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Une chauve-souris neutre & une louve guerrière - PV Daitya

Anonymous





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Invité
Lun 1 Mai - 16:28

Evill
Rilès
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Daitya & Marty
On est du même camp, hein.
« Quand ton interlocuteur ou interlocutrice à une arme, ne fais pas le héros.»Les oiseaux dans les arbres, le son du vent dans les branches, ce n'était pas ton habitat naturel. Tu étais sorti de ta zone de confort, de ton cocon aka le canapé du salon de chez Freya. Tu avais laissé traîner tes chaussettes sur ce dit canapé d'ailleurs et tu savais que tu allais te faire déchirer en rentrant. En un sens, tu savais que la jolie miss n'allait pas être dure avec toi, mais elle n'allait pas non plus te féliciter. Tu n'étais qu'une loque quand tu t'y mettais et fier de l'être en plus, le pire. Tu sortais de ta poche une barre de chocolat de type Kinder maxi avant de croquer dedans avec un petit sourire. Tu n'avais pas l'habitude de te balader en pleine journée hors de l'hôpital, surtout de son bon matin, mais il arrivait que tu veuilles toi-même changer ton petit quotidien bien rangé. Tu continuais de marcher dans les bois en sifflotant, croisant parfois des animaux que ce soit des cerfs, des oiseaux ou de petits rongeurs. Sympathique cet endroit pour toi d'ailleurs, même si tu n'étais vraiment pas un garçon adroit dans ce genre d'endroit. Depuis que tu avais pénétré entre des arbres à l'orée de ce lieu paisible, tu avais dû te prendre les pieds une bonne dizaine de fois dans des racines ou des cailloux. Cela avait rendu ton déplacement saccadé, maladroit et totalement ridicule, dans ta splendeur naturelle en somme.

Même si tu étais une chauve-souris au fond de toi avec les avantages et les inconvénients, tu persistais à rester sur tes gardes. Tu avais beau ne pas avoir la tête de l'ennemi public numéro du coin ou quelqu'un de réellement dangereux, tu restais un rebelle. Aux yeux de pas mal d'humains, tu étais une erreur dans matrice, voir même aux yeux d'autres hybrides. Les dociles ou les riches ne devaient pas tous comprendre ce qui animait ta petite vie rangée ressemblant à celle d'un humain, mais sans t'entraver dans tes actions bien hybrides. D'ailleurs parmi ces humains, tu ne pouvais pas nier que celle chez qui tu vivais était différente. Elle n'avait pas ignoré ta nature, ni que tu ne ressemblais pas bien à grand-chose, mais elle avait tout de même passé outre. Elle avait su voir un peu plus loin que le bout de son nez. Elle te confiait sa confiance le plus souvent et tu faisais en sorte de mériter cette dernière. Bon, il y avait le cas des chaussettes, mais de toute façon, même si elle te faisait une réflexion, elle devait se douter qu'avec ou sans remarques, tu allais les virer dans le bac à linge. Bordélique chez toi ne voulait pas dire sale au contraire. La preuve au lieu de laisser comme le feraient beaucoup l'emballage de ton petit encas, tu le fourrais dans ta poche avant de sentir une odeur. Cela ne venait pas de toi, c'est plus féminin, donc tu n'étais pas seul. Bon ou mauvais signe, c'était encore trop tôt pour le savoir, en tout cas, tu t'avançais légèrement avant d'apercevoir des cheveux. D'où tu étais, tu ne voyais rien d'autre, alors autant tenter le contact made in Marty.

« Euh salut ? Je ne sais pas trop si je suis sur ton territoire copine, mais je viens en paix comme les gentils martiens des dessins animés. J'étais venu me balader dans le coin, mais je ne pensais pas tomber sur quelqu'un d'autres. Tu le dis si je te dérange, si ce n'est pas le cas, je peux avancer, histoire de voir à qui je parle ? »

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Anonymous





Invité
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Lun 15 Mai - 15:15
Il y avait tant à faire pour arriver à l’objectif que s’était donner la louve et la chose la plus importante pour réussir c’était de devenir encore plus forte, de s’entraîner encor et encore. Certains diraient qu’elle était déjà bien assez forte comme cela et qu’elle pourrait facilement s’imposer par la force mais elle ne voulait pas seulement s’imposer comme une chef violente. Un chef violent inspire la peur mais la peur n’inspire pas forcément le respect et c’était le respect des autres rebelles qu’elle voulait avoir afin de les mener à la guerre contre les humains colonialistes et destructeurs.

La guerrière c’était donc éloigné de la cité souterraine afin de se rendre dans l’un de ses lieu favori, la forêt. C’était un endroit où elle pouvait se sentir en communion avec la nature, ressentant la vie qui y régnait tant végétal que animal. Il lui arrivait de rester des heures à méditer au milieu des bois sans bouger, juste à sentir et ressentir le monde qui l’entourait, un monde qui avait été pollué par des humains. Cela devait être si beaux comme monde aux temps de ses ancêtres dont son grand-père lui parlait souvent, elle aurait aimé pouvoir y faire un tour mais il n’existait pas encore de machine à voyager dans le temps.

Elle était donc là au milieu des arbres à penser à ce que serait le monde sans les humains et elle commençait à s’entraîner au maniement de ses armes, deux longues chaînes avec de lames aux extrémités, des armes redoutables mais dangereuses également pour celui qui les manie s’il ne fait pas attention.  Alors qu’elle faisait tournoyer ses lames, elle entendit quelqu’un arriver et par réflexe elle envoya ses lames se planter dans les arbres à coté de lui :

« Approche doucement, si tu ne veux pas finir en morceaux. Qui es-tu ? Et que fais-tu ici ? »

Elle avait le ton et le regard grave, elle n’hésiterait pas à démembrer l’inconnu s’il se montrait hostile, il y avait beaucoup de place pour enterrer un cadavre dans la forêt.
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Anonymous





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Mar 16 Mai - 21:29

Feureroter Pfeil
SNK
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Daitya & Marty
On est du même camp, hein.
« Quand ton interlocuteur ou interlocutrice à une arme, ne fais pas le héros.»Tu avais attendu sans bouger et c'est, après avoir senti l'air se fendre sous le mouvement de lourdes lames que tu déglutissais. Elle n'avait pas l'air bien commode et tu te demandais si avoir ne serait-ce que pointé le bout de ton nez près d'elle, avait été une bonne idée. Tu posais ton doigt contre l'une des lames avant de l'entendre. Ce n'était pas des jouets, mais de vraies armes, super rassurantes pour toi. Elle avait un ton franc, mais si froid qu'elle t'aurait gelé sur place si cela avait été possible. Tu te frottais alors la nuque un peu en avançant à tâtons, pas après pas avant de finir par l'apercevoir. Elle avait une allure impressionnante avec sa peau de bête et ses airs de guerrière. Elle ne donnait pas l'impression d'être venue cueillir des pâquerettes ou de la groseille, très clairement. Tu sortais alors doucement tes mains de tes poches pour les lever au-dessus de ton visage en affichant une grimace entre l'envie de vivre et celle d'avoir une bonne frousse. Après tout, ses armes avaient été à deux doigts de te décapiter ou de te couper un membre comme si tu avais été en beurre. Tu déglutissais encore une fois avant d'avancer encore d'un ou deux pas, pour au moins pouvoir la fixer un minimum dans les yeux, même si tu avais encore peur de mourir au moindre geste de cette femme qui donnait l'air d'être une amazone.

« Je… Je m'appelle Marty Flanagan, je suis un hybride rebelle si ça peut t'intéresser. Et ce que je fais ici... ? Bah… Comme je ne travaille pas, je voulais me balader dans la forêt, sauf que je ne pensais pas tomber sur une warrior qui veut me trancher. C'est disons ta façon de dire bonjour ? Non pas que je critique, mais si tu veux avoir des alliés, essaye déjà de pas les transformer en saucisson en tranche, c'est pas mal, je pense. J'ai affaire à qui du coup ? Non parce que tu peux bien me tuer si cela t'amuse, mais j'aimerais bien savoir qui a failli me faire finir sans tête. »

Tu prenais de très gros risques en lui tenant tête à ta manière, mais tu n'avais pas plus peur de mourir sous sa lame que de te faire renvoyer de ton boulot. De toute façon, si cela arrivait dans les deux cas, bah, tu ferais avec. Enfin, même si mort, tu n'allais surtout pas faire grand-chose. Tu posais tes mains sur ta tête avant de soupirer en finissant par laisser tes bras pendre le long de ton corps en te balançant d'avant en arrière sans la perdre du regard. Tu te posais tellement de questions à son égard que ce soit sur sa tenue, son allure, ses lames ou encore si elle avait ce genre de réaction avec tout le monde. Elle avait l'air d'une hybride rebelle, mais sauf en l'entendant confirmer, tu ne risquais pas d'avoir de réponse à cette question, ni aux autres d'ailleurs. Tu soufflais un peu et tu te lançais non sans plisser légèrement les yeux en te préparant à te protéger comme tu pouvais.

« D'ailleurs, tu es quoi ? Vu comment tu es sur tes gardes, tu ne serais pas une rebelle ? Non parce que je te vois mal humaine à te balader habillé comme ça, mais ne me frappe pas. Je ne suis pas méchant, je suis rebelle, mais as contre toi, ok ? »

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Mer 28 Juin - 14:29
Elle n’y était pas aller de la plus douce des manières en envoyant ses armes sur l’inconnu mais au moins ça mettait les choses aux clair tout de suite, quoi qu’il soit, un geste un peu trop brusque ou contre elle et il se retrouverait dans l’au-delà. La forêt était grande et il était facile d’y cacher un cadavre s’il fallait, de plus elle se méfiait des humains et des hybrides soldier, des traîtres à leurs espèces. Elle se méfiait mais n’avait pas peur, elle était encore bien plus forte que ce qu’elle pouvait sembler être et elle n’hésiterait pas à frapper au moindre doute.

Elle écoutait donc celui qu’elle avait failli faire passer de vie à trépas et soupira, il disait être un hybride rebelle, elle demandait à voir ce qu’il faisait comme acte de rébellion. Il y avait bien trop d’hybride qui se disaient rebelles alors qu’il ne faisait rien pour le prouver, ne pas aimer l’idée de l’asservissement n’était pas suffisant, se prélasser dans la demeure d’un humain l’était encore moins.

Elle commença à s’approcher de lui, lui permettant donc de la voir un peu mieux et elle plongea son regard dans le sien :

« Un rebelle dis-tu ? Et que fais-tu pour la rébellion ? Te bats-tu pour tes semblables enchaînés ? Ou te contente tu de te considérer rebelle parce que tu n’es pas un serviteur très docile ? »

Ses questions étaient acérées et elle ne le quittait pas des yeux, ses mains toujours posées sur les chaînes qui lui permettait de contrôler ses lames. Elle n’était pas du genre à rigoler ni à faire des blagues. Elle soupira, se demandant si un jour elle trouverait quelqu’un d’aussi impliqué qu’elle dans sa cause :

« Tu peux m’appeler Daitya comme tout le monde, mon nom importe peu aujourd’hui. Et pour ce que je suis, je pense que ça se voit, je suis là pour me battre, il en faut bien pendant que d’autre se prélasse sans bouger le petit doigt pour aider les leurs. »

Elle ne le connaissait pas mais chacune de ses paroles pouvaient sonnées comme des reproches pour ceux qui n’étaient pas aussi engagés qu’elle dans la lutte.
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Lun 3 Juil - 22:53

Resonance
TM Revolution
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Daitya & Marty
On est du même camp, hein.
« Quand ton interlocuteur ou interlocutrice à une arme, ne fais pas le héros.»Tu n'avais pas bougé d'un pouce en la voyant approcher sans spécialement faire de réaction visuelle au cas où. Elle avait failli te transformer en tranche un peu plus tôt, alors si possible, tu voulais rester en vie. Tu n'aimais pas trop la façon avec laquelle elle te parlait ni comment elle te fixait, mais entre elle et toi, c'était très simple de savoir qui gagnerait. Tu n'avais pour arme que tes dents de chauve-souris et encore, alors qu'elle possédait deux immenses épées. Elle était maintenant très proche de toi, assez pour que tu puisses voir que sa tenue donnait des impressions d'accoutrement encore plus guerrier que dans les films. Tu te demandais si elle ne se prenait pas un peu trop pour ce qu'elle était ou si elle avait un grain. Sa question te faisait froncer les sourcils, n'appréciant pas un seul instant qu'elle se mette à te juger aussi facilement et surtout sans même te connaître. Pourquoi les rebelles devraient tous se battre pour prouver qu'ils l'étaient ? Tu ne comprenais pas vraiment où elle voulait en revenir en te demandant ça, mais ce n'est pas vraiment ce qui allait te faire reculer. Après avoir failli perdre la tête, tu ne savais plus quoi penser de cette situation.

« Je me considère effectivement rebelle en n'ayant pas envie d'être un petit chien pour les humains. Tu me dis ça comme si tu te pensais supérieur avec tes épées. Tu sais, je préfère être civilisé et pas me balader en loup avec deux épées pas discrètes quitte à me faire chopper. »

Tu croisais les bras, en te rendant compte qu'encore une fois, tu lui parlais très mal. Elle n'avait pas montré spécialement une envie d'être gentille ou câline avec toi. Elle avait les raisons, les moyens et le lieu pour faire de toi un cadavre alors pourquoi tu t'obstinais autant ? Peut-être n'aimais-tu pas au final son ton et la façon avec laquelle elle t'avait lancé la question surtout avec une telle arrogance. Tu te demandais si elle se permettait d'agir comme ça, parce qu'elle avait en face d'elle un hybride pas bien imposant ni armé. Ce n'était pas une raison selon toi pour te parler de la sorte et sans rien demander, tu attrapais son poignet après avoir écouté attentivement, mais un peu d'énervement son discours, pas spécialement intéressé par ce dernier surtout pas ce qu'elle avait pu te dire. Tu ricanais en gardant son poignet entres tes doigts fins et blancs avant de soupirer un peu puis de la fixer à nouveau tout sauf amusé par ses paroles.

« Daitya, tu penses impressionner qui au final ? Tu as des lames, ils ont des armes. Ils vont te voir et aussi fortiche que tu as l'air d'être, ils vont te transformer en gruyère point barre. Oui, tous les rebelles ne sont pas aussi idiots que toi. Oui, tu as bien entendu, on n'est pas assez cons pour faire la gueguerre avec des épées comme avant et se dire qu'en face d'eux, on va gagner. Alors, s'il te plaît arrête un peu ton char en essayant de te faire plus grande et imposante. Je me tape des centaines d'humains à traiter par semaine à l'hôpital alors ce n'est pas une rebelle de la forêt qui va me menacer et après me dire que je dois être dans son camp. Entre mourir la gueule ouverte à tes côtés et encore vivre un moment le choix est vite fait. »

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