Utsukushi Neko Sekai
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Utsukushi Neko Sekai
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Batman et Ivy ~ (Feat Marty) [END]

Anonymous





Invité
Invité
Mar 2 Mai - 15:25
Batman et Ivy ~
Un soupire résonne dans une grotte en plein milieux des bois, où se trouve une jeune femme à la chevelure de feu. Cette femme ? C’est moi, m’ennuyant profondément. Il fallait dire qu’appart la chasse aux lapins et la recherche des baies, il n’y avait plus rien à faire dans le coin maintenant que ma petite sœur est partie… De plus cela faisait trois jours qu’il pleuvait, sans un seul rayon de soleil pour mon plus grand malheur. Ma peau était devenue verte, à cause du manque de chaleur et de soleil… J’étais une plante moi, comment voulez-vous que je survive sans mon minimum d’UV par jour ? Autant je peux rester une semaine sans manger, mais là avec la pluie j’avais beaucoup trop d’eau en prime… Je soupirais à nouveau, jouant avec mes cheveux, observant mes doigt verdit par ma carence. Si je sortais comme ça, les humains auraient peur de moi,  pensant que j’ai une maladie incurable. Se serait assez drôle d’aller en ville pour les faire courir un peu… Un sourire amusée apparut sur mes lèvres, trahissant mon côté enquiquineuse sur les bords : j’allais vraiment le faire. Je me levais de mon ‘lit’ : un tas de feuilles vertes, triées tous les jours pour éviter de dormir sur des feuilles en décomposition. Ma grotte était primaire : un petit feu, deux lits puisque je n’avais toujours pas eu le courage d’enlever celui de ma sœur, et une sorte de petit garde mangé avec des fruits et de la viande fumée pour la conservée plus longtemps.


La plupart des humains ne tiendrait pas une semaine dans mon environnement naturel, et je les plains un peu. A force de se faire servir par les hybrides, ils ont pour la plupart, oublié comment était la vie avant de les découvrir. En même temps, si les hybrides c’était un minimum défendus, peut-être qu’on ne serait pas tous en train de se cacher pour ne pas être traités en esclave… Enfin, penser tout sa ne sert à rien : on ne peut pas changer le passer, mais on peut penser à l’avenir. Et mon avenir proche était d’aller flanquer une petite frousse aux humains ! Sortant de ma grotte, je ronchonnais en voyant que la pluie tombait toujours, ne semblant pas vouloir s’arrêter avant un petit moment. J’allais encore me prendre de l’eau sur le corps… J’ai avait tellement absorbée que je ne savais même plus si j’avais dépassé la limite qu’une plante de mon gabarit pouvait boire en une semaine. Mais je pense que je l’avais largement dépassée. Marchant doucement vers la ville,  je croise quelques humains qui blanchissent en m’apercevant. C’est vrai qu’une femme rousse, habillée de feuilles et toute verte, ça doit quand même flanquer la frousse. Encore plus en plein milieu de la nuit ! Je ne m’en formalisais pas en continuait mon chemin.


Arrivée à l’entrée de la ville, je me dirigeais vers son centre, là où il y avait toutes les boutiques, les bars et tout ce qui pouvait attirer le maximum d’humains. Avec un sourire amusé, j’imaginais sans peine la tête des gens si je débarquais dans un pub. J’avais crus comprendre qu’ici il y avait très peu d’hybrides ‘végétaux’ qui venaient leur rendre visite. Pas étonnant, ont a pas forcément envie de se faire piétiner ou autre, on était un peu plus fragile que les hybrides animaux… Même si j’avoue en avoir croisé rarement, ils étaient pour la plupart assez débrouillard et supportait mieux que nous les ardeurs des humains. Arrivant enfin au centre de la ville, un léger tournis vint me faire coucou. Attrapant ma tête entre mes mains, je m’assois sur un banc en soufflant. Ce n’était généralement pas bon signe lorsque j’avais la migraine ou le tournis, et je n’avais rien contre tout cela à la maison, enfin chez moi. En parlant de migraine, en voilà une qui pointe le bout de son nez… J’interpelais quelqu’un au hasard, demandant le chemin le plus rapide pour l’hôpital. J’ai eu une réponse assez rapide avant que la personne ne parte, presque en courant. Quoi, je ne devais pas faire si peur, quand même… ? Me levant difficilement, la pluie continuant de ruisseler le long de mes cheveux roux, je marchais difficilement mais surement vers l’endroit où il devait y avoir de quoi me requinquer.


Je soupirais de soulagement quand vingt minutes plus tard, j’arrivais enfin devant mon ‘oasis’. Je rentre aux urgences après avoir passé dix minutes à les chercher : ce lieu m’était totalement inconnu puisque je n’étais jamais venue ici auparavant. Il n’y avait personne dans la salle d’attente, mais également personne à l’accueil… Génial, plus qu’à attendre alors. M’asseyant sur une des chaises, je pris ma tête dans mes mains en sentant une vive douleur dans le crâne. Puis, ‘pouf’, je vis tout noir. Pour me réveiller plus tard, dans un lit blanc qui était dans une pièce toute simple… Je me relevais un peu paniquée et un peu trop vite : le tournis me repris. Je vis également que ma peau avait foncée encore un peu plus et je sentais bien que j’avais absorbée beaucoup trop d’eau… Regardant l’heure sur la pendule, je vis que je m’étais évanouie environ un quart d’heure… Et pourtant, je ne me sentais pas beaucoup mieux. Essorant mes cheveux, il ne me restait plus qu’à attendre que quelqu’un vienne s’occuper de moi, apparemment. Je remis quelques feuilles de  ma ‘tenue’ en place, observant l’environnement avec curiosité. Je n’avais jamais vraiment mis les pieds en ville et encore moins là où les humains venaient se faire soigner. C’était grand, blanc, propre… Et ça sentait un peu trop la javel par endroit. Me levant difficilement, j’allais attraper une sorte de réservoir où on appuyait dessus pour faire sortir de l’eau, qui traînait sur la table dans un coin de la pièce, me demandant ce que ça pouvait être… Oui, j’étais curieuse. Mais apparemment c’était du… « Désinfectant ». Mouais, j’en savais pas plus mais bon, je retournais calmement sur le lit, remettant mes cheveux en place.
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Mar 2 Mai - 18:27

Evill
Rilès
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Diana & Marty
Batman avec une jolie plante.
« Batman et Ivy inséparable pour la vie et les conneries ?»La tête dans le brouillard, les cheveux en bataille comme pas deux, tu te levais. Un bâillement à t'arracher la mâchoire te prenait sans vergogne au réveil. Le polisson qui te faisait alors grimacer avec très peu d'élégance. C'était le genre de grimace qui aurait fait passer n'importe quel acteur ou actrices pour des vulgaires épouvantails. Tu te grattais le nez nonchalamment en sortant du lit avant de ruminer en traînant des pieds vers la salle de bains. Neuf heures à peine et c'était déjà la journée de la longueur comme tu aimais appeler ce genre de journée. Celles qui semblaient dès le réveil se passer au ralenti et sans avoir spécialement d’événement marquant. Tu te nettoyais le visage légèrement avant de prendre clairement ta douche en baillant encore puis tu faisais des dessins sur la vitre de la douche sur la buée. Un vrai gosse, responsable, avec un salaire et un travail, mais gosse quand même. Douche prise, tu ressortais en tenue d'Adam pour aller enfiler de quoi ne pas rester totalement nu. Un tee-shirt avec un gros Pac-Man à moitié délavé, un caleçon avec de Splatoon sans oublier le jean en fin de vie, parfait comme style mon petit Marty. Tu enfilais le tout non sans agrandir le trou à ton genou et soupirais. Tu retirais le jean et le jetais derrière toi avant d'en mettre un moins abîmé. Maintenant, l'étape suivante allait être de manger sans t'en mettre partout et sans finir en retard.

