elles se livraient une bataille acharnée aux cartes. Bien qu'elle tentait d'être concentrée sur la partie, la renarde avait l'esprit ailleurs. Elle avait hâte que son batman à elle arrive. Même s'il y avait des chances qu'elle l'accueille avec une moquerie plutôt qu'avec des mots doux et tendres. Eh oui, l'amour, aussi fort soit-il, ne peut pas changer complètement une personne.

Quelques coups timides à la porte se firent entendre. Lâchant d'un coup ses cartes, sous le regard amusé de Faustine, la renarde se précipita pour ouvrir. L'encadrement de la porte laissa apparaître un Marty visiblement assez peu assuré. Une étincelle taquine s'alluma dans les yeux de Thérésa, malgré le sourire lumineux qu'elle arborait.

-Salut Marty ! Tu t'es pas trop perdu ça va ? Et fait pas cette tête, t'es pas encore entré je te rappelle.
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Lun 11 Sep - 18:30

Believer
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Thérésa & Marty
font leur premier pas en amour.
« Une chauve-souris chez la plus belle des renards, really ?»Il était encore tôt dans la journée et assis dans ton canapé, tu grignotais en regardant les informations. Comme souvent, rien de bien joyeux et beaucoup de choses négatives. Tu ronchonnais en coupant la télévision avant de regarder l'horloge. Une boule se formait alors dans ta gorge, te faisait poser ton bol sur le bar-cuisine de ton appartement. Il allait être l'heure de te préparer et d'aller la voir, d'aller voir Thérésa. Tu avais encore les mots de Diana dans la tête « Tu sais, ne te prend pas trop la tête… Alors, si elle t'aime, quand tu déclareras, tu n'auras peut-être même pas le temps de finir qu'elle sautera sur toi. » Ee tu souriais. Tu avais peur de ce qu'il allait se passer, mais en même temps, tellement hâte de la voir encore une fois. Tu serrais ta cuillère avec un air déterminé avant de te rendre compte que tu étais toujours en caleçon au milieu du salon. Tu jetais à regret tes céréales tout molles avant de faire rapidement la vaisselle. Puis tu fonçais dans ta chambre non sans trébucher sur le lit mollement. Tu te relevais en grimaçant avant de fouiller dans ta penderie. Tu avais envie de venir comme souvent habillé normalement, mais sans savoir pourquoi tu troquais tes vieux pulls et tes tee-shirts avachis, pour une chemise. Tu attrapais le jean qui allait avec avant de mettre tes chaussures un peu sur le trajet chambre-entrée de ton appartement en évitant de tomber encore une fois. Tu prenais ta veste et tu filais.

Tu t'envolais sagement dans les airs en direction de sa maison. Ce n'était pas la première fois que Thérésa et toi, vous vous voyiez, mais comme toujours, en approchant, tu ouvrais grand ta bouche. Tu avais toujours trouvé la maison de la famille de ton amie et bientôt amour, si immense et magnifique. En comparaison avec la petite maison de tes parents ou ton appartement, c'était un vrai palace. Tu volais un peu autour de cette dernière avant de finalement te poser. Il t'avait semblé apercevoir par la fenêtre Thérésa et sa sœur dans le salon. Au moins, il n'y avait pas que toi qui s'était préparé à ça encore une fois, cela te rassurait. Tu faisais un dernier tour dans les airs avant de venir toquer à la porte plusieurs fois, dans un geste timide. Tu entendais au loin des pas précipités qui fonçaient vers la porte avant de voir débouler devant toi Thérésa. Elle avait ouvert la porte d'un coup, ce qui avec ta surprise te donnait un air presque enfantin. Tu clignais des yeux en l'entendant et affichant finalement un petit sourire. Tu lui faisais alors la bise doucement sur les deux joues en frôlant presque ses lèvres en te reculant. Tu ne savais pas si c'était un geste voulu ou maladroit, mais tu l'avais fait. Tu finissais par poser tes mains sur sa taille pour la décaler pour entrer, fermer la porte en continuant de la fixer. Tu affichais toujours ton petit sourire, une dent dépassant comme parfois.

« Non, depuis le temps, j'arrive à ne plus me perdre ne t'en fais pas. J'étais plus surpris qu'émerveillé par ta maison, même si elle me surprend toujours. Je t'ai entendu depuis le paillasson, tu étais impatiente de me voir ? Hey, coucou Faustine ! Thérésa, il faudra qu'on discute tous les deux, je pense qu'un moment ou un autre, faut que ça sorte. »

Ta phrase avait beaucoup de sens et surtout un certain impact aussi bien sûr toi que sur Thérésa. Tu savais que tu avais raison, qu'un jour ou l'autre, il fallait que vous avouiez les choses, mais la connaissant, ça ne serait pas simple. Elle n'assumait pas vraiment ce qu'elle ressentait et toi, avec les conseils de Diana, tu allais mettre tout ça au clair, avec conviction et voir ensuite si ce n'était pas la catastrophe avec Thérésa.

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Lun 2 Oct - 16:00
Thérésa & Marty
"Love is all."

Le sourire sur les lèvres de la renarde ne trompait pas. Elle était plus qu'heureuse de revoir son mini batman préféré. Elle se sentait comme une princesse accueillant son prince charmant dans son château. Au vu de la demeure, ce n'était pas si loin de la vérité. Cette petite comparaison plaisait bien à la renarde. Au détail près que ils n'avaient rien à voir avec les princes et princesses décrits dans les contes pour enfants...

Thérésa ne put s'empêcher d'observer Marty, avec une pointe de fierté en elle. Elle avait, à son avis, mis le grappin sur le plus beau des garçons que cette terre abritait. Mais son avis était tout sauf subjectif, sachant les sentiments qu'elle éprouvait.
La renarde se sentit légèrement rougir quand il frôla presque ses lèvres. Que l'action soit volontaire ou non, elle eut le mérite de faire son effet. Elle aurait préféré qu'il ne fasse pas que les frôler...

Se reprenant bien vite, la jeune femme s'écarta pour le laisser entrer. La tête de Faustine apparut dans l'encadrement du mur. La petite renarde salua Marty avec un grand sourire avant de retourner à ses occupations. Le clin d’œil malicieux qu'elle avait effectué n'avait pas échappé à son aînée.

-Bien sûr que j'étais impatiente de te voir, qu'est-ce que tu crois ? Marty à la maison c'est une grande occasion !

Il semblait que le temps était venu pour eux d'avoir une sérieuse discussion. Thérésa espérait entendre de se part les mots salvateurs. Ceux qui le rendrait heureuse, et qui confirmeraient qu'il ressentait la même chose qu'elle. Elle en était presque sûre, mais elle avait besoin de l'entendre de sa bouche.

Conservant son sourire, la renarde guida son invité à travers le manoir. Voulant être certaine d'être tranquille, elle l'emmena dans sa chambre et ferma la porte derrière eux. Ici, personne ne viendrait les interrompre dans leur discussion. Et personne ne les entendrait surtout. Thérésa s’assit sur son lit, invitant Marty à en faire de même. Croisant les jambes, elle planta son regard dans le sien.

-Bon... A toi l'honneur. Je t'écoute.
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Lun 2 Oct - 17:49

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Thérésa & Marty
font leur premier pas en amour.
« Une chauve-souris chez la plus belle des renards, really ?»Tu te laissais guider par ta jolie Thérésa en ouvrant ta bouche d'un air idiot non sans regarder encore et encore la décoration. Même si ce n'était pas la première ni la dernière fois que tu allais mettre les pieds ici, cela changeait de ton appartement. Toi, tu avais une pauvre horloge qu'on t'avait offerte des posters et deux trois cadres. Ici, entre les tapisseries, les divers tableaux, tu semblais dans un palace, dans un château, dans la maison de Thérésa. Tu la suivais toujours avec ton air ahuri avant de te retrouver dans sa chambre plus vite que prévu. Tu clignais des yeux e la laissant fermer derrière vous avant de te mordre légèrement la lèvre en la vouant sur le lit. Et ouais, c'était le jour important, le moment de vider ton sac, mais comment le faire ? Tu marquais un temps d'arrêt devant elle en te frottant la nuque avant de t'asseoir sur le lit. Tes ailes étaient encore de sortie alors tu les repliais sagement dans ton dos le mieux possible avant de lui sourire. Ta main se glissait sur la sienne avec finesse et tu la regardais les yeux avec amour. Tu repensais à ce que t'avais gentiment dit Diana sur le fait que tu devais te lancer et que cela ferait sûrement plaisir à Thérésa. Tu te préparais à l'éventualité de prendre une baffe ou te faire sauter au cou, au choix.

« Thérésa je… Enfin ça fait un moment qu'on se connaît, toi et moi, mais voilà, je t'ai vu pendant longtemps comme mon amie. Puis au fil des mois, je t'ai vu de plus en plus comme autre chose, comme bien plus. Je ne sais pas trop comment te dire ça, donc je vais le dire franchement : je t'aime ma renarde…Je veux dire, je ne peux pas m'empêcher de penser à toi. Rien que tout à l'heure, je me suis retenu de t'embrasser devant ta sœur… Je sais que je ne suis clairement pas le meilleur parti du coin, mais je suis amoureux de toi… »

Tu glissais ta main sur sa joue tout doucement en venant poser ton front contre le sien. Ta respiration était calme, un peu saccadée, mais tu te sentais léger. Comme si le poids que tu avais gardé pendant tout ce temps, à ne pas lui avouer tes sentiments, avait fini par partir. Tu te sentais soulagé d'avoir réussi à le dire, mais tu gardais un petit stress quant à sa réponse. Elle était du genre terre-à-terre et amusante, mais sa vie restait dans le luxe quand toi, tu avais un boulot classique et un salaire moyen. Tu avais beau être bien habillé pour venir la voir, votre différence de statut restait encore là quoi qu'il puisse se passer. Tu ne bougeais pas en baissant légèrement les yeux vers ses lèvres, cherchant à savoir si oui ou non, tu devais oser. Puis tu fronçais les sourcils, si elle avait voulu te repousser, ne l'aurait-elle pas déjà fait ? Tu reculais le visage pour secouer la tête avant d'entourer sa taille de tes bras et de poser tes lèvres sur les siennes avec tendresse en fermant les yeux. Tu ne savais pas combien de temps votre baiser durait, ni s'il était aussi agréable qu'il semblait l'être pour toi, en tout cas, à contre cœur, tu le brisais. Tu respirais lentement en rougissant sans détourner les yeux avant un sourire très discret.

« Je… C'est comme ça que je t'aime Thérésa… Aussi follement… Et toi… Est-ce que tu… M'aimes ? »

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Thérésa M. Smiren
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Mar 3 Oct - 15:20
Thérésa & Marty
"Love is all."

Thérésa ne savait pas comment aborder le sujet. Elle y avait réfléchi pendant un moment, imaginé plusieurs scénarios. Mais une fois en face à face avec Marty, tout s'était envolé. La peur de se prendre un refus la bloquait. Si bien qu'elle avait préféré lui laisse l'initiative. Le temps de se préparer un peu plus mentalement. Même si elle savait bien qu'elle ne serait jamais totalement prête à lui dire ce qu'elle ressentait.

Marty ne semblait pas plus à l'aise qu'elle. La renarde ignorait comment l'interpréter. Son regard était planté dans celui du garçon qu'elle aimait. C'était la première fois qu'elle le regardait aussi intensément. Il lui semblait lire des sentiments semblables aux siens au fond des yeux de son Marty. Ou alors ce n'était que son imagination ?

Les paroles de Marty dissipèrent ses doutes, et les questions qu'elle se posait. A mesure qu'il parlait, Thérésa sentait un poids s'envoler. Il lui fallut un peu de temps pour réellement comprendre ce que ses mots impliquait. Marty l'aimait, pour de vrai. Elle ne rêvait pas. La renarde ne put s'empêcher de sourire un peu plus, radieuse.

Et puis, alors qu'elle était perdue sur ce qu'elle allait répondre, les lèvres de celui qu'elle aimait se posèrent sur les siennes. C'était doux, plein de tendresse. Agréable. Rougissant légèrement, la jeune femme ferma les yeux, se délectant de ce moment entre eux. Elle en avait rêvé plusieurs fois, et voila qu'il l'embrassait vraiment. Thérésa était au comble du bonheur.

Maintenant elle n'avait plus à hésiter. Maintenant elle connaissait ses sentiments. Il n'allait pas la repousser, bien au contraire. Encore un peu hébétée par le baiser, la renarde mit quelques secondes avant d'enfin prendre à son tour la parole.

-Je m'étais attendue à tout sauf à ça... J'étais loin d'imaginer que tu partageais mes sentiments.

Dire qu'elle aurait pu lui avouer les choses avant. Enfin, au moins, ils avaient pris leur temps. C'était sûrement mieux comme ça, ils n'avaient rien précipité.

-Honnêtement, je m'en fous que tu sois un "bon parti" ou pas. Je t'aime comme tu es. Alors, oui Marty, moi aussi je suis folle de toi. Je t'aime toi, et pas un autre.

Les joues complètement rouges, Thérésa détourna les yeux. Il lui en avait fallu du courage pour dire et assumer les choses.
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Mar 3 Oct - 22:39

Love
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Thérésa & Marty
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« Une chauve-souris chez la plus belle des renards, really ?»Tu avais profité des paroles de ta jolie renarde pour te rasseoir correctement sur le lit avant de voir ton propre sourire prendre bien plus de place sur ton visage. Une de tes dents ressortait te donnant un petit air de personnage de dessin animé. Cela n'enlevait rien au charme que te trouvait Thérésa, mais il fallait avouer qu'avec toi difficile de ne pas rire ou sourire. C'était peut-être aussi cette partie qui avait fini par avoir le cœur de la jolie demoiselle qui avait prolongé votre baiser avec autant d'amour que toi. Elle était maintenant gênée, mais heureuse devant toi et comme par envie de ne plus la laisser partir, tu l'attirais dans tes bras et contre ton torse. Tu posais alors ton visage contre le haut de son crâne dans ses cheveux avant de fermer les yeux, tes mains entouraient donc ses hanches pour venir se poser sur son ventre. Tu avais rêvé de le faire depuis facilement plusieurs mois et sans l'intervention et les paroles attentives de Diana, jamais tu ne te serais prononcé. Tu te demandais si elle aurait fini, ta Thérésa, par avouer ses sentiments ou non. Après tout, c'était bien tes aveux qui avaient poussé la jeune femme à s'avouer elle aussi, tu en étais sûr et certain. Tu profitais de ce calme pour respirer tout doucement en sentant son parfum naturel avant de pencher la tête pour la regarder avec un sourire en coin.

« Tu sais ma Thérésa, avant je te disais que tu étais adorable ou attachante, maintenant, je peux dire la vérité. Tu n'es pas juste adorable, tu es un amour, le mien quant à attachante, tu es passionnante, envoûtante et je t'aime. Ouais, je le redis, mais ça fait des mois que je rêve de réussir à avouer sans me manger un râteau. Tu es belle, tellement belle et à moi, non ? »

Tu venais alors caresser sa joue avec tendresse avant de sortir doucement tes ailes pour décoller lentement du lit et la prendre avec toi. Tu collais doucement ton visage contre le cou de la renarde non sans rougir et profiter de pouvoir encore sentir son parfum de si près sans trop abuser. Pour beaucoup, ton geste aurait pu paraître profiteur ou limite déplacé, mais tout ce que tu faisais te semblait naturel. Et puis tu ne dépassais pas les limites que tu t'étais fixé surtout en sachant que Thérésa et toi veniez à peine de vous avouer l'un à l'autre. Tu sortais par la fenêtre dérobée de sa chambre en essayant de la rassurer avec des murmures tendres avant de te poser sur le toit du manoir et de te tourner vers elle. Tu sentais bien la panique qu'elle avait, vu que tu étais avec elle, sur le toit de son manoir, ce qui ne devait jamais lui être arrivé. Tu caressais sa joue en gardant tes ailes déplié, lui apparaissant peut être bien plus toi et moins chauve-souris timide et peu bavarde. À tel points que sous les rayons du soleil même toi le pâle petit hybride infirmier paraissait bien plus coloré et beau ? Ce n'était pas un qualificatif que tu te serais donné toi-même, mais confiant, tu gardais un charme qui devait sans doute faire plaisir à la Thérésa qui te regardais maintenant. Tu te passais une main dans les cheveux avant de te tourner vers elle avec toujours cet air enjoué calme et rassurant.

« Je sais que j'aurais dû te prévenir avant de faire ça, mais je voulais te surprendre et je compte le faire souvent. Tu sais, sans mon amie Diana, j'aurais sans doute jamais rien dit de peur de faire tâche. Tu es sans doute la première pour qui je suis aussi passionné et amoureux, tu sais. Bon, j'ai eu qu'une copine et quand elle m'a vu tout nu, elle est partie en riant. Je devais être trop blanc pour elle, enfin on s'en fiche. Prends ton temps, mais crois-moi cette vue, tu ne la verras pas tout le temps. C'est sans doute ce qui me fait le plus plaisir en étant une chauve-souris : je vois le monde du ciel aussi bien que de la terre. Et puis voler, c'est tellement magique, tellement enfin il n'y a pas vraiment de mot. Ça se ressens, ça ne s'explique pas. Alors, si j'arrive un jour à te rassurer en vol, on fera un tour dans le ciel en amoureux, juste toi, moi et le ciel étoilé. »

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Thérésa M. Smiren
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Thérésa M. Smiren
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Sam 7 Oct - 17:50
Thérésa & Marty
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Il en avait fallu du temps pour les choses sortent. Les deux s'étaient tournés autour pendant un petit moment, sans se douter que leurs sentiments étaient réciproques. Mais maintenant, tout était sorti. Thérésa se sentait soulagée d'être libérée de ce poids. Elle allait pouvoir être plus naturelle dans son comportement avec Marty.

La renarde était lovée dans les bras de celui qu'elle aimait, plus heureuse que jamais. Même en ayant imaginé tous les scénarios envisageables, elle n'avait pas pensé un instant qu'elle pourrait vraiment se retrouver ainsi avec lui. Elle en rêvait depuis un moment.
Ses joues avaient décolorées un peu, au fur et à mesure qu'elle se détendait. Les paroles de Marty lui donnait envie de sourire toujours plus. Elle devait avoir l'air presque idiote avec son air béat et heureux.

Thérésa sentit avec surprise Marty les faire décoller de son lit. Pour elle qui n'avait jamais quitté la terre ferme, c'était une première. Même si elle faisait confiance à son mini batman, elle ne pouvait s'empêcher d'avoir une pointe de panique. Les renards n'avaient pas pour habitude de voler contrairement aux chauves-souris. La jeune femme essayait de ne pas trop s'agiter, pour ne pas le perturber.

Et puis, il fallait avouer que, de là-haut, la vue était plutôt agréable. Ce n'était pas tous les jours que Thérésa avait l'occasion d'admirer les alentours du haut de son manoir. Son regard parcourait le paysage, en même temps qu'elle écoutait Marty. Sa présence à ses côtés était rassurante. La renarde était heureuse de partager un moment pareil rien qu'avec lui.

-Je dois remercier cette fameuse Diana je suppose. Au final, sans elle, on n'aurait pas avancé. Vu que j'aurais sûrement jamais osé dire les choses... Mais maintenant, c'est fait. Et je compte bien profiter de chaque moment passé avec toi mon Marty.

Tout allait avoir un autre sens maintenant. Toutes leurs sorties seraient différentes, puisqu'ils les partageraient non plus en tant qu'amis mais en tant que petits amis.
Profitant du calme et de l'intimité, la jeune femme vint passer ses bras autour du cou de Marty et déposa un léger baiser sur ses lèvres, en souriant.

-Laisse-moi un peu de temps, et je te jure que bientôt on pourra se faire autant de vol en amoureux que tu veux. Et tu veux bien me faire une faveur ? J'ai jamais été fan de mon premier prénom, Thérésa. Alors je préférerais que tu m'appelle Maëlys. Ou que tu me trouve un surnom pas trop ridicule.
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Sam 7 Oct - 23:31

Ride The Wave
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« Une chauve-souris chez la plus belle des renards, really ?»Tu avais gardé ton regard sur elle avec tendresse et amour, alors quand elle venait t'entourer le cou de tes bras pour t'embrasser, tu lui rendais son baiser avec douceur en gardant ton sourire. Tes mains glissaient vers sa hanche pour l'une et sa main pour l'autre. Tu entrelaçais vos doigts en gardant les yeux dans ceux de ta renarde non sans sentir encore une fois ton propre sourire s'agrandir au fil de ses paroles. Elle avait toujours eu le don de te rendre joyeux et tendre, alors il était évident que cela allait être encore plus fréquent. Après tout, vous étiez maintenant ensemble ou du moins les sentiments de l'un envers l'autre étaient réciproques et bien clairs. Tu gardais ses mains dans les tiennes, tes iris dans ceux de Thérésa toit en l'écoutant avec patience. Tu retenais une moue en l'entendant sur le fait qu'elle n'aimait pas son prénom. Tu haussais les épaules en jugeant que de toute façon, quel que soit le surnom, elle resterait celle que tu aimes. Tu picorais ses lèvres après l'avoir laissé terminer ses paroles afin de profiter de ce que tu avais le droit en fermant un peu les yeux avant de les ouvrir en même temps qu'elle. Tu la trouvais tellement belle, tellement attachante, alors savoir qu'elle était tienne, ça ne faisait que battre encore plus ton cœur. Tu avais toujours eu peur qu'elle trouve quelqu'un de meilleur que toi ou que tu ne puisses jamais dire ce que tu ressentais, mais maintenant ces peurs, tu pouvais les oublier totalement.

« Je lui dirais à Diana la prochaine fois que je la croise va. Maëlys ? Je trouve ça mignon comme prénom, du coup va pour Maëlys ou alors ma renarde chérie ? Ouais ça fait peut-être trop et on vient à peine de s'avouer, je verrais plus tard pour le surnom. On prendra le temps que tu voudras de toute façon ma Maëlys, on a tout le temps pour apprendre à s'aimer ensemble. Tu n'es malheureusement pas ma première copine, mais je suis… Accro à toi. »

Tu avais détourné le visage en restant bien rouge à ton propre aveu passant du garçon chauve-souris assuré à un jeune homme embarrassé de ses propres paroles. C'était quelque chose d'avoir avoué tes sentiments à la jeune renarde dont tu étais amoureux, mais c'était une autre d'assumer ce dit amour aussi ouvertement. Il allait falloir encore un peu de temps avant que tu puisses toujours lui parler avec passion sans sentir la gêne t'emporter plus loin. Tu étais connu pour ta gentillesse, ton grand cœur, mais en amour tu étais surtout bien maladroit. Plus adroit pour changer une compresse ou soigner un malade que de dire à Thérésa combien tu pouvais être hanté par son visage, rien que chaque fois que vous vous voyiez. Tu avais bien eu quelqu'un dans ta vie, mais cela n'avait été que de courtes durées et la rupture, bien douloureuse pour toi. Pourtant, grâce à Diana, tu avais pu surmonter tes peurs d'un nouvel échec pour vivre pleinement ta romance avec celle que tu avais encore devant toi. Tu relâchais ses mains avant de battre d'un coup des ailes pour pivoter sur toi, la tête maintenant en bas avant de reposer tes lèvres sur les siennes plus longuement. Ce n'était pas un baiser bref, mais le jumeau de celui que tu avais partagé avec elle dans la chambre. La seule différence était que là, tu avais des airs de Spiderman avec Mary Jane. Tu le prolongeais un long moment avant de sourire en te remettant dans le bon sens, planant au-dessus du sol avec toujours ton air aussi ahuri que mignon sur le visage.

« Tu sais Théré… Maëlys, j'ai tellement imaginé tout ce qu'on pourrait faire ensemble ou les situations depuis qu'on se connaît. Genre, tu vois la fois où tu étais assise sur mes genoux à me chatouiller, moi, j'avais qu'une envie, te coller tendrement au lit en entourant tes hanches et t'embrasser follement. Je tentais de faire des signaux pour que tu comprennes et je crois même que Faustine avait déjà compris. Tu l'aurais vu quand elle a pigé que j'étais amoureux de toi, pire que Tigrou dans Winnie l'ourson, elle tenait plus en place. J'ai même imaginé qu'un jour, tu viendrais me voir au travail, puis après, je me suis rappelé que ce n'est pas romantique un hôpital, alors qu'ici, on est juste tous les deux en amoureux. Mains dans la main, yeux dans les yeux, ensemble et heureux ? »


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Sam 21 Oct - 20:22
Thérésa & Marty
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Les bras autour du cou de Marty, la renarde avait calé sa tête contre lui. Ses yeux s'étaient naturellement fermés, comme pour mieux profitant de cet instant. Elle n'avait jamais été aussi heureuse que maintenant. Et dire que des moments comme ça, elle allait en passé beaucoup à présent. Chaque sortie, chaque rencontre avec sa chauve-souris préférée aurait un tout nouveau sens. Et ça lui plaisait. Imagine tout ce qu'ils allaient pouvoir faire maintenant qu'ils s'étaient enfin avoués leurs sentiments. La jeune femme n'allait pas se gêner pour montrer à tout le monde que leur relation avait évoluée, Qu'ils n'étaient plus de simples amis.

Un gloussement lui échappa à la proposition de surnom. Même si elle trouvait ça mignon, Thérésa aurait du mal à assumer qu'il l'appelle ainsi devant d'autres personnes. Tant qu'ils n'étaient que tous les deux, ça allait. Mais simplement son prénom, c'était mieux. Qui plus est, ils avaient le temps avant de commencer à s'affubler de surnoms plus ridicules les uns que les autres. Pour sa première vraie histoire d'amour, la renarde ne voulait surtout pas aller trop vite. Elle préférait prendre son temps, mais être sûre que elle et Marty avanceraient ensembles.

-Maëlys c'est très bien pour l'instant je pense. Tu n'es pas la première personne que j'aime, mais tout de même la première à qui j'ose avouer mes sentiments. Alors on va y aller doucement, et pas faire de bêtises qu'on pourrait regretter.

Maintenant qu'elle l'avait trouvé, Thérésa n'arriverait pas à supporter de le perdre. Il n'était peut-être pas parfait, mais elle l'aimait aussi pour ses défauts. Elle aimait tout ce qui faisait qu'il était lui et pas un autre. Les bons comme les mauvais côtés.
Les lèvres de Marty vinrent bientôt se poser de nouveau sur les siennes, pour partager un baiser semblable à leur tout premier. La jeune femme ferma les yeux, lui rendant son baiser avec une passion nouvelle chez elle. Bien que toujours hésitante en amour, avec la présence de celui qu'elle aimait la renarde se sentait plus assurée.

Le baiser rompu, Marty se remit à l'endroit pour parler. En l'écoutant, Thérésa se sentit légèrement rougir. Elle avait presque honte de ne pas avoir su remarquer les signaux qu'il avait envoyés. Sa sœur avait été plus fine observatrice sur ça.

-Oh ça oui je suis heureuse mon Marty. Tu m'étonne que Faustine devait pas tenir en place, elle savait que moi aussi j'étais amoureuse de toi. Je parie que là elle attend juste que tu parte pour que je lui fasse mon rapport.

Thérésa gloussa légèrement en disant ça. Faustine était ainsi, toujours à attendre les dernières nouvelles sur la vie sentimentale de son aînée. La jour où la petite aurait quelqu'un dans son cœur, Thérésa se vengerait.

-Hey Marty, ça te dirait qu'on redescende et qu'on aille manger un truc ? Je commence à avoir un petit creux.
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Sam 21 Oct - 23:05

Two Cents
Emily Zeck
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Thérésa & Marty
font leur premier pas en amour.
« Une chauve-souris chez la plus belle des renards, really ?»Tu l'écoutais avec toujours ton regard plein de tendresse et d'amour envers ta renarde bien-aimée. Tu avais réussi à t'avouer, vous étiez maintenant ensemble pour de bon et pour longtemps, c'est ce que tu espérais de tout ton cœur. Tu riais légèrement quand elle évoquait sa sœur, car il était clair que cette Faustine, avait de quoi vous faire tourner en bourrique si elle le voulait. Une petite curieuse attachée à sa sœur et qui voulait savoir le dernier scoop sur l'amoureux de sa sœur et elle. Tu adorais Faustine et sans elle et Diana, il est évident que tu n'aurais jamais eu la force de dire ce que tu avais sur le cœur aussi clairement et tendrement. Dans un hochement léger, tu soulevais ta renarde non sans coller contre front l'un contre l'autre pour rentrer lentement dans la chambre par la fenêtre. Une fois la moquette de cette dernière touchée, tu lâchais Thérésa avant de te tourner pour refermer la fenêtre. Il soufflait un grand coup avant de laisser tes ailes replier dans ton dos dans une très fine grimace. Non pas que ce geste t'avais véritablement fait du mal, mais tu devais avouer que la sensation restait tout de même désagréable, même depuis le temps. Tu venais caresser alors avec douceur la joue de ton amour, de ta petite amie, car il allait falloir que tu assumes maintenant. Tu lui volais un léger baiser tout tendrement non sans rougir avant de te reculer et d'aller vers la porte de la chambre.

« J'avoue que moi aussi, je commence à avoir faim… Maë' enfin Maëlys, on fait comment du coup ? On commande une pizza en invitant Faustine à manger qu'elle pige et te laisse tranquille direct après ou tu préfères un truc plus intime ? Personnellement, les deux me vont, en plus j'ai des réductions dans pas mal de trucs de fast-food en ville, la faute à mon boulot. On n'a jamais le temps de manger de la haute gastronomie quand notre quotidien, c'est de sauver les gens et de soigner les bobos des plus démunis. Tu sais au début j'avais fait ça pour me venger de tous les humains qui pensaient que j'étais leur inférieur, puis je me suis rendu compte que ce boulot, c'était le meilleur pour moi. En plus de m’avoir donné de la maturité, des responsabilités, j’ai eu la preuve quelles que soient les raisons de la haine des humains envers nous, pour le coup sans nous, ils seraient comme des idiots et ça croit moi, j’en profite tous les jours pour leur rappeler. »

Tu avais affiché un sourire entre le taquin et le victorieux, car mine de rien s’était une jolie revanche sur ceux qui avaient tenté de t’écraser sous leur botte en prétextant que tu ne serais jamais meilleur qu’eux. La plupart n’avaient jamais eu leur concours ou alors de justesse et quand eux n’avaient été que de simple titulaire sans jamais être pris, tu avais vite été suffisamment utile pour que l’on t’embauche toi. Tu ricanais un peu avant de te frotter la nuque légèrement, car tu n’étais pas tout seul après tout et tu te sentais bien idiot au final. Tu restais devant la porte de la chambre de Thérésa en la fixant toujours avec cette fois-ci un air plus timide sur le visage. Tu pensais a tellement de chose sans savoir quoi en dire ou si tu pouvais demander des choses.  L'Amour, tu le redécouvrais un peu plus avec elle et tu restais un peu perdu dans le flot de tout ça. Même si tu étais d'accord avec elle : vous alliez prendre votre temps pour ne brûler aucune étape. Tu te mordillais la lèvre sans la quitter du regard avec douceur et tu penchais la tête un peu plus en souriant autant que possible.

« Je suis curieux ma Maëlys, tu as pensé quoi la première fois que tu m'as rencontré ? Et quand tu as appris que j'étais infirmier auprès des humains ? Moi, je sais que quand on s'est rencontré, je t'ai vite trouvé aussi adorable que drôle, en plus d'avouer à moi-même déjà à l'époque que tu étais mignonne comme tout, mais bon, je crois que depuis le premier jour, je suis faible face à toi… »

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Thérésa M. Smiren
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Thérésa M. Smiren
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Mer 25 Oct - 11:56
Thérésa & Marty
"Love is all."

Thérésa sentait son ventre commencer à gronder, même si heureusement, il ne faisait pas assez de bruit pour que Marty l'entende. Elle préférait éviter ce genre de bruit indiscret tant qu'elle était avec son petit ami.
Le retour dans la chambre se fit tout aussi en douceur que l'allée. Moins surprenant pour la renarde qui trouva ce petit vol presque agréable. La présence de Marty y jouait pour beaucoup aussi. Elle savait qu'elle ne risquait rien avec lui.

Avant que le repas ne soit décidé, elle eut droit à un nouveau baiser, aussi tendre que les précédents. Elle rougit un peu bien qu'un sourire se dessina sur ses lèvres. Il avait vraiment le don de la rendre heureuse. Un effet de ce sentiment appelé Amour certainement. Thérésa sentait bien que tant qu'il serait avec elle, elle ne pourrait pas penser à des choses moroses ou déprimantes. Et c'était agréable de pouvoir passer des moments sans prise de tête avec l'être aimé.

Elle écouta Marty parler, sans le lâcher du regard. L'idée d'une pizza lui plaisait, même si c'était tout sauf romantique. L'aveu sur le pourquoi il avait choisi son métier la fit doucement rire. Ça lui ressemblait bien ! Même si il avait totalement raison dans le fond. Souvent, et bien qu'ils ne l'admettraient jamais, les humains avaient besoin des hybrides. Surtout qu'ils ne semblaient pas capables de tenir une maison eux-mêmes.

-C'est bien toi ça d'aller leur rappeler qu'ils ont besoin d'un hybride. J'aimerais bien voir leur tête ! Sinon pour le repas, t'en fais pas pour Faustine. Elle doit être dans sa chambre, ou quelque part dehors. Je préfère qu'on soit que tout les deux.

Elle aurait l'occasion de discuter après avec sa sœur. Et, de toute façon, elle savait bien que cette dernière préférait leur laisser leur intimité. Faustine était très respectueuse sur ce point-là.

-Va pour les pizza, même si c'est pas très romantique. Dis-moi ce que tu veux, et je vais commander ça.

Un repas en amoureux, Thérésa n'aurait pas pu rêver mieux ! Depuis le temps qu'elle espérait en partager un rien qu'avec lui. D'autant plus qu'ils avaient là une totale intimité, pour discuter tranquillement. Cette journée était aux yeux de la renarde l'une des meilleures de sa vie.

Une légère rougeur la prit aux joues lorsque Marty lui avoua ce qu'il avait pensé d'elle à leur première rencontre. Visiblement, ça faisait un bon moment qu'il avait un petit faible pour elle. Dire qu'elle n'avait rien remarqué, alors qu'ils s'étaient mutuellement tournés autour.

-Je t'ai trouvé attachant. Atypique peut-être, mais c'est ce qui fait ton charme. Et te savoir infirmier, ça m'a impressionnée. Dès le début t'étais différent des autres et spécial à mes yeux.
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Mer 25 Oct - 16:37

Bullet
Love Sick
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Thérésa & Marty
font leur premier pas en amour.
« Une chauve-souris chez la plus belle des renards, really ?»Tu te frottais la nuque tout aussi rouge qu'elle à présent en l'entendant parler de toi. Même si elle n'avait pas vu tes signaux auparavant, il fallait avouer qu'elle était aussi folle de toi que toi d'elle. Tu espérais que chaque fois que tu serais là, tu chasserais ses doutes et ses craintes avec tendresse. Tu avais toujours adoré cette aura qui détendait et apaisait les gens, autour de toi. Que ce soit à l'hôpital ou en dehors, il ne t'arrivait pas souvent d'avoir des prises de tête. Alors, tu savais d'avance que si un jour, tu venais à te disputer avec Thérésa, ce que tu n'espérais pas un seul instant, cela se calmerait très vite. Tu n'étais vraiment pas pour les conflits au point de les fuir au travail. Chaque fois que tu voyais une infirmière et un médecin se prendre le bec, tu faisais marche arrière en prétextant une urgence. Enfin, ça, c'était quand tu n'avais pas envie de faire d'effort, car la plupart du temps, tu emmenais l'infirmière en la poussant dans le dos avant de dire un truc bateau au médecin puis une fois seule avec elle, tu lui parlais. Tu faisais aussi bien le médiateur sans jamais t'impliquer totalement que le confident de pas mal de tes collègues. Elles n'avaient pas trop de mal à te parler, être gentil, c'était dans ta nature. La preuve, c'était une des raisons qui avaient attiré Thérésa vers toi. Atypique, c'était clairement un qualificatif qui t'allait comme un gant.

Tu restais à la porte en réfléchissant à la composition de la pizza que tu voulais avant de te demander si ce n'était pas mieux d'en prendre une toute prête au final. Non pas que tu n'avais pas la force ou le courage de chercher ce que tu pourrais vouloir dans ta pizza, mais quitte à manger en tête-à-tête, valait mieux quelque chose qui irait pour deux, non ? Tu penchais la tête en remarquant la précision de Thérésa sur sa sœur. Tu ne pouvais pas nier que même si tu appréciais énormément Faustine, manger rien qu'avec celle que tu aimais, était quand même bien mieux. Et puis, la sœur de Thérésa n'était pas trop collante, et même si elle était curieuse, elle laissait votre espace vital comme il était. Un peu comme toi dans ton travail. Tu savais te rendre utile à l'écoute, mais si un patient te faisait comprendre que non, tu n'insistais pas. Avec ton calme et ta bonne humeur, tu réussissais même à venir à bout des caractères les plus tenaces. En te voyant pas mal de gens pensaient tomber sur un jeune homme pas bien futé et facile à avoir, mais c'était totalement l'inverse. Que ce soit avec des patients, Thérésa et sa sœur tu avais toujours eu l'habitude d'agir comme ça. Une marque de fabrique chez toi, un effet Marty comme tu aimais l'appeler dans le plus grand des secrets, histoire de ne pas passer pour un vantard. Tu finissais par te tourner sans vraiment avoir trouvé ton bonheur en pizza, même si tu avais une petite idée.

« Puis je ne pense pas qu'elle voudra manger avec nous surtout si elle a compris pour nous deux. Euh, bah, je ne sais pas pour la pizza… J'ai beau réfléchir j'ai aucune idée d'un truc qui nous irait pour deux, donc prend pour deux au choix, je mange de tout et je ne suis allergique à rien sauf la bêtise. Ouais, du coup, je suis allergique à moi-même, je suis trop fort. »

Tu ricanais de bon cœur à ta propre bêtise avant de faire un grand sourire à Thérésa avec tendresse. Tout ce que tu avais espéré, attendu et rêvé, allais pouvoir se réaliser maintenant. Tu allais pouvoir sortir avec Thérésa autant que possible, vivre avec elle autre chose que des après-midi entre amis, car cela allait être entre amoureux. Instinctivement, en ayant cette pensée, tu faisais un pas vers elle avant de prendre ses mains, pour la regarder dans les yeux avec amour. Tu rougissais d'avance à tes aveux en posant ton front à nouveau contre le sien tendrement. Tu respirais calmement avant de te lancer sans trop savoir ce que tu allais vraiment dire. Tout chez-toi avait le don d'être spontané que ce soit ton embarras, ta surprise ou ta joie. Tu ne réfléchissais que rarement à l'avance sur ce que tu allais faire et la plupart du temps, c'était concluant. Oui, car comme tout le monde, tu n'étais pas à l'abri d'un fail ou deux, normal. En tout cas, une fois prêt, tu murmurais tendrement le fond de ta pensée à Thérésa avec tout ton amour pour elle.

« Je… Je dois avouer que maintenant que tout est clair entre nous, on va pouvoir enfin profiter ensemble. J'ai jamais perdu l'espoir d'un jour te faire comprendre que je t'aimais, mais j'avais peur que je ne sois pas le bon. Tu m'as dit avant que tu te fichais que je sois le bon, tu m'aimes comme ça, mais bon je ne suis pas toujours bien confiant moi. En tout cas, je sais que je t'aime Thé… Maëlys de tout mon cœur et que maintenant même le truc le plus anodin, avec toi va devenir tout simplement génial. Même manger une pizza et m'en mettre assurément sur le nez en te voyant rigoler à plein poumon, même ça, ça serait encore mieux. »

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Thérésa M. Smiren
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Thérésa M. Smiren
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Mar 31 Oct - 14:57
Thérésa & Marty
"Love is all."

Au final, en amour, ils se ressemblaient beaucoup. Aussi timide et hésitant l'un que l'autre. Mais chacun doux et attentif à l'autre. Cela ne faisait aucun doute qu'ils s'étaient bien trouvés, malgré le fossé qui pouvait exister entre leur niveau de vie. Ce n'était pas ce qui les empêchait de vivre pleinement leur amour. Leur sentiments primaient sur tout le reste.

La situation donnait presque envie de rire à la renarde. Elle et Marty étaient rouges rien qu'à avoir parlé de l'autre. Pourtant ils étaient souriants, et il n'y avait aucune gêne entre eux. Ce n'était qu'une bête timidité à faire leurs premiers pas dans cette nouvelle relation. Nul doute que bientôt ils seraient bien plus détendus et naturels.

Thérésa observait son petit ami, attendant sa réponse pour commander la pizza. Elle avait déjà dans l'idée d'en prendre deux, histoire de contenter tout le monde. Elle ne connaissait pas vraiment les goûts de Marty, même s'il ne semblait pas compliqué. N'importe quoi lui irait tant qu'il pouvait partager ce moment avec celle qu'il aimait. Il finit par confirmer cela, ajoutant au passage une petite pique d'humour comme il savait bien le faire.

La jeune femme gloussa légèrement, comme toujours amusée par ce qu'il disait. Marty avait cette joie de vivre qui faisait qu'on ne pouvait pas s'empêcher de rire quand il disait des bêtises. Elle en tout cas se savait incapable de lui résister. Elle le trouvait beaucoup trop craquant pour ne pas rire avec lui.

Avec la spontanéité qui lui était propre, Marty fit un pas vers elle en lui prenant les mains. Thérésa lui sourit tendrement, comme pour l'encourager à parler. Elle ne savait pas ce qu'il voulait lui dire, mais elle était prêt à l'écouter avec attention. Lui-même ne semblait pas très sûr. Ses paroles étaient un peu désordonnées, mais totalement sincères. C'était ce qui plaisait le plus à la jeune femme.

Profitant de la proximité de leur visages, la renarde se rapprocha et posa ses lèvres sur les siennes pour partager un nouveau baiser passionné. C'était lui qu'elle aimait, et si il fallait qu'elle fasse cela pour dissiper ses doutes elle n'hésitait pas. Parce qu'elle voulait que Marty ait confiance en elle.

-Je t'aime Marty. Alors arrête de douter, je ne compte pas te laisser tomber. On va passer des moments géniaux ensembles et profiter au maximum. Mais pour ça, faut que t'arrête de t'en faire.

Thérésa avait dit ça le regard planté dans celui de son petit ami. Elle ne voulait plus l'entendre avoir peur de ne pas être le bon. Il était le seul et unique dans son cœur.

Lâchant les mains de Marty, la renarde le laissa quelques minutes le temps d'aller commander les fameuses pizza. Elle porta son choix sur une au fromage et une royale, en plus de prendre un coca pour deux. Il y avait visiblement un peu de temps avant que les pizza n'arrivent. Thérésa rejoignit Marty dans sa chambre, lui souriant.

-C'est commandé, on a une bonne vingtaine de minutes avant que ça arrive je pense.
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Mar 31 Oct - 20:25

Xan Griffin
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Thérésa & Marty
font leur premier pas en amour.
« Une chauve-souris chez la plus belle des renards, really ?»Tu avais senti les lèvres de Thérésa sur les tiennes et les yeux clos, tu n'avais pu que profiter de ce qui allait finir par arriver si souvent entre vous. Tu ne savais combien de temps ce baiser avait pu durer, en tout cas, quand ta renarde y mettait fin, tu clignais simplement des yeux. Tu la laissais appeler pour commander la pizza en t'asseyant à nouveau sur le lit. Tu n'avais rien contre passer ta vie debout, mais tu le faisais déjà si souvent au travail, que pour une fois, tu te laissais aller à faire le fainéant. Tu te rendais compte que plus qu'une romance ou de l'amour, Thérésa représentait ce souffle dans ta vie et tes journées. Elle était le moment de répit où l'infirmier rangeait vraiment sa blouse pour reprendre son apparence de chauve-souris en toute impunité et avec grand plaisir. Tu n'avais pas pu te passer longuement d'elle et rien que le fait de souffler, assis sur son lit, avait son importance. Tu restais un peu silencieux et songeur sur tout ce qui changerait du tout au tout maintenant que vous vous aimiez clairement. Ta réflexion fut coupée dans son élan par ta petite amie, mais tu ne lui en voulais pas, au contraire. Tu avais tout le temps pour réfléchir aux changements dans ta vie et celle de ta renarde, vraiment tout le temps. Tu levais ton corps du lit avant de poser tes mains autour d'elle pour embrasser son front tendrement.

Tu entendais ton ventre émettre un son de gargouillement assez sonore avant de plisser les yeux, de rougir et de te frotter la nuque. Au moins, elle allait savoir que tu avais vraiment faim au vu du son. Tu te sentais aussi affamé que bêta devant elle et sans vraiment chercher à comprendre la raison de ton geste, tu recollais vos lèvres ensemble pour lui offrir un long baiser plein de tendresse. Tes doigts dans ses cheveux, ton corps proche du sien, tout pour rendre ce moment a deux aussi romantique que plein de douceur. Tout aurait pu être parfait si ton ventre ne revenait pas à la charge en laissant un long son étrange quitter ton corps. Tu reculais comme surpris avant de baisser la tête en ayant vraiment honte de toi. Ce son avait bien des raisons et l'une d'elles n'était pas vraiment très joyeuse ou du moins simple à expliquer. Tu hésitais à lui expliquer, mais devant le visage surpris et le regard interrogateur de ta renarde, tu te sentais un peu coupable de ne rien dire. Tu cherchais tes mots, car tu n'avais sans doute jamais parlé de ça avec elle, peut être avec Diana tout au plus et c'était venu dans la discussion. Je te triturais les doigts en levant les yeux vers ta renarde.

« Tu sais, je dis toujours que j'ai faim, mais en vrai j'ai deux faims moi. La normale que toi donc de la nourriture et l'autre. Je suis une chauve-souris et comme pas mal, bah, je bois… Du… Du sang. D'animaux, mais pas d'hybrides, je précise ! Je préfère préciser, on ne sait jamais vu comment je suis nul pour expliquer… Donc du coup, si un jour, je te dis que j'ai une grosse faim et qu'on se balade en forêt, ne me suis pas. Je n'ai pas envie que tu me vois comme ça, j'ai déjà honte d'avoir encore ce besoin par moment. Je fais tout pour le réfréner, mais c'est assez difficile au final, donc souvent, je lutte un moment puis je vais me nourrir. Je ne suis pas vraiment fier de t'avouer ça ma Maëlys, mais bon, il fallait bien qu'un jour, tu apprennes que ton Marty, bah comme sa nature le veut, il boit du sang. Du coup, j'espère que ça ne change pas trop ce que tu penses de moi, en sachant que je t'ai « caché » ça. J'avais peur depuis le début que ça me rende effrayant ou moins agréable à côtoyer en sachant ça, donc j'ai préféré rien dire, désolé ma chérie… »

Tu étais tellement blâmé par tes propres paroles que tu n'avais pas remarqués qu'un mot plein d'amour et affectif avait fini par quitter tes lèvres en fin de phrase. D'une façon naturelle douce et presque surprenante au vu de l'aveu que tu venais de faire sur ta nature. On ne pouvait pas le deviner en te voyant, mais en plus d'assumer ton état d'hybride, ton travail d'infirmier, tu devais aussi assumer le fait de boire du sang comme un prédateur. D'avoir la culpabilité de blesser un animal pour ton propre besoin et donc de faire du mal malgré toi, alors que tu ne voulais que le bien autour de toi. Un retour de bâton qui ne te plaisait pas et qui te laissait penser qu'il pouvait changer l'image que tu donnais, sans voir que l'amour de ta renarde, voyait plus loin. Tu ne le voyais pas à l'instant trop pris par des remords qui remontaient des pauvres petits rongeurs et oiseaux souffrants ou mort par ta faute. C'était la vie, la nature qui te poussait à remettre un équilibre par ton besoin, mais toi, tu n'y voyais que l'aspect négatif rien de plus. Heureusement, Thérésa était là et elle saurait te remonter le moral, encore une fois. Ton rayon de soleil, ta renarde tant aimée.

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Thérésa M. Smiren
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Thérésa M. Smiren
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Sam 4 Nov - 20:02
Thérésa & Marty
"Love is all."

Dès le retour de la renarde dans la chambre, Marty se leva pour venir l'entourer de ses bras et embrasser son front. Un simple geste d'amour, aussi tendre que spontané. Ce qui avait le don de ravir Thérésa. Petit à petit, des gestes comme ça devenaient naturels entre eux deux. Cela prouvait qu'ils avançaient, tout doucement. Ils réussissaient déjà à ne pas rougir au moindre petit geste d'amour.

Le ventre de Marty se fit remarquer en émettant un gargouillement sonore. Thérésa ne put se retenir d'éclater de rire en attendant ça. Au moins, elle savait qu'il avait faim. Dire qu'elle avait fait en sorte de se retenir pour ne pas avoir honte... Ça arrivait à son petit ami à la place !

Celui-ci ne lui laissa pas le loisir de rire trop longtemps, venant recoller leur lèvres dans un nouveau baiser. La jeune femme ferma les yeux pour se laisser aller, son corps proche de celui de son petit ami. Le moment avait tout pour être parfait. Et pendant quelques secondes, il le fut.

Cependant, le ventre de Marty brisa ce moment, laissant échapper un son étrange. Il se recula en mettant fin au baiser, sous les yeux étonnés de la renarde. Elle aurait pu prendre ça pour un simple gargouillement, mais le son ne ressemblait en rien au précédent. Du regard, elle interrogeait son petit ami qui avait l'air un peu perdu sur ce qu'il devait faire.

Il finit par se lancer dans une explication. Plus il parlait, plus Thérésa sentait qu'il s'en voulait. Et elle pouvait le comprendre, ça ne devait pas être facile de vivre avec ce qu'il avait. Pourtant elle ne pouvait s'empêcher de trouver qu'il se blâmait trop pour ça. Après tout, il n'avait pas choisi.

Dans le flot de ses paroles s'échappa un mot rempli d'amour qui eut pour effet de mettre le rouge aux joues de la renarde. Il ne s'était même pas rendu compte qu'il l'avait dit, trop occupé à s'en vouloir de son aveu. Faisant une légère moue, Thérésa attrapa les mains de son petit ami pour les serrer dans les siennes.

-Franchement ça change rien pour moi. Je vois bien que tu fais pas ça par plaisir mais par obligation. C'est quelque chose qui fait partie de toi, et que j'accepte comme tout le reste. Ça va pas m'empêcher d'être aussi folle de toi qu'avant.

Assez peu à l'aise avec les mots, la jeune femme espérait tout de même qu'il comprenait que ça ne changeait rien à ses sentiments où leur relation.

-Arrête de t'en vouloir s'il te plaît, ça me fait de la peine de te voir comme ça... Je préfère le Marty souriant et plein de vie.
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Mar 7 Nov - 14:30

Said The Sky & Kwesi
All I Got
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Thérésa & Marty
font leur premier pas en amour.
« Une chauve-souris chez la plus belle des renards, really ?»Même si ton aveu avait eu le malheur de te mettre dans une situation peut agréable, il n'en avait pas fallu plus pour que ta renarde revienne à la charge afin de te calmer dans tes doutes. Tu te voyais comme un monstre, mais à ses yeux et de ce qu'elle te disait ça ne serait jamais le cas pour elle. Pour elle, tu étais la personne qu'elle aimait, son Marty, le seul et l'unique. Alors, qu'elle prenait tes mains tout en te parlant pour rassurer l'idiot paniqué que tu étais, tu retrouvais un léger sourire en l'entendant. L'image triste et brisée que tu avais, ça ne te correspondait pas, surtout après t'avoir connu avec la banane tous les jours. Tu étais bien plus connu pour apporter la bonne humeur, soigne les blessures physiquement et psychologique des gens que de te voir triste. Thérésa avait dû le comprendre très vite, car il était évident qu'elle savait te rendre ce fameux sourire sans problème. Tu soufflais en l'écoutant toujours avant de la serrer fortement contre toi avec une petite larme. Tu étais heureux, de plus en plus à vrai dire, avec elle. Tu voyais qu'entre cette renarde si adorable et toi, bien plus que de l'amour, il y avait ce lien qui n'avait cessé depuis que vous vous connaissiez. Un lien qui s'était renforcé et avait fini par aboutir à vous. Ce parfait mélange d'elle et de toi. Tu finissais par la lâcher avec toujours cette petite larme sur la joue, en reniflant un peu, content, les yeux humides.

Toi qui avais si souvent évité tes collègues infirmières de peur de ne pas savoir quoi leur répondre quand elles te demandaient ce que tu pensais d'elle. Tu n'étais peut-être pas le plus timide, mais quand il s'agissait de donner un avis sur une demoiselle, tu étais toujours un peu gêné. Il en était encore le cas si on te demandait de parler de Thérésa, même si maintenant, tu allais te jurer d'assumer pleinement tes mots. Tu n'avais plus besoin de te cacher, de peur de recevoir les foudres d'un prétendant ou même de Thérésa elle-même. Tu étais son petit ami, sa chauve-souris, son Marty. Tu retirais tes mains de ta renarde en te décalant, mouchant ton nez dans un bruit de trompette assez drôle avant de retirer la larme de ta joue avec ton index, pour reposer ensuite tes yeux sur elle. Il y avait toujours marqué quelque chose dans ta petite vie d'infirmière, une raison de te donner encore plus pour ce que tu faisais. Et voilà que la raison, en plus de te rassurer, elle se tenait devant toi. Tu hochais la tête en guise de réponse aux paroles précédentes de Thérésa avant de la soulever dans tes bras non sans perdre l'équilibre et finir sur le lit, le regard benêt. Tu fixais la jeune femme, en posant tes mains sur ses hanches, un petit sourire en coin. Tu te sentais idiot, mais bizarrement, ce n'était pas le sentiment premier qui te venait, bien plus que de la gêne, c'était de la joie et de l'apaisement, de l'avoir contre toi.

« Je suis désolé, j'ai toujours eu peur que cette info sur moi, bah ça brise un peu l'image que je donne. Qu'est-ce qui diraient les gamins qui m'adorent à l'hôpital s'ils savaient que Martynet, il boit du sang ? C'est dans ma nature, mais il ne se passe pas une journée, sans que je ne cherche quelque chose pour pallier à ça, de quoi m'éviter de boire du sang encore longtemps. Je sais que ça fait partie de moi, mais ce n'est clairement pas, la meilleure partie de moi. »

Tu faisais alors un peu la moue en lâchant un soupir long et plein de remords avant de froncer les sourcils puis de souffler un grand coup pour retrouver ton sourire. Ce n'était pas le moment de recommencer à broyer du noir alors qu'elle avait pris le temps de te rassurer, qu'elle faisait tout pour te rassurer et qu'elle était folle de toi. Tu penchais la tête, le regard attendri par le visage de Thérésa avant de lever la main pour venir la glisser contre sa joue afin de la lui caresser. Tu avais envie de la remercier encore et encore pour tout ce qu'elle faisait et avait déjà fait pour toi. Elle méritait bien, selon toi, tout l'amour que tu pouvais lui vouer et éprouver pour elle. Tu devais lui parler, même si c'était pour être maladroit, paraître idiot, tu devais lui dire ce que tu avais sur le cœur. Avec elle, tu n'avais pas besoin d'avoir peur de faire le crétin ou de te mélanger les pinceaux, car elle ne te jugeait pas ou du moins pas méchamment. Tu prenais un grand coup ta respiration avant de te lancer, serrant de ton autre main, la sienne en venant la chercher du bout des doigts.

« Tu sais, chérie. Je l'ai dit tout à l'heure, mais il va bien falloir que je l'assume… Tu sais, j'ai toujours eu peur que l'on me voit plus comme un vampire que comme un hybride. Entre le fait d'être tout blanc, de ressembler à un mec levé il y a dix minutes et même le travail que je fais, ça ne m'a pas toujours attiré les meilleures choses. Je ne vais pas me plaindre, car ça m'a aussi permis de te connaître toi. De connaître ma renarde, celle dont je suis amoureux et que je remercie. Tu as toujours été une petite motivation pour moi, même si je n'osais pas te le dire et depuis une heure à peu près, tu es une grande motivation. Alors, je vais tâcher d'arrêter de me démoraliser pour un rien et de sourire un peu plus. Que ce soit simple ou pas la vie, maintenant je peux l'affronter en t'ayant auprès de moi et en pensant à toi. Je t'aime Maëlys…tellement…»

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Thérésa M. Smiren
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Thérésa M. Smiren
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Jeu 9 Nov - 15:24
Thérésa & Marty
"Love is all."

Même si ce n'était clairement pas le meilleur côté de son petit ami, Thérésa ne s'en occupait pas. Il avait des tas d'autres qualités, et c'était ce qui comptait le plus à ses yeux. Elle savait qu'il continuerait sûrement à s'en vouloir pour ça. Mais, à ce moment, elle n'avait pas envie de le voir déprimé. Elle voulait continuer à avoir son Marty plein de joie de vivre et souriant.

Depuis qu'elle le connaissait et qu'elle passait du temps avec lui, la renarde était devenue encore plus joyeuse. Et il lui arrivait moins souvent de jouer des tours aux gens. Comme si elle était calmée et assagie par le fait de côtoyer son Marty. Peut-être pour ne pas qu'il la voie en tant que gamine aiment juste faire chier les autres.

Ses paroles eurent un effet bénéfique sur son petit ami, qui vint la serrer fortement contre lui. La jeune femme sourit doucement, heureuse malgré la légère panique qu'elle ressentait de le voir les yeux humides. Elle ne savait jamais comment réagir face à ça. Heureusement il ne se mit pas à pleurer, elle aurait été encore plus perdue.

A chaque fois qu'elle posait ses yeux sur lui, Thérésa sentait une douce chaleur l'envahir. Son regard envers Marty était toujours rempli d'amour, d'une tendresse qu'on voyait rarement chez elle. Avec lui, elle était totalement transformée.

Voir sa chauve-souris préférée essayer de la soulever mais finalement perdre l'équilibre et retomber sur le lit eut pour effet de la faire glousser. Il arrivait à rendre la situation comique. Ça détendait après l'aveu qu'il lui avait fait et sa réaction.

Thérésa manqua de faire la moue en l'entendant de nouveau broyer du noir. Heureusement, son sourire revint bien vite. Il était visiblement décidé à ne plus déprimer devant sa renarde, pour le plus grand bonheur de celle-ci. Et si jamais il avait de nouveau un coup de mou, elle serait là pour le soutenir et le rassurer.

Une nouvelle fois, Marty se lança dans un discours improvisé et spontané. La jeune femme se sentit légèrement rougir lorsqu'il l'appela à nouveau chérie. Volontairement cette fois. Et ça lui faisait plaisir. Si il assumait ce petit mot plein d'amour, peut-être qu'elle aussi pouvait se le permettre.

-Tu sais, pour moi tu n'es ni un vampire, ni un hybride. Tu es juste toi, mon chéri que j'aime à la folie. Tu es celui qui me rend joyeuse et qui me donne envie de toujours me donner à fond. Moi aussi je t'aime Marty.
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Jeu 16 Nov - 11:38

JT Roach
Wasted Roses
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Thérésa & Marty
font leur premier pas en amour.
« Une chauve-souris chez la plus belle des renards, really ?»Toujours allongé sur le lit, un sourire sur les lèvres, tu t'étirais un peu tout en écoutant celle que tu aimais. Tu haussais les épaules quand elle parlait de vampire, te fichant au final de comment on pouvait bien te voir. Après tout, tu avais fini par avoir l'habitude aussi bien des regards déplacés, que des remarques déplacées. Dans ton travail, le culot et la curiosité des gens pouvaient être poussés à son paroxysme. Que ce soit dans ton apparence, tes diplômes, tes capacités voir même ta race d'hybridation. Autant de questions, d'interrogations aussi futiles pour toi qu'inutile, même si tu y répondais aussi bien par politesse que par envie d'avoir la paix avec ces gens-là. Après tout, en devenant infirmier, tu avais pris tout ce qui était bon comme mauvais, en assumant l'ensemble sans jamais t'en plaindre. Sans doute l'une de tes plus grandes qualités : tu te plaignais peu même si par moment ta vie n'était pas la plus enviable, tu restais neutre sur ta propre situation. Sous les mots d'amour de ta renarde, ton sourire prenait plus d'ampleur sur ton visage. Il laissait au passage l'une de tes canines ressortir de tes lèvres comme une preuve que, sous ta chair plus qu'un jeune homme, il y avait un animal de la nuit. Un infirmier qui passait ses nuits à voler dans le ciel avec un air de liberté sur le visage, les ailes sorties et l'esprit libre. Maintenant, même quand tu serais en congé, en compagnie de Thérésa, tu aurais la même sensation. Elle était ta dose de liberté sans avoir besoin de t'envoler, c'était un plus. Tu reposais ta main un peu mieux sur sa joue en repoussant une mèche derrière son oreille comme l'aurait fait un mec de film Disney ou un adolescent non sans rougir un peu.

« Alors, donne-toi à fond dans ce que tu fais, si je peux te motiver à le faire. Moi c'est ce que j'ai toujours fait depuis que je te connais et ce que je continuerais à faire. J'ai eu du mal à voler quand j'étais petit, je pensais que j'allais finir comme Icare, tu sais, l'humain pas net qui a brûlé en volant près du soleil. Puis en grandissant, je me suis rendu compte que plus qu'un talent, j'avais la chance que n'avait pas d'autre. C'est aussi pour ça que j'ai voulu t'offrir la joie de voler, car sur terre, tout n'est pas pareil, mais une chose est similaire dans le ciel et sur mes pieds : je t'aime Maëlys moi aussi. »

Tes mots en plus de contenir tout l'amour et le sérieux qui pouvaient te faire vibrer à ce moment, exprimaient au maximum ta vision du monde. Tu te montrais humble même en sachant faire ce que d'autres pouvaient très facilement t'envier sans jamais les narguer. Tu n'en voyais ni l'intérêt ni l'envie d'être exécrable ou détestable alors que tu ne faisais que vouloir une place comme tout le monde dans cette ville. Nekai n'était pas juste l'envie où tu vivais, c'était aussi ton univers, cette grande gueule pas toujours simple à vivre, mais que tu n'aurais échangé pour rien au monde, pas plus ton appartement, ton travail que la belle renarde que tu admirais en ce moment de tes yeux. Tu finissais par relever le torse pour venir l'embrasser avec le plus de tendresse possible, les yeux clos et les doigts enfouis dans ses cheveux avec douceur. Le baiser était tout aussi tendre que le précédent, mais toujours aussi intense et inlassable, tu l'espérais. Pourtant, la sonnerie si caractéristique de la maison de Thérésa résonnait assez pour que tu puisses l'entendre tout autant qu'elle, vous obligeant à cesser votre baiser avec regret. Ce ne serait heureusement pas le dernier que vous alliez vous offrir, alors ce n'était pas un drame loin de là. Tu te relevas doucement en l'intimant de se reculer avant de finalement décider de la soulever dans tes bras sans demander avec un grand sourire pour sortir de la chambre et descendre donc vers l'entrée afin d'elle ouvrier avec elle. Tu songeais donc à la reposer en te disant que ce serait tout de même plus pratique pour vous et pour le livreur et aussi moins étrange à voir. Tu croisais Faustine en lui faisant un coucou de la main avec un hochement de la tête, ce qui semblait avoir été clair comme message pour elle. Tu laissais Thérésa prendre les pizzas et surtout payer avant d'attendre en refermant la porte pour la fixer.

« Tu sais, si tu ne finis pas, je le ferais, je meurs de faim avec le boulot et comme je n'ai pas vraiment des masses mangé avant de venir, raison de plus de faire le glouton. En un sens, je pourrais aussi te manger les joues si j'ai faim, tu es à croquer héhé. Bon du coup, on remonte dans ta chambre ou on va dans la cuisine ? »

Tu profitais de ta réplique pour lui prendre une partie des boites en la fixant toujours, ton air ahuri et taquin sur le visage, une mèche de cheveux en pagaille sur ton crâne. De quoi faire glousser celle que tu aimais, ce qui ne te dérangeais pas vu comment tu adorais l'entendre rire. Encore une facette de la renarde dont tu aurais bien du mal à te passer quand vous ne serez pas ensemble dans la même pièce ou en sortie. Tu te sentais bien plus serein qu'auparavant et en la fixant, tu te rendais compte que maintenant, tu avais tout ce dont tu avais besoin y compris ta Thérésa, rien que pour ton cœur. Elle avait toujours été la principale raison de ton sourire et maintenant elle serait celle de ton amour. Elle et personne d'autres.

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Mar 28 Nov - 20:15
Thérésa & Marty
"Love is all."

En peu de temps, tout les deux venaient de s'avouer plus de choses que depuis qu'ils se connaissaient. L'amour les rendait plus bavards, et leur permettaient de se parler à cœur ouvert sans peur. La renarde était contente de le voir plus épanoui qu'avant, sûrement soulagé de lui avoir avoué ses sentiments.

Il en allait de même pour elle. Thérésa avait eu peur de lui dire ce qu'elle ressentait, ne sachant pas qu'il partageait cela. Maintenant qu'ils étaient officiellement ensemble, un poids s'était envolé. Elle se sentait mieux, et allait certainement être beaucoup plus motivée dans sa vie de tous les jours. C'était lui sa dose de motivation quotidienne.

Marty semblait penser la même chose. Avoir l'amour de sa renarde l'encourageait à se donner à fond dans tout ce qu'il entreprenait. Leur vie allait maintenant être ponctuée par chaque moment qu'ils passeraient ensembles. Chaque instant qui serait toujours plus magique que le précédent.

La petite comparaison de son chéri fit sourire la jeune femme. Lui aussi avait eu un peu mal à ses débuts de vol. Mais il avait fini par s'y habituer, et c'était à présent naturel. Elle espérait qu'il en serait de même pour elle plus tard. Malgré la peur, elle avait bien aimé voler avec lui.

Rapprochant son visage, Marty vint lui offrir un nouveau baiser aussi tendre et intense que les précédents. Thérésa ne s'en lassait pas. Chaque baiser échangé avec lui faisait battre son cœur et la remplissait de joie. Elle aimait cette tendresse que tout deux partageait.

La sonnerie de la porte en bas mit fin à ce moment d'intimité entre eux. A la surprise de la renarde, son mini batman décida de la porter dans ses bras pour la faire descendre. Elle répondit à son sourire par un semblable, en s'accrochant à son cou pour ne pas tomber. En chemin, ils croisèrent Faustine, qui ne manqua pas d'adresser un clin d’œil à sa sœur.

Une fois reposée au sol, la jeune femme ouvrit la porte pour prendre les pizza et surtout payer. Elle souriait au livreur, pour une fois agréable. Refermant la porte, elle se tourna vers son petit ami en le laissant prendre une des boites. Un gloussement lui échappa à ses paroles et son air.

-Rêve pour que je finisse pas, ce serait criminel d'en laisser. Je doute d'être comestible tu sais, et même si tu as vraiment faim, je tiens à mes joues. La cuisine c'est bien, j'ai la flemme de remonter.

Thérésa prit la direction de la cuisine, déposant sur la table la boite qu'elle avait en main. Elle fouilla dans les tiroirs pour sortir de quoi les découper, et s'installa pour entamer son repas.

-C'est pas la meilleure chose pour la ligne, mais qu'est-ce que c'est bon ! Bon app' au fait.
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Sam 2 Déc - 18:35

Blackbear
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Thérésa & Marty
font leur premier pas en amour.
« Une chauve-souris chez la plus belle des renards, really ?»Avec la boite toujours dans les mains, tu suivais ta Thérésa chérie non sans battre légèrement des ailes dans un geste naturel. Tu avais des airs de petits démons dans les jeux vidéo, tant tes battements d'elle et les mouvements dans l'air que tu faisais ne semblait pas interrompre tes réfléchir. Tu donnais l'impression d'avoir fait ça toute ta vie et c'était le cas en quelque sorte. Quand tu devais récupérer quelque chose en hauteur chez toi, quand tu voulais faire les poussières sur le haut des meubles, tu volais. C'était aussi bien par souci de praticité que par flemmardise en vérité. Comme beaucoup, tu aurais pu prendre également un tabouret ou simplement lever un peu plus le bras. Tu essayais tout de même de faire des efforts en n'utilisant tes ailes que dans la plus grande nécessité, mais le naturel revenait bien vite au galop. Arrivant dans la cuisine, tu posais aussi ta pizza avant de ricaner aux paroles de ta Thérésa avant de rougir. Même si ça ne t'arrivais pas souvent, tu avais compris un double sens dans les mots de ta dulcinée. Un double sens qui avait de quoi te donner chaud aux joues, mais dont tu préférais t'abstenir de partager l'idée pour l'instant. Tu te disais que parler de ce genre de chose alors que vous alliez manger ensemble, ce n'était pas vraiment le moment. Tu secouais avant de prendre une des parties de pizza et de la manger littéralement devant elle, la tête la première. Tu n'avais pas l'air d'en avoir assez de faire des choses particulièrement étrange, surtout que tu arrivais à rien mettre par terre. Peut-être pas le plus grand des exploits, mais tu aurais pu mettre au défi pas mal d'humains de faire de même.

Pendant que Thérésa devait se demander comment tu faisais pour manger dans cette position sans en mettre partout ou t'étouffer, tu dégustais ta pizza. Tu devais avouer qu'elle était délicieuse et que tu allais devoir demander l'adresse ou du moins le numéro de téléphone de la pizzeria bien vite. Ton regard alors que tu finissais ta part se perdait alors sur la jeune renarde qui partageait ta vie et faisait battre ton cœur. Ce qui avait toujours été une activité banale, celle de manger une pizza sans te prendre la tête, semblait avoir un nouveau sens avec Thérésa. Au point qu'en te remettant sur tes jambes, dans une position bien plus normale pour manger avec elle, tu ne semblais pas sentir le morceau de fromage fondu sur ton nez. De quoi sans aucun doute la faire rigoler, sans que tu comprennes la raison. C'était aussi ce qui avait dû faire ton charme aux yeux de la renarde : tu avais toujours de quoi amuser la galerie, même malgré toi. Que ce soit au travail ou en dehors, passer du temps avec toi, même professionnellement parlant, c'était avoir le sourire assurément. Tu essayais toujours de relativiser au maximum, même si comme tout le monde, tu avais aussi tes coups de blues et des moments moins souriants. Dans la plupart des cas, même devant une personne souffrante, tu trouvais toujours un moyen d'adoucir le moment ou la peine de ladite personne. Ce qui rendait la chose plus ironique, c'était bien de savoir ta nature, car avec tes ailes, tu avais bien plus les airs du démon que de l'ange gardien discret avec sa joie toujours à portée de main. Tes mains se perdaient un peu dans le regard de la renarde avant que tu ne t'essuies les mains ainsi que les siennes sans la prévenir pour entrelacer vos doigts. Tu allais sans doute encore lui dire des mots tendres, sans savoir que leur effet serait quelque peu anesthésié par la présence de ce fromage sauvage sur le bout de ton nez.

« Maëlys, je me disais que je pourrais rester jusque ce soir pour qu'on profite encore un peu de tout ça, si ça ne dérange pas bien sûr. J'aimerais bien t'offrir un vol nocturne, car avec les étoiles, le ciel n'a vraiment pas son pareil. Et puis, avec toi ça sera encore mieux, j'en suis sûr. En fait, c'était toujours ce qui m'a manqué en tant que chauve-souris pendant mes vols, de la compagnie. Voler même si c'est super et que beaucoup d'humains rêveraient de le faire, ils ne savent pas que voler est bien mieux quand on peut le faire accompagner. Je veux dire, pas mal d'activité quand on y pense sont super cool quand on le fait à plusieurs. Genre, jouer à la console, aller au bowling, manger une pizza. Ouais bon pour notre cas, tout ce que j'ai cité, c'est réalisable et manger une pizza n'a jamais été aussi… Agréable ? J'ai rarement été aussi heureux d'avoir pris les devants, mais je suis content qu'on s'est enfin retrouvé tous les deux et qu'on puisse profiter comme on a envie sans se retenir de peur que ça ne soit qu'un allé simple dans nos sentiments. Woh, je viens de dire un truc super classe, faut que je le note. Qu'est ce qui à Maëlys ? J'ai un truc sur le visage pour que tu me regardes comme ça avec un petit sourire ou c'est ma bouille de chauve-souris délavée qui te donner le sourire ? »

Sans que tu le saches, les deux propositions dans ta question auraient été bonnes. Tu avais tout pour plaire à ta renarde, mais la présence de ce morceau de fromage fondu provenant de la pizza et maintenant sur ton nez, était difficile à rater. Il ne restait plus qu'à savoir ce que ferait justement la jolie Thérésa contre le fait que tu avais mangé sas faire attention, la tête en bas. Tu restais toi-même et ce moment étrangement drôle en était la preuve.

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Lun 18 Déc - 10:31
Thérésa & Marty
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Tout en dévorant petit à petit sa pizza, la renarde observait sa chauve-souris faire de même. Et, comme à son habitude, il avait fallu qu'il se mette dans une position plus qu'improbable, non sans réussir à se mettre de la pizza sur le nez. La scène eut le mérite de l'amuser, même si elle se retint de rire pour ne pas s'étouffer avec sa part.

A force, Thérésa avait pris l'habitude de le voir faire des choses comme ça. Au moins, ça avait le mérite d'être toujours drôle. Elle savait que Marty ne pouvait pas s'en empêcher, c'était spontané chez lui. Il ne réfléchissait pas forcément avant de se mettre dans une telle position. Une habitude qu'il devait avoir pris quand il était seul chez lui.

La jeune femme était heureuse de partager quelque chose avec son petit ami, même si ce n'était qu'un banal repas. La pizza semblait avoir un meilleur gout en sa présence. Bien que ce ne devait être qu'une impression provoquée par le bonheur qu'elle ressentait.

Une nouvelle fois, Marty se lança dans un discours improvisé. Thérésa ne prêtait qu'une oreille peu attentive à ce qu'il disait, trop concentrée sur la pizza qu'il avait sur le nez. Elle avait de plus en plus de mal à se retenir de rire, et ça se voyait. Même la chauve-souris finit par le remarquer.

La renarde se laissa finalement aller, éclatant de rire sous les yeux étonnés de son petit ami. Elle mit quelques minutes à se calmer, attrapant une serviette pour la lancer à Marty.

-Désolée, mais je peux pas détacher les yeux du magnifique bout de pizza que tu as sur le nez depuis tout à l'heure.

Thérésa avait dit ça avec un sourire, qui s'agrandit en voyant la réaction de Marty. Elle ne pouvait pas s'empêcher de le taquiner un peu. Si leur relation avait évolué, ça, ça ne changeait pas. Même son petit ami n'était pas à l'abri de ses taquineries.

Reprenant une part de pizza, la jeune femme réfléchit un peu à ce qu'il lui avait dit plus tôt. Elle n'avait rien contre le fait qu'il reste, au contraire. Mais elle craignait que ses parents ne rentrent bientôt. Ils venaient tout juste de se mettre ensemble, et la renarde ne se sentait pas prête à annoncer ça maintenant à ses parents.

-Je veux pas te mettre dehors, mais je crois qu'on va remettre ça à une autre fois. Mes parents vont pas tarder je pense, et j'ai pas encore envie de leur annoncer pour toi et moi. Mais t'en fais pas, on aura plein d'autres occasions de faire un vol nocturne tout les deux !

Comme pour confirmer ses dires, la renarde se pencha légèrement vers lui pour déposer un rapide baiser sur les lèvres de celui qu'elle aimait. Ce qu'elle disait était vrai. Maintenant qu'ils formaient un couple, ils auraient de nombreuses occasions de faire des choses ensembles.
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Jeu 21 Déc - 16:24

Jai Wolf
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Thérésa & Marty
font leur premier pas en amour.
« Une chauve-souris chez la plus belle des renards, really ?»Tu l'écoutais en terminant ta pizza non sans comprendre maintenant la véritable raison qui avait animé si vite un sourire, mais surtout un rire chez Thérésa. Tu n'avais pas ton pareil pour manger dans d'étranges positions autant que de te mettre des miettes dans les cheveux ou pour le coup, de la pizza sur le nez. Tu n'étais pas spécialement quelqu'un de mal poli ou qui avait une hygiène, un comportement ou quoi que ce soit de douteux. Pourtant, la nature t'avait doté d'une aisance et d'un agissement bien souvent assez différent pour paraître étrange. Heureusement aux yeux de Thérésa, de celle qui t'aimait et que tu aimais en retour, ça n'était qu'un agissement naturel. Un truc normal chez le Marty en face d'elle. Tu secouais ton nez machinalement après avoir senti son doigt te retirer le fromage fondu sur ce dernier avant de ricaner. Ta bouche en cul de poule, ton air un peu idiot, il y avait de quoi en sourire effectivement. Tu te servais à nouveau comme elle avant de pencher la tête, sans pour cette fois, te retrouver la tête en bas. Chauve-souris ou non, cela restait tout de même mauvais pour le corps de se mettre sans cesse la tête en bas. Même si l'animal dont tu étais l'hybride savait le faire, toi en tant que mélange d'humanité et d'animosité, tu devais éviter ce genre de cabriole. Tu finissais par te reposer en battant des ailes sur une des chaises, face à ta chérie sans perdre ton sourire, ni ton appétit d'ailleurs.

Maintenant assis, tu ne retenais pas une mine un peu boudeuse et déçue de savoir que tu allais devoir y aller bientôt, même si tu comprenais très bien Thérésa. Accepter votre amour, en profiter et l'assumer, c'était une chose. Réussir à le dire à ses parents surtout vus de quel milieu tu venais en était une autre. Tu ne le prenais pas mal le moins du monde, tu te doutais qu'à sa place, tu aurais été contraint de faire la même chose. Tu dégustais ta pizza sans forcément te presser avant d'apercevoir que le soleil avait considérablement décliné depuis que tu étais venue chez Thérésa. Tu ne savais pas combien de temps s'était écoulé depuis ton arrivée dans le manoir des Smiren, mais en tout cas, c'était une belle journée. Tu sais d'ores et déjà que tu allais rentrer chez toi avec un grand sourire, le cœur plus léger et de l'énergie à revendre. Tout ça avait eu le don de redonner un peu de vigueur tout en t'apaisant. Tu prolongeais un peu maladroitement le baiser de Thérésa en sentant tes joues s'empourprer sous la surprise. Te voir rougir, de quoi la faire ronronner ou rigoler tendrement. Tu terminais ta part de pizza en attendant qu'elle fasse de même avant de l'attirer dans tes bras et avec toi tout en reculant de la cuisine pour filer lentement vers l'entrée. Tu allais devoir tôt ou tard partir, mais même si tu n'étais pas pressé, le fait de savoir qu'ils allaient rentrer bientôt, ses parents, te poussais à ne pas trop traîner quand même. Tu aurais été heureux de faire la rencontre des parents de celle qui faisait battre ton cœur, mais il était clair qu'il valait mieux être patient. Tu l'embrassais longuement en la serrant dans tes bras avant d'ouvrir la porte pour te préparer à partir.

« Je ne m'en fais pas chérie, je le sais, je comptais t'appeler dans la semaine qui suit pour qu'on aille manger quelque part ou se balader. Au pire, tu sais où je travaille donc tu peux venir me voir pendant mes pauses, que tu connais en plus. On a le temps pour les présentations devant nos parents et tout le reste. On est amoureux, on est ensemble, alors ça me suffit. On aura d'autres occasions pour plein de choses en fait. Hey, tu sais quoi ? Je t'aime. C'est con, parce que tu le sais, que je l'ai déjà dit, mais avant je n'aurais jamais osé le dire aussi clairement. Bon, bah, il va falloir que je rentre moi, sinon je ne serais jamais levé demain matin. En tout cas, c'était sans doute l'une de mes meilleures journées, voir la meilleure en fait, vu que c'était avec toi. »

Tu attendais sa réponse, une réaction avant de partir pour retourner chez toi. Tu avais vraiment passé une excellente journée et tu espérais que tes mots avaient su traduire à quel point, ce moment avec elle n'avait été que joie, amour, bonheur et bien être. Sans doute une sensation que tu avais fuie ou ignorée pendant trop longtemps et que tu allais maintenant savourer au maximum.

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Thérésa M. Smiren
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Lun 1 Jan - 21:43
Thérésa & Marty
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Si elle avait pu, la renarde l'aurait gardé avec elle toute la soirée, voir même toute la nuit. Elle ne vivait cependant pas seule dans le manoir, et devait composer avec l'arrivée prochaine de ses parents. Ils étaient partis pour passer la journée avec des amis à eux, ce qui avait au moins laissé le champ libre à Thérésa pour accueillir son petit ami un certain temps.

Tout deux avaient réussi à se faire une après-midi mémorable, entre l'aveu de leur sentiments, le premier vol de la renarde et la pizza. Des moments qu'elle n'oublierait pas de si tôt, et notamment la tête de Marty avec son bout de pizza sur le nez ! Rien qu'y repenser lui arracha un sourire. Il allait en entendre parler pendant un bon moment de ça.

Dès que la jeune femme eut terminé sa part, son mini batman la prit dans ses bras en se dirigeant vers l'entrée. Il prit le temps d'échanger à nouveau un long baiser avec elle, avant d'ouvrir la porte. Si elle souriait, Thérésa sentait un petit pincement au cœur à l'idée de le voir partir. Elle se consolait en se disant qu'elle le reverrai vite.

Effectivement, Marty avait déjà prévu une sortie pour la semaine à venir. Que la renarde acceptait sans hésiter. Et puis, si il lui manquait trop entre temps, elle pourrait aller lui rendre visite à son travail. Elle connaissait ses horaires et ses pauses. Peut-être même qu'elle pourrait lui faire la surprise d'une visite.

Souriant toujours, la jeune femme s'amusa à tirer légèrement les joues de son petit ami. Ça lui donnait un air enfantin à la faire éclater de rire.

-J'attendrai ton appel alors. On verra bien ce qu'on fait le jour venu, mais je suis sûre que dans tous les cas ce sera mémorable. Obligé vu que ce sera avec toi. Et tu sais quoi ? Je t'aime Marty-chou. Aller, file maintenant que tu sois en forme pour le travail.

Fière de son petit surnom, Thérésa déposa un dernier baiser sur lèvres de celui qu'elle aimait, puis le laissa repartir vers son chez-lui. Dès qu'il ne fut plus qu'n point lointain, elle referma la porte en soupirant. Sa sœur l'attendait déjà en haut des escaliers, un grand sourire sur les lèvres.
©️ ASHLING POUR LIBRE GRAPH'


 
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