Entrant dans ta cuisine de fortune, tu mettais deux cuillères de chocolat en poudre puis ajoutais ton lait avant de faire chauffer le tout au micro-onde. Tu n'avais pas trois heures devant toi, alors ça serait un petit-déjeuner rapide. Pendant que ton chocolat chaud tournait dans le micro-onde, tu enfournais quelques biscottes dans ta bouche comme un morfal avant d'avaler le tout. C'était à se demander où tu pouvais bien garder tout ce que tu mangeais vu le gabarit que tu avais. Au bout de dix bonnes minutes et d'un peu de vaisselle, tu avais tout fini et tu étais prêt à partir. Clef de ton apparemment en poche, chaussures enfilées et ton badge accroché tu sortais enfin de ton antre de petit Batman. Tu fermais derrière toi avec précaution avant de prendre la route de l'hôpital qui se trouvait à même pas dix minutes à pieds de chez-toi. Tu croisais des gens au détour des rues, qui le plus souvent t'ignorait et ce n'était pas plus mal. L'humeur n'était pas au beau fixe et tu avais l'étrange pressentiment que tu allais avoir un cas particulier aujourd'hui. Comme à chaque fois, tes lèvres te piquaient, tu avais la nuque raie et l'air te semblait lourd. Tu entrais dans l'aile de service, saluais des collègues avant de te changer. Tu fermais ton casier avant d'enfiler la blouse du médecin que tu avais piqué, puis tu allais vers les consultations comme à chaque fois. Rien que des petits cas et pas beaucoup de monde. Tu laissais ta collègue faire du coup, elle gérait bien seule.

Sans vraiment que tu t'y attendes, on venait te prendre par le bras en te parlant rapidement. On t'expliquait alors le cas que tu allais devoir gérer, mais tu restais perplexe à vrai dire. Pourquoi personne n'avait été chercher un médecin ? Tout le monde savait que tu n'étais qu'un infirmier toi, donc pas le plus qualifié pour ça. Malgré tout, tu te laissais entraîner avant de demander le dossier du patient, qui n'en avait pas. Tu soupirais en repoussant celui qui avait été te chercher avant d'entrer dans la chambre non sans te stopper directement. Entre le fait que la demoiselle sur le lit aurait fait tomber d'une érection n'importe quel homme encore timide, qu'elle avait l'air plus vert que le gazon, tu te doutais que le cas atypique, c'était elle. Tu demandais calmement aux infirmières autour d'elle, de bien vouloir sortir avant de te masser les tempes. Tu n'avais pas demandé ça, afin de mieux mater la femme sur le lit, qui semblait consciente d'ailleurs, mais travailler dans le calme, c'était ton dada. Tu approchais avant de sortir ton matériel de médecin de tes poches puis tu la fixais. Elle avait l'air assez mal la pauvre et tu te devais de l'aider. Tu n'avais jamais rencontré de spécimen comme elle, et même si tu ignorais tout d'elle, à en voir les feuilles sur sa peau et son teint, tu devinais que c'était une hybride plante. Restais à savoir de quelle plante, car ce n'est pas ce qui manquait sur cette jolie planète bleue.

« Bonjour mademoiselle ou madame, je ne sais pas trop. Je m'appelle Marty Flanagan, je suis l'infirmier qui va se charger de vous. Alors, j'aimerais si c'est possible que vous me disiez ce que vous ressentez actuellement et en détail. Ensuite, et même si ça ne se demande pas à une dame, votre identité et votre race. Ne vous inquiétez pas, je suis hybride aussi, une petite chauve-souris des familles. J'avoue que je n'ai jamais eu de cas comme vous, enfin comme toi, si je peux te tutoyer. Une jolie plante évanouie dans un lit, c'est nouveau, mais pourquoi pas ? La première que je rencontre d'ailleurs enfin bref. Je t'écoute copine, je prends note dans ma caboche et ensuite, je vais te requinquer sans terreau. »

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Mer 3 Mai - 13:22
Batman et Ivy ~
Qu’elle ne fut pas ma surprise en voyant un homme,  assez maigrichon, le teint pâle et les cheveux noirs qui, d’ailleurs étaient en bataille, formant un épi assez comique sur le sommet de son crâne. Je fais un petit sourire en l’entendant demander aux autres de sortir avant de se masser les tempes. C’est vrai que je devais un peu trop attisé la curiosité des gens, je le plaignais d’avance, ce pauvre petit  infirmier. Enfin, petit… Il avait peut-être un âge plus avancé que le miens. Je le laisse m’observer, ne m’offusquant pas un instant, après tout c’était son métier. Et je pense que lui aussi devait avoir une petite curiosité, même si je ne préfère pas m’avancer là-dessus. Croisant les jambes, je l’observais sortir des instruments, me demandant à quoi ils pouvaient bien servir… Je le laisse faire son monologue, retenant les informations qu’il me donne en passant. Tiens, un hybride ? Je ne l’aurais pas forcément devinée en le voyant, comme ça, au premier coup d’œil. Et une chauve-souris ‘des familles’. Je souriais à sa façon de parler : directe, franche et sans aucune retenue. J’aimais bien, ça changeais des curons de jupons qui cherchais juste à séduire pour passer la nuit avec une femme. Même si je n’étais pas habituée au ‘langage familier’ je m’y ferais très vite. Je n’ai pas pu m’empêcher de rire à la fin de sa tirade, le ‘sans terreau’ était bien trouvé, surtout vue la situation ! Décidément mon infirmier du jour était un petit comique, j’allais bien m’amuser au final, et sans faire peur aux humains. Mais je n’allais pas lui simplifier la tâche en lui disant clairement ce que j’avais… Après tout, il fallait apprendre ! Je fis un petit sourire en coin, mon côté enquiquineuse ressortant légèrement.

- Je m’appelle Diana, enchantée, Marty. Honorée d’être la première ‘plante’ que tu croises. J’ai vingt ans et je suis une Dionée… Une plante carnivore, qui adore le soleil et ne supporte pas d’être trop arrosée. Mangeant normalement des insectes. J’ai des vertiges, la migraine et il semblerait que j’ai fait un petit malaise dans la salle d’attente. Oh et comme tu l’auras remarqué : je suis verte. Normalement, ma couleur de peau et la même que pour tout le monde. Sauf toi, je suis plus bronzée.

J’observais ma peau en soupirant. Je n’aimais pas tellement être verte comme sa. Normalement je ne l’étais que lorsque que je m’énervais, si j’effectuais une tâche qui me demandait trop d’énergie… Aujourd’hui le soleil et l’eau était mes bourreaux… Relevant la tête, je regardais un homme qui avait la tête qui dépassait du mur, semblant m’observer. Une infirmière l’appelais d’un ‘Docteur’ et il partit. Apparemment mon cas intéressait les hauts gradés… Je me demande si j’ai bien fait de venir finalement. Après tout je n’appartiens à aucun humain, je n’ai pas beaucoup d’argent et je n’aimerais pas me retrouver enfermé dans une cage. Même si pour moi je pense plus à une serre ou quelque chose qui s’en rapproche… Je n’avais pas spécialement envie d’avoir des ennuis, je voulais juste aller mieux, remercier celui qui m’a aidé, payer si il y avait besoin et rentrer dans ma grotte, en espérant que la pluie se serras arrêtée. Mettant mes mains sur mes jambes croisées, je souris doucement à mon infirmier du jour.

- Désolée pour toi que tu sois tombé sur moi. Tu aurais peut-être préférer avoir un cas plus simple, j’imagine. Mais je te rassure, je ne suis pas une plante difficile : pas besoin de terreau. Tant que tu ne m’asperge pas de pesticide ou de désherbant, je serais sage comme une image. Et si tu as d’autres questions, j’y répondrais, bien sûr.

Soupirant doucement, je me massais les tempes à cause d’une nouvelle vague de douleur dû à une migraine. Je vis ma peau commencer à dégorger l’eau qu’elle avait en trop et je m’excusais doucement avec un petit sourire. Ce ne m’arrive pas souvent ça, seulement lorsque je m’attarde trop dans la rivière ou quand je reste trop longtemps sous la pluie… J’espérais juste que l’eau n’allait pas tomber sur les draps, sinon ils allaient devoir les changer et je pense que les employés avaient autre chose à faire, comme s’occuper des patients par exemple. Mais bon, je n’avais pas besoin d’autant d’eau, alors mon corps la rejette comme il peut. Même si j’avoue que c’était assez… Gênant, on va dire. D’habitude je laisse faire mais là, je n’avais pas vraiment envie de tremper la pièce, alors je cherchais une serviette du regard. Sans vraiment de succès, apparemment. Ou alors elles devaient être rangés dans un tiroir, et comme je ne voulais pas fouiller, tant pis. La femme de ménage nettoiera… Même si elle se demandera surement d’où vient cette eau. J’observais Marty, souriant doucement.

- C’est donc vrai que vous ne croisez pas beaucoup d’hybride plante en ville ? En même temps, la plupart sont issus de plante plus fragile et ils n’ont pas vraiment envie de se faire piétiner ou capturer… Mais c’est la première fois que je rencontre une chauve-souris ! Tu voles, boit du sang, attaque les cheveux et te déplace avec des ondes ?

Mes questions pouvait lui paraitre stupide, mais j’avais beau avoir 20 ans, je n’avais pas toute les connaissances que j’aurais aimé avoir sur les autres hybrides. Rencontrer Marty m’aiderais peut-être à éclairer ma lanterne. Et puis, je répondrais bien assez vite à ses questions, s’il en avait. Pour une fois que je parlais à quelqu’un, je n’allais pas me priver. Il était la première personne à qui j’adressais vraiment la parole depuis le départ de ma petite sœur. J’espérais qu’elle allait bien…
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Anonymous





Invité
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Mer 3 Mai - 16:32

Evill
Rilès
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Diana & Marty
Batman avec une jolie plante.
« Batman et Ivy inséparable pour la vie et les conneries ?»Tu l'avais entendu rire et tu remarquais donc que tes petits commentaires et ton humour douteux passaient bien avec la jolie rouquine allongée sur ce lit d'hôpital. Dans le cas contraire, cela aurait été une consultation ou plutôt un examen beaucoup moins agréable et sympathique. Tu clignais des yeux avec un air un peu benêt tout en l'écoutant sagement. Tu haussais légèrement un sourcil en entendant son âge. Elle était plus jeune que toi ? Pourtant, elle n'avait pas vraiment l'air d'avoir cet âge, ce qui te surprenait. Au moment où elle te parlait de sa nature de plante, tu sortais ton portable afin de taper le nom et tu visualisais la plante en question. Encore une fois, tu relevais ton nez vers elle toujours aussi surpris. À la voir aussi… Plantureuse et sexy, c'était assez difficile de te dire qu'elle était une plante carnivore. Le genre de plante qui pour le coup aurait eu des mecs avides de charnels sans soucis. Heureusement pour elle et pour toi, tu n'étais pas de ce genre-là. La dernière fois que tu avais dragué remonté à jamais-vu ta timidité bien dissimulée. Tu hochais la tête à sa réflexion sur la couleur quelque peu surprenante de sa peau avant de te tourner en plissant les yeux. Il y avait encore des médecins curieux et sans sommation, tu leur fermais la porte au nez en soupirant. Tu avais le don de les trouver particulièrement chiants quand il s'agissait de cas qui ne leur revenait pas. Tu reportais ton attention sur elle non sans rire légèrement à sa remarque sur ta propre peau. Personne, pas même toi n'aurais pu nier que tu ressemblais plus à de la craie vivante qu'un humain ou un hybride quelque peu coloré.

« Honoré aussi, Diana. Alors, non, tu n'as pas à être désolé, j'adore avoir des « cas » comme les médecins appellent ceux dont ils ne sont pas foutu de s'occuper. Je dois avouer que ça me fait toujours autant marrer de voir qu'un hybride infirmier faire mieux qu'un humain avec des diplômes sous le bras. La blague quoi. M'enfin sincèrement si on était dans d'autres circonstances ce n'est pas du terreau que je voudrais t'apporter. Plus un truc du genre câlin, tu vois, un truc en toute finesse. Ouais parce que tu es franchement bien fichue, mais le Marty ce n'est pas vraiment le genre à vouloir s'accaparer du dernier wagon des jolies demoiselles qu'il croise, surtout sans le consentement mutuel enfin bref. »

Tu avais toujours le don de parler avec une très grande franchise même si pour le coup, ça n'apportait pas vraiment beaucoup de finesse dans tes paroles. Tu haussais les épaules après avoir fini de parler à Diana et tu restais attentif en réfléchissant à un moyen de lui redonner ses couleurs véritables et pas ce vert qui même en lui allant bien, ne la rendait pas plus jolie au contraire. Tu n'allais pas lui dire, car c'était clairement déplacé, mais c'était quand même moche du vert sur une fille aussi jolie. Fille qui d'ailleurs, semblait avoir elle aussi des questions pour toi. Tu souriais un peu plus en restant attentif, prenant alors bientôt une chaise pour t'asseoir non loin d'elle et la regardant dans les yeux. Tu la trouvais jolie, vraiment et elle avait tout pour elle. Pourtant, tu n'avais pas envie de tenter quoi que ce soit, mais de l'aider. Seule dans la ville, elle avait dû être perdue et ça te chagrinait pas mal de te dire qu'elle avait dû en chier pour venir surtout dans son état. Ton air inquiet avait été rapidement chassé par ses questions. Tu n'avais pas plus l'habitude de parler avec une hybride plante que d'avoir ce genre de question. La plupart du temps, tu entendais ces mots et ses questions sous forme de blague, là, elles avaient l'air sincère et intéressé. Alors, tu n'allais pas te priver d'y répondre toujours aussi calmement bien sûr. Malgré tout, avant de lui répondre, en remarquant que sa peau dégorgeait de l'eau comme une plante, naturellement, tu te levais pour ouvrir l'armoire et en sortir une grande serviette. Tu aurais pu littéralement lui jeter à la tête ou lui tendre, mais jugeant que de toute façon, ce ne serait pas la première fois que tu « touchais » une femme, tu allais l'éponger.

Tu approchais alors calmement non sans souffler un grand coup pour te donner un peu de courage et tu te lançais. Tu relevais alors le drap qu'elle portait sur elle et tu apposais la serviette que tu avais légèrement pliée en boule sur ses bras, son cou puis tu descendais sur son buste, son ventre, ses jambes avant de cligner des yeux. Tu en avais fait des choses étranges et gênantes dans ton boulot, mais pour le coup, c'était vraiment la première fois que tes joues avaient le feu et que tu te sentais embarrassé. Tu reculais en remettant le drap, sans rien dire, posant la serviette sur la petite table. Tu t'asseyais ensuite en gardant la tête légèrement baissée pour reprendre tes esprits et ne pas faire de bêtises. Tu souriais à la demoiselle avant de réfléchir encore au moyen de l'aider. Une plante avait besoin de nourriture, mais aussi de lumière. Voilà ! Tu allais lui trouver un maximum de lumière afin qu'elle aille mieux. Tu te levais d'un coup avant de te stopper après quelques pas. Pour avoir ces fichues lampes, tu allais devoir faire venir quelqu'un et ne pas aller les chercher toi-même. Tu devais veiller sur elle, sur Diana. Alors, tu reprenais ta place et tu te décidais à parler non sans appuyer sur le bouton d'appel des infirmières pour que justement l'une d'elles se ramène.

« Oui, c'est vrai, on n'en croise très rarement, pour te dire, moi, tu es la première que je vois. Et pourtant, je bosse ici depuis quelque année déjà. Alors, sur tes questions, tu avais posé, tu as raison trois fois sur quatre en vrai. Je bois du sang, exclusivement de rongeur ou de petits mammifères, je vole en chauve-souris et je me déplace aux ondes la nuit. Sans être miraud comme une taupe, la nuit, je n'ai pas toujours les yeux en face des trous, ça aide. Je peux aussi les utiliser la journée en sifflotant. Marty le GPS qu'on m'appelle des fois. Bon, je vais faire venir quelqu'un pour que je puisse demander des lampes. Tu es une plante, alors une bonne dose de lumière devrait déjà te redonner un peu de force, reste plus qu'à savoir ce que tu manges ma belle Diana et je pense que tu vas vite reprendre des forces. »
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Invité
Invité
Ven 5 Mai - 15:02
Batman et Ivy ~
Je ne pouvais pas m’empêcher de sourire, me retenant difficilement de rire à ses paroles. C’était bien la première fois qu’un homme me parlait comme il le faisait, même si je ne savais pas trop ce qu’était le ‘’dernier wagon des jolies demoiselles’’… Un wagon, ce n’était pas ce qui était raccroché aux trains, normalement ? Quel était le rapport avec une femme… ? Je ne comprenais pas trop mais soit, Marty n’était apparemment pas le genre d’homme à ‘sauter sur tout ce qui bouge’ et c’était un bon point pour lui ! Car les mecs comme sa se balade par dizaine, voir beaucoup plus, en ville. J’avais bien remarqué son petit air étonné lorsque je lui ai dit mon âge… Je fais si vieille que ça ? En même temps, les plantes grandissent assez vite, je suppose que c’est normal… Enfin, je ne vais pas m’en formaliser ! Mais s’il voulait un câlin moi je lui en fais un, il n’y a pas de problèmes avec ça, je ne suis pas hyper farouche quand même… J’ai mon petit caractère c’est tout. Comme tout le monde je suppose. Pendant quelques instant il avait eu l’air inquiet, je me demande bien pourquoi… Pas pour moi, j’espère ! Car juste un peu de lumière et ‘pouf’ je vais mieux ! Alors il ne faut pas se faire de mauvais sang pour moi, voyons, même si son métier est infirmier… D’ailleurs ça ne doit pas être facile tous les jours, le pauvre. Sauf s’il croisait de temps à autre des cas comme moi, qui le sortait de l’ordinaire. Je pouffais doucement de rire en me souvenant de la tête qu’il a fait après avoir regardé son portable. Apparemment je ne ressemblais pas du tout à une dionée… Tant mieux, j’aimais surprendre les gens !


Je vois qu’il prend une serviette et hésite un peu sur ce qu’il doit faire. Oui, bon, j’avoue que ce n’est pas tous les jours que tu vois une femme se vider de son eau… Ouh, dit comme ça, ça fait un peu pervers… Bah, ce n’est pas comme si Marty pouvais lire dans mes pensées ! Et de toute façon, vue la rougeur de son visage, il n’est pas vraiment en état de pensé à des choses coquines. Je ris discrètement, et j’allais lui dire que je pouvais le faire lorsqu’il commence à m’essuyer lui-même. Je le laisse faire, le voyant tout gêné de faire ça. Il est mignon, avec son visage rouge, le Marty ! Ca ne doit pas être souvent qu’il y a autant de couleur sur sa peau, mais ça lui allait bien. J’ai un petit sourire amusé, lorsqu’il remet le drap. C’est qu’il a l’air presque soulager d’avoir fini, le bougre ! Je penche un peu  la tête, s’il me trouvait jolie, il n’avait pas à être si gêner, si ? Surtout que j’avais des feuilles pour me cacher un minimum, il ne fallait pas être si timide mon petit ! Enfin, petit… Je ne savais toujours pas son âge, mais bon, j’allais souvent l’appelé comme sa je pense. Je le regarde, prêt à partit pour au final revenir et appuyer sur un bouton à côté de mon lit. J’attrape le bouton et m’amuse avec tout en l’écoutant parler. Donc j’avais raison… Très peu d’hybrides plante venait dans le coin. En soi c’était dommage, certains avais un physique qui aurait pu inquiéter les humains, de quoi leur faire un peu peur et bien rigoler. Mais bon, je suppose que comme on était plus rare, on valait plus cher donc on était plus recherché… Je n’en savais rien, et j’avoue que je n’avais pas vraiment envie de savoir, j’étais déjà bien assez parano comme ça, à surveiller sans cesse près de là où j’habitais.


Oh, alors j’avais raison pour le sang ? En plus lui aussi ‘mangeais’ des rongeurs, on avait un point commun ! En même temps je me contentais de sa car je n’avais pas la force de chasser des cerfs ou des sangliers… Un loup pouvait peut-être le faire, mais pas une plante, j’avais déjà essayé en posant des pièges de lianes. Sans succès, à mon plus grand dam. Oh, les ondes par contre c’est classe ! Je me demande si ça fait comme les dauphins…  En mode : il faut faire du bruit pour que ça marche ? J’avais bien envie de lui poser la question, mais je ne voulais pas paraître trop curieuse. Il allait peut-être me prendre pour une folle après, à poser des tas et des tas de questions. Me retenir demandais beaucoup d’efforts. J’étais d’un naturel spontané et franc, et je ne voulais pas faire peur à cette chauve-souris qu’était Marty. Peut-être qu’il allait être mon premier ami en dehors de ma forêt… En tout cas il m’avait l’air sympathique. Et puis j’aimais bien son humour ! Je relève vivement la tête en l’entendant dire qu’il pouvait voler. Je le regardais, le regard étonné. Ça c’était la classe incarnée !

- Attends, tu peux vraiment voler ? Mais c’est trop cool sa ! Et tu peux voler haut ? Combien de temps ? Je suis trop jalouse ! Moi aussi j’aimerais pouvoir voler, en plus pour s’échapper des humains ça doit être trop efficace… La chance… 

Je soupirais doucement avant de me rendre compte que j’avais encore parlé avant de réfléchir… Je me raclais doucement la gorge, un peu gênée de m’être emportée devant une chose que je trouvais cool, comme à mon habitude. Je m’excusais doucement en jouant un peu avec mes cheveux. Je retirais le drap du lit pour m’asseoir au bord de celui-ci. J’avais des fourmis dans les jambes donc je les agitais un peu pour les faire partir. Je m’étirais, souriant lorsque j’entends mon do craquer un peu. Mine de rien, me reposer sur un vrai matelas, ça faisait du bien. Je fis un sourire radieux à mon infirmier, remettant en place les feuilles de ma ‘tenue’. Marty : infirmier GPS, sa pourrais faire un bon slogan ! Riant doucement, amusée par ma propre bêtise. Je le regarde avec un air doux, amusée aussi par le petit compliment glissé dans la phrase.

- Ce que je mange ? Eh bien je suis censé être une plante insectivore,  mais je t’avoue que les mouches et les fourmis, ce n’est pas mon truc. Je suis plus viande rouge ou volaille… Dans la forêt, je capture surtout des lapins. Et puis je mange des fruits aussi, sauf certains agrumes. Sa me file des aphtes… Et puis tu sais, moi aussi j’ai des aptitud…

J’arrête de parler lorsqu’une infirmière entre dans la pièce, râlant après Marty de l’avoir appelée. Je ne comprends pas pourquoi elle râle, c’est son travail non ? Les humains ne sont jamais contents de ce qu’ils ont… Rien que pour ça, je suis contente de ne pas appartenir à l’un d’eux ! Même s’il y avait des avantages : un toit, un lit, de la nourriture etc… Je ne voulais pas appartenir à quelqu’un de haineux… Encore pire : qui déteste les plantes ! Je croisais les jambes en restant assise au bord du lit, les laissant parler à deux. J’aperçus du coin de l’œil une plante assez mal en point dans un coin de la pièce. Je me levais doucement et m’en approchais doucement. Je n’en avais rien à faire que l’infirmière puisse voir ce que je faisais, de toute façon elle était occupée avec Marty. La pauvre plante était comme moi, en manque de soleil… Je pinçais doucement mon bras au-dessus d’elle, faisant couler de l’eau et caressa doucement une de ses feuilles. Si elle était en assez bon état, dans quelques jours elle irait mieux. J’avais une sorte de don, j’avais la main verte, original pour une plante, non ? Je tournais mon regard vers Marty, attendant de voir s’il en avait terminé avec la femme.
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Sam 6 Mai - 16:29

Evill
Rilès
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Diana & Marty
Batman avec une jolie plante.
« Batman et Ivy inséparable pour la vie et les conneries ?»Tu rigolais encore en entendant qu'elle te jalousait de savoir voler. Si elle savait à quel point, tu galérais la plupart du temps pour ne pas finir la tête dans un mur ou accroché à un arbre comme un crétin par une de tes ailes. Tu riais autant de savoir qu'elle devait être tranquille sans avoir besoin de voler que du fait que toi-même, tu te trouvais ridicule en plein ciel à aller de droite à gauche pour maintenir ta direction. Tu gardais un bon moment ton sourire, même après avoir appliqué timidement la serviette sur les formes de cette femme. Le genre de choses que tu ne faisais pas tous les jours, voire jamais en fait. Elle avait l'air de bien s'amuser avec le bouton, mais tu savais que la voir faire t'amusais beaucoup, même si l'infirmière allait sans doute te tuer sur place de l'avoir laissé faire. Tu haussais les épaules en l'écoutant toujours, assis sur la chaise à côté de son lit tout en la regardant. Elle avait l'air d'être du genre à rayonner chaque jour, à profiter de sa vie et à vouloir sourire à cette dernière. Cela te plaisait bien de trouver quelqu'un qui comme toi partageait cette envie de le faire, de profiter, de vivre. Avec ton petit sourire en coin, tu remarquais un peu sa gêne de parler autant même si toi ça ne te dérangeait pas spécialement. Tu étais toi-même une vraie pipelette capable de parler pendant des heures et des heures sans jamais manquer de sujet de conversation. Sans doute là une des raisons pour lesquelles tu avais les cas spéciaux, les enfants et parfois les personnes âgées. Rien de mieux que quelqu'un de très bavard pour apprendre ce qu'avaient les gens et aussi leur identité.

Tu la voyais s'approcher du bord du lit pour secouer ses jolies gambettes avant de faire craquer son dos dans un son sec. Tu bâillais t'interrompant vite en l'entendant, quelque peu surpris. Comment une fille aussi sexy et drôle pouvait faire un son aussi cadavérique, on aurait dit son de squelette, tu disais-tu. Tu secouais la tête alors qu'elle te parlait encore et aussi sagement qu'avant, tu l'écoutais, le menton posé dans ta main, un petit sourire aux lèvres. Tu apprenais encore plus sur elle, aussi bien pour ce qui était de son alimentation allant des insectes, ce qui ne t'étonnait pas aux animaux, ce qui te surprenait. Tu imaginais difficilement la jolie et sympathique Diana, manger un bœuf ou un chevreuil à elle seule, du sang plein la bouche. Non pas que cela t'était inconcevable, mais ça te laissait un peu perplexe. Elle n'était peut-être pas aussi douce et adorable que tu le pensais où elle était juste normale ? Après tout, toi-même, tu mangeais du steak et autres viandes. Un buveur de sang vegan, ça ne courait pas les rues et ce n'était pas viable de toute façon. Tu l'entends soudainement s'arrêter dans son élan et tu te tournes en haussant un sourcil avant d'écarquiller les yeux. L'infirmière était là et elle était tout sauf de bonne humeur ce qui signifiait que cela allait être ta fête et pas qu'un peu. Elle te tire alors par le col de ta blouse en te rapprochant d'elle avait de te faire la morale comme quoi elle n'était pas ton assistante ni ta boniche et tout ce qui s'en suivait. Ty la repousse et tu rouspètes.

« Que tu n'apprécies pas les hybrides, c'est ton problème, mais la demoiselle a besoin de lumière et de nourrir alors si tu veux que je dise au médecin qu'encore une fois, tu t'en fiches et qu'il te foute encore une sanction ramène moi ces fichues lampes et remballe ta morale à deux balles. Tu ne vaux pas plus que moi, alors, ne prends pas des grands airs. »

Tu n'avais pas été tendre avec elle, mais ce n'était qu'un revers des mots qu'elle t'avait adressée. Alors, qu'elle partait chercher les lampes, tu t'approchais de Diana en remarquant qu'elle avait réussi à redonner un peu de tonus à la plante devant elle. Tu clignais un peu des yeux en approchant ton visage de la plante avant de relever ton visage, très proche de la poitrine de la demoiselle. Foncièrement, tu aurais dû être embarrassé d'une telle situation, mais en un sens, tu t'en fichais pas mal. Tu entendais l'infirmière revenir en posant pas mal de lampe à LED et autre avant de repartir en tapant des pieds. Tu soupirais un peu avant de venir enlacer par surprise Diana, en restant face à elle, entre elle et la petite plante qui avait repris du pep's. Tu posais tes yeux dans les siens en souriant puis tu penchais la tête pendant un petit laps de temps. Tu la trouvais vraiment jolie et si naturelle alors qu'elle était tout de même une plante sur pattes. Une plante très sensuelle et avec des formes généreuses, mais plante quand même. Tu gardais tes bras autour de la demoiselle avant de finir par te décider à l'ouvrir afin d'éviter sur la situation soit encore gênante ou perturbante qu'elle, en plus de cette proximité d'un coup beaucoup plus claire. Tu posais ton visage contre son buste et tu parlais donc sans aucune gêne ni souci pour t'adresser à elle, correctement.

« Je ne sais pas du tout comment tu as fait, mais c'est magique. Tu n'as pas à me jalouser, je me prends plus d'arbres et de mur par soirée que je ne vole dans les airs des heures en vrai. Voler, c'est cool, mais seulement quand ton corps le veut aussi. Je te propose de retourner t'allonger que je mette les lampes en place et que je t'apporte de quoi te nourrir, comme ça d'ici peu, tu pourras sortir d'ici. Même si j'avoue, j'aimerais bien que tu restes un peu Diana. Je dois avouer que ça ne m'arrive pas souvent de m'attacher rapidement à quelqu'un, mais je ne sais pas, il y a quelque chose chez toi que j'adore. Je ne sais pas si c'est le fait que tu es rigolote ou ta gentillesse, mais je n‘aime bien Diana, du coup un gros câlin.»


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Lun 8 Mai - 17:50
Batman et Ivy ~
J’étais assez impressionnée par la façon dont Marty avait parlé à cette infirmière… Mine de rien, il ne fallait pas le faire chier, apparemment ! Je souriais en coin, sur ce point-là on se ressemblait. Surtout qu’il avait brillamment utilisé les mots pour ce faire comprendre, et pour cela, je le respectais. J’ai toujours préférée la piqure des mots bien utilisé que la violence pure et dure. Après, je sais que selon la situation, on n’avait pas vraiment d’autre choix que de se défendre. Même si je préfère courir, quoi que… Cela me coutais pas mal d’énergie… Bref, on verra bien le jour venu ! D’ici là, je vis au jour le jour et puis c’est tout ! Marty avait l’air assez étonné de mon régime alimentaire, c’est vrai qu’à me voir, on m’imagine difficilement courir après un lapin pour le cuire et le manger… Mais vue ma corpulence, 2 mouches par mois n’allais jamais être suffisant pour me tenir en vie, alors mon espèce c’était adaptée pour sa survie. Comme la plupart des hybrides sauvage, en fait.  Je souris doucement à Marty lorsqu’il s’approche de moi, les yeux clignotant, ce qui me fait doucement rire. Il était adorable cet homme chauve-souris ! Je me demandais comment il avait atterris ici, à être infirmier, à travailler avec des gens comme cette femme : exécrable, irrespectueuse… Je ne dis rien lorsque son visage est près de ma poitrine. Je ne pense pas qu’il soit particulièrement pervers, sinon il aurait surement rougis  ou encore il n’aurait pas fixé mes yeux, comme il était en train de le faire. Gardant mon petit sourire, je n’avais même pas remarqué le passage éclair de la femme au caractère plus que bien trempé avant d’entendre ses pas lourds lorsqu’elle est sortie de la pièce.

Si le câlin de Marty me surprend, ce n’est pas pour autant que je ne lui rends pas. J’étais très friande des câlins, même si mon physique laissais souvent penser aux gens que je recherchais plus que de ‘simple câlins inoffensif’. Mais comme le dit le dicton ‘l’habit ne fait pas le moine’ ! Serrant doucement Marty contre moi, je lui souris avec franchise, riant lorsqu’il m’avoue se prendre des arbres plutôt que de voler tout droit. J’espère qu’au moins, ça ne lui fait pas trop mal, le pauvre. Ce prendre un arbre en plein vol ne doit pas être agréable du tout… Assez drôle à voir, peut-être, mais pas vraiment agréable pour lui. Je hoche doucement la tête lorsqu’il me propose de retourner sur le lit, et les paroles qui suivent me touchent. Je souris encore plus, c’était gentil de sa part de dire tout ça de moi sans vraiment me connaître… Après tout je ne me trouvais pas si drôle ou gentille que sa… Même si je n’avais pas énormément de ‘modèles’ avec qui me comparer, appart les quelques hybrides sauvage dans la forêt, mais je ne les connaissais pas plus que ça. J’étais… Juste moi, autant avec Marty qu’avec les gens que je croisais. Même si j’avoue que Marty était assez sympathique pour que j’aie envie d’être toute mignonne avec lui : de lui faire des câlins, des petits bisous sur la joue, de me laisser éponger… Bref, de ne pas faire ma Diana caractérielle ! Je lui fais un rapide bisou sur la joue avant de retourner m’allonger sur le lit, mais sur le ventre cette fois. J’étais beaucoup mieux comme ça que sur le dos, ne me demandez pas pourquoi, j’ai toujours été ainsi… Comment sa je suis bizarre ? Vous vous attendiez vraiment à ce qu’une hybride plante sois ‘normale’ ? D’ailleurs, quelle est votre notion de ‘normalité’ quand vous vivez dans une ville pleine d’hybrides, hm ? Bref, je laisse Marty installer les lampes, l’observant tout en lui faisant la conversation.

- Tu sais, je t’apprécie aussi… Si tu veux, je peux faire la malade encore un moment pour rester un peu avec toi, ça ne me dérange absolument pas. En plus il fait plus chaud ici que dehors, c’est le grand déluge. La rivière près de ma grotte est même sortie de son lit… Et tu sais, je ne suis pas spécialement drôle, enfin je trouve. Je préfère largement ton humour, il est marrant ! Il est très… A ton image, je trouve…

Je cligne un peu des yeux lorsque les lampes s’allument, n’ayant plus vraiment l’habitude d’autant de luminosité. Je soupire doucement, ce n’était pas des lampes UV, mais elles réchauffaient quand même doucement ma peau, ce qui, mine de rien,  me faisait un bien fou. Il faudrait un petit moment pour que ma peau retrouve sa couleur d’origine, mais ça ne me dérangeais pas plus que ça. Avec un peu de chance, Marty n’aurais pas d’autres ‘cas’ et resterais un peu plus longtemps pour discuter avec moi. J’avais quelques questions qui me brûlaient les lèvres… Je remuais doucement les jambes, un peu comme les enfants lorsqu’ils sont sur le ventre. Je souris doucement en pensant au surnom que je venais de trouver à mon Batman personnel.

- Dit-moi, Marty-chou, tu travail ici depuis combien de temps ? J’avoue que je suis assez impressionnée qu’un hybride ai un métier aussi important qu’infirmier. Je ne me doutais pas que les humains avaient évolué là-dessus. Je me souviens que mes parents n’avaient même pas réussis à trouver un travail en tant que couturière ou jardinier… Ou alors tu es juste très doué dans ce domaine ? Désolée pour ma curiosité mal placée, mais… Je suis assez ‘femme des cavernes’, je ne viens en ville que très rarement, alors c’est bien la première fois que je vois les humains agir comme sa avec nous, les hybrides…
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Jeu 11 Mai - 0:01

Wake Me Up
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Diana & Marty
Batman avec une jolie plante.
« Batman et Ivy inséparable pour la vie et les conneries ?»Tu avais vraiment apprécié de voir qu'au lieu de te repousser ou de montrer son mécontentement, elle avait préféré t'enlacer en retour. Son petit sourire, ses jolies boucles rousses et cette gentillesse qui émanait d'elle avaient le don d'arranger ta journée. Après tout, le début de cette dernière n'avait été qu'un long couloir ennuyeux et fatiguant qui, même en arrivant à l'hôpital n'avait pas été mieux, enfin jusqu'à rencontrer Diana. Tu la regardais donc se reculer ensuite pour retourner sagement sur le lit non sans embrasser ta joue dans un petit sourire encore une fois. Tu posais alors tes doigts à l'endroit où elle avait déposé son baiser et tu marquais un temps avant de secouer la tête pour t'activer. Tu essayais comme tu pouvais de cacher ta gêne, car tu n'avais jamais reçu ce genre de récompense pu de merci. Toi les femmes, tu les soignais, tu leur apportais ton aide ou ton attention, tu recevais rarement ce genre de douceur. En sortant de ton petit bug, tu attrapais les lampes pour les installais non sans sentir ton regard se perdre sur Diana. Même si tu n'étais pas du genre à reluquer longuement les formes d'une femme, pour le coup, tu avais les yeux vissés sur son fessier alors que tu faisais tomber une lampe. Tu secouais encore la tête en rouspétant, tout en la ramassant pour la reposer correctement, puis tu entreprenais de les brancher sous le lit sans finir comme ficeler dans les fils. Tu espères qu'elle n'a pas remarqué ton regard quelque peu insistant sur son postérieur et en plissant les yeux, tu allumes le tout.

Tu la voyais cligner des yeux non sans avoir entendu ses parents auparavant. Tu lui faisais un grand sourire en étant plutôt touché de ses paroles. Tu avais le mérite de faire bien ton travail, ce qui t'attirait de bonnes remarques de tes patients, même si pour les médecins, tu n'étais que de la main d'œuvre. Jeune et hybride, voilà ce qui te faisait avoir leur manque de respect, rien de plus. Tu ne pouvais pas nier qu'il faisait meilleur dans la pièce, elle avait raison. Tu te permettais alors, en voyant que personne ne rôdait dans le coin, de monter d'un degré ou deux la température de la pièce. Non pas pour qu'elle s'effeuille sensuellement devant toi, mais histoire qu'elle n'ait pas froid. Tes yeux se posaient sur elle puis sur la fenêtre en constatant qu'effectivement dehors, c'était une pluie de plus en plus intense qui s'écoulait sur les vitres et les toitures. Tu ne relevais pas sa remarque sur ton humour qui, selon elle te correspondait bien. À vrai dire, elle ne connaissait que le bon côté de cette facette de ta personnalité, car tu étais du genre à sortir des choses beaucoup moins douces et plus piquantes quand on te manquait de respect. Tu n'étais peut-être pas bien impressionnant, mais la dernière personne qui avait réussi à te faire déchanter par des mots, devait sécher dans une cave à l'heure qu'il est. Tu quittais du regard la vitre trempée par l'averse à l'extérieur et naturellement, tu venais t'asseoir sur le coin du lit disponible en la fixant toujours. Elle avait encore pas mal de questions en tête, on dirait et tu allais y répondre. Tu avais le temps et l'envie de le faire alors bon.

« Merci pour le compliment sur mon humour enfin si s'en est un, Diana d'amour. Je travaille dans cet hôpital depuis plus de trois ans déjà. Alors, en fait, j'ai suivi pas mal de cours sur la médecine, mais comme j'étais un hybride, on ne m'a pas ouvert les portes des grandes écoles. Je suis arrivé avec mon CV sous le bras et un bon paquet de courage et j'ai eu une mise à l'essai puis ils m'ont embauché. C'est une des raisons qui poussent tous ces crétins de médecine à me manquer de respect : ça les agace de voir qu'un hybride puis aussi bien bosser qu'eux avec deux fois moins de diplômes. Je peux te le dire franchement, je touche ma bille en médecine. Je connais par cœur énormément de trucs comme j'ai une mémoire photographique et mnémotechnique assez poussée.  Je ne sais pas conduire, ni changer une roue de voiture. Je ne sais pas nager et j'ai peur du vide, par contre je sais faire la différence entre un rhume et un truc bien plus grave. Je sais opérer aussi, même si on ne me laisse pas faire, tant pis pour eux hein. Puis, je triche un peu, comme je sens facilement l'odeur du sang, je sais ou pas si une hémorragie survient dans une opération, mais je crois qu'ils s'en fichent eux de ça. »

Tu voulais te relever en t'appuyant sur le lit, sauf que ce fut le joli fessier de mademoiselle la sublime Dionée qui te servait de support. Quand l'information arrivait à ton cerveau, au lieu de retirer ta main, tu palpais en clignant des yeux avant de te reculer en retombant sur la chaise. Cette dernière basculait en arrière, te faisant terminer sur le dos, sur le carrelage, les quatre fers en l'air. Tu lâchais un petit gémissement de douleur, ta jambe pendant un peu sur le fauteuil maintenant couché sur le sol comme toi. Tu essayais de te relever, mais retombais aussitôt en soupirant. Ta maladresse avait eu raison de toi encore une fois et non sans avoir mal comme jamais, tu avais l'air fin. Tu espérais du fond du cœur que Diana ne passe pas du vert au rouge en s'emportant, car aussi sympa qu'elle soit la patience avait ses limites. Tu soupirais en restant à ta place, sur le sol, en fixant le plafond. En un sens, il y avait pire comme mort après avoir touché une charmante paire de fesses, mais tu n'étais pas sûre de légitimité de tout ça. Tu tentais alors de prendre la température de la situation en restant comme un crétin allongé.

« Diana… ? Est-ce que la Diana d'amour va vouloir ma mort sur dix générations, car je me suis appuyé sur son fessier ou je vais rester en vie ? Pas que je veuille mourir aussi jeune, ni que c'était désagréable, mais pour ma défense, je voulais prendre appui sur le lit… Pas sur toi. Héhé… C'est gênant punaise. Si tu me cherches, bah, je suis toujours à terre et si tu as des questions…Ne m'assassine pas et pose les please. »

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Dim 14 Mai - 20:50
Batman et Ivy ~
J’écoutais attentivement les réponses de Marty, tout de même impressionnée. C’était en quelques sorte un surdoué dans la médecine alors ? C’était dommage qu’aucune école n’avais voulue de lui, elles ne savaient pas ce qu’elles perdaient ! Mais bon, au moins il avait eu un boulot, c’était déjà ça de pris pour lui, non ? Enfin, j’en savais rien, puisque personnellement, je n’approchais pas trop les humains, donc leur demander du boulot encore moins. Je souriais doucement à Marty qui c’était mis au bord du lit. J’avais fait comme si je n’avais pas vue son regard sur moi, car de toute façon, des yeux servaient à regarder. Et puis on va dire que j’ai, en quelques sortes, l’habitude. Il faut dire que les humains sont beaucoup moins discrets que l’était Marty. A base de sifflement, de demandes pas très poétiques et d’essais de claques sur les fesses. Oui, essaies, car généralement, un regard méchant et une claque bien sifflante dans leur visage suffisais largement à les remettre dans le droit chemins. Après tout, quand j’allais en ville, en temps normal, je m’habillais un minimum, même si quelques feuilles trainaient encore dans mes cheveux, ma couleur de peau étant très proches de la leur, je passais juste pour une humaine ‘bien roulée’. Pour l’instant, aucun humain n’avait compris que j’étais une hybride en me voyant comme ça, en coup de vent. Par contre je tiquais un peu lorsque Marty avoua qu’il avait peur du vide. C’était un peu ironique, pour une chauve-souris, non ? Ca ne devait pas être évident tous les jours pour lui…


Observant ma peau redevenir normale peu à peu, je reviens dans la réalité lorsque je sens une main sur mon arrière-train. Je fronce les sourcils avant de voir un Marty se retrouver les quatre fers en l’air et d’après ce que je vois, c’est à cause d’une chaise. Je ne peux pas retenir l’éclat de rire que j’ai, à voir ce pauvre infirmier par terre. Il n’a sûrement pas fait exprès de toucher mes fesses, mais la scène qu’il m’offre en valais largement la peine. Je rigole encore plus à ses paroles. Anw, ma pauvre chauve-souris, tu n’as rien à craindre, je ne suis pas cannibale, je ne vais pas te manger. Bon, je rigole à tes dépends, mais c’est ta faute, à tomber une nouvelle fois dans un essai de te relever. Riant encore un peu, je saute du lit dans lequel j’étais pour tendre la main à Marty, secouant doucement la tête, j’étais bien trop gentille avec les hybrides pour avoir envie de le taper. Même si avec les humains j’étais beaucoup moins patiente. Je détestais la violence gratuite, mais on va dire que certaines baffes se perdaient sur le visage de certains hommes. Aidant Marty à ce relever, je lui fis quelques ‘patpat’ sur la tête en faisant un sourire en coin.

Allons, Marty… Je ne vais pas te taper pour ça, je n’aime pas spécialement être violente. Tant que tu ne l’as pas fait exprès, je ne t’en veux pas. Mais ne laisse pas trainer tes mains n’importe où, mon chou.

Je n’ai pas pu m’empêcher de lui faire un petit clin d’œil malicieux. Pour quelqu’un qui disais ne pas sauter sur tout ce qui bougeais, le voilà avec une main  sur mon  arrière-train. Si j’avais sue qu’en venant dans cet hôpital je me retrouverais avec une main de chauve-souris sur les fesses, je serais peut-être venue plus tôt… Et puis au moins, j’ai appris que j’avais une paire de fesses ‘agréable’ à toucher. Me tournant légèrement pour les regarder, je ne leur trouvais pas spécialement de charmes… Bon après c’était mes fesses, alors je ne vais pas être attirée par moi-même. Je tournais un peu autour de Marty, avec un air taquin. Si lui m’avais touché, il devait bien me rendre la pareil non ? Je lui mis une petite tape sur les fesses, retournant m’asseoir sur le lit en riant. Voilà, comme ça, lui et moi on était quitte ! Agitant doucement les jambes, je regardais la tête de Marty quelques secondes avant de remarquer que ma peau avait quasiment retrouvé toute sa couleur normale. Je souriais, me préférant largement avec cette couleur-là ! Et apparemment je n’étais pas la seule, à entendre un infirmier qui a passé sa tête dans l’entrebâillement de la porte avant de repartir aussi tôt. Je fais un grand sourire à Marty, après tout je devais le remercier.

Au fait, merci Marty-chou ! Grace à toi je ne ressemble plus à une femme atteinte d’une maladie rare et incurable. On me regardera un peu moins comme une bête de foire ! Si jamais tu te balade dans les bois et que tu trouves une grotte avec des fleurs, plantes et fruits, c’est chez moi. Et même la nuit, tu peux passer, ça ne me dérange pas.

Oui, c’était une invitation à venir me rendre visite. Je lui offrirais même le repas, si le lapin cuit au feu sauvage ne le dérangeait pas. Marty était le premier hybride que j’invitais comme sa chez moi. Mais bon, je l’aimais bien et apparemment c’était réciproque ! Alors bon, ça ne me dérangeais pas s’il venait me voir de temps à autre, au contraire… Sa me ferais de la compagnie et puis je verrais comment se comporte une chauve-souris hybride dans la nature, j’en avais encore jamais vue ! Après, libre à lui de refuser l’invitation, je ne l’oblige à rien. Quoi que l’attacher et l’emmener de force pouvais être marrant aussi. Un peu sadique et psychopathe mais marrant ! Je rigolais toute seule dans mon coin, attendant patiemment la réponse de monsieur quatre fers en l’air.
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Lun 15 Mai - 14:57

Feel So Good
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Diana & Marty
Batman avec une jolie plante.
« Batman et Ivy inséparable pour la vie et les conneries ?»Encore avachi sur la chaise qui se trouvait autant que toi sur le sol, tu fixais donc ce beau plafond blanc dont un des néons commençait à montrer des signes de faiblesses avérées. Au moins, il n'y avait pas que toi qui avais des moments de faiblesse dans l'hôpital, lui aussi. D'ailleurs, tu commençais à avoir faim mine de rien avec toute cette agitation, même si tu ne comptais pas virer Diana de l'hôpital comme un malpropre. Elle était vraiment gentille avec toi et tu avais envie de passer du temps avec elle riant et en la taquinant. Même si tu te trouvais bien moche comme un pou en comparaison de son charme personnel. Tu m'entendais rire aussi bien de la situation passée que de toi et c'était totalement normal. Il y avait de quoi s'amuser d'une pareille réaction. Personne, sauf, toi ne finissais les quatre fers en l'air après avoir touché un joli fessier. Alors que le rire de ta charmante amie de la nature cessait, tu l'entendais avant de la voir venir t'aider. Elle te tendait la main, et même si tu avais encore un peu honte de ton geste passé, tu acceptais son aide avec un sourire. Tu la sentais tapoter ton crâne lentement avant de te parler avec charme et gentillesse. Tu ouvrais un peu les yeux à son mon chou et piquais un fard sans rien dire. Elle avait le don de te faire quelque peu rougir la jolie Diana. Ce petit côté sexy sans forcément que ce soit poussé, ça te déstabilisait pas mal en fait.

« Non… Non, je ne l'ai pas fait exprès ! Je le jure Diana ! Je ferais attention la prochaine fois… N'empêche, tu as des… Comment dire… De jolies fesses galbées. »

Tu détournais les yeux après ton aveu avant de remarquer qu'elle essayait de se regarder les fesses ? Tu ne comprenais pas trop pourquoi, mais en voyant sa bouille, tu savais qu'elle allait encore te taquiner avec grand plaisir. Tu avais été prêt a pas mal de choses, sauf au fait que la sublime Dionée te mette très clairement une main sur ton propre fessier. Tu sursautais un peu à son geste en ouvrant les yeux avant de la scruter un peu perplexe. Tu te demandais si c'était pour rire ou justement pour te montrer ce que ça faisait. Le sifflement d'un de tes collègues ainsi que le fait qu'elle soit redevenue disons moins verte te rassurais sur l'efficacité de ton idée. Même si tu restais un peu abasourdi par l'action de mademoiselle Diana. Tu ne bougeais pas trop en ne sachant pas trop quoi pensent de son geste même si tu l'écoutais quand elle te parlait à nouveau avec attention. Tu souriais de plus en plus à chacun de ses mots avant de cligner des yeux en te rendant compte qu'elle venait littéralement de te proposer de venir chez elle. Tu ne rêvais pas, c'était une invitation en bonne et dues formes. Tu te frottais la nuque en étant un peu gêné, même si tu n'avais aucune raison de fuir ou de refuser. Tu remarquais enfin qu'elle avait repris sa place sur le lit et tu prenais donc toi l'initiative de relever la chaise avant de te rapprocher d'elle légèrement. Tu réfléchissais à quand tu pouvais lui rendre visite et surtout à quel moment de la journée. Vu tes heures de travail et ton emploi du temps, tu n'allais pas pouvoir prendre des asses de congés. Alors, tu allais lui proposer la nuit sans hésitation. Au moins, tu serais en pleine possession de tes moyens et tu n'aurais pas le cadre de l'hôpital pour t'empêcher de dire certaines choses.

« Je t'en prie Diana, ça me fait plaisir de pouvoir t'aider à retrouver disons des couleurs plus discrètes pour sortir ou te balader. Bah, vu que je suis comme Batman, je viendrais te voir la nuit. Puis comme ça, tu auras l'occasion de voir ce que je donne en chauve-souris et tu pourras me montrer tes talents de jolie plante ? Je me demande vraiment de quoi tu es capable en fait. Genre si tu peux faire sortir des genres de grosses ronces du sol ou des racines ou encore faire pousser des plantes. Hey, je suis sûr, tu as la main verte. Héhé… Désolé, je suis un peu crétin des fois. Bon… Je ne pense pas que te retenir inutilement alors que tu sembles aller beaucoup mieux ça soit utile, mais tien, je ne sais pas trop si tu as un téléphone dans la forêt, mais voilà mon adresse et mon numéro. Si tu as un souci, tu sauras où aller, pour que BatMarty te sauve encore ta jolie peau. » 

Tu avais dit tout cela avec une certaine conviction et surtout beaucoup de douceur dans la voix. Diana devait avoir senti à quel point tu l'appréciais, car à la différence de l'infirmière que tu avais séchée sur place comme un raisin sec, tu lui parlais poliment et avec gentillesse. Tu lui faisais alors un petit bisou sur la joue, parce que tu avais envie avant d'attendre qu'elle bouge ou te réponde. Tu te doutais bien que son invitation voulait aussi dire qu'elle n'allait pas encore s'éternisait vingt ans dans l'hôpital et c'était totalement compréhensible en fait. Toi-même, tu n'avais pas vraiment la plus grande des aises à y venir. Tu savais que tous ceux qui venaient vous voir souffrait ou avait besoin d'attention. Au final, tu étais plus souvent compagnon de moment, ou psychologue que simple infirmier. C'était aussi ton avantage, tu savais t'adapter. En tout cas, tu ne regrettais pas d'avoir accepté d'aider cette jeune gemme et de t'y être attaché, car c'était une bonne chose. En plus de lui avoir sauvé un peu la vie, tu avais gagné une amie humaine, une hybride plante.

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Ven 19 Mai - 15:52
Batman et Ivy ~
Encore une fois, Marty s’excusais, et j’avoue que son compliment me fait légèrement rougir mais également rire, ses petites rougeur sur les joues lui allait bien. Décidément, il ne savait pas cacher ce qui lui passais derrière la tête, et j’adorais sa, c’était amusant ! Je n’avais encore jamais croisé quelqu’un d’aussi franc, c’était une bouffée d’air frais, et quoi de mieux que ça pour une plante ? Je le regarde calmement s’asseoir sur la chaise qu’il avait renversé, encore un léger sourire au coin des lèvres. J’avais clairement vue son expression de surprise lorsqu’il a réalisé que j’avais mis ma main sur son petit fessier. Et… J’avais été grandement amusée, tellement que je n’hésiterais pas : s’il fallait le refaire, je le ferais sans hésitée ! Penchant la tête sur le côté, je l’observe. On dirait que mon invitation le gêne un peu… Je n’aurais pas due ? Zut, moi qui pensais bien faire… Je le regarde, pendant qu’il est perdu dans ses pensées. Je me demande à quoi il pense, tiens… Au prochain patient ? J’espère pour lui qu’il ne sera pas trop casse-tête, déjà qu’avec moi il avait l’air d’avoir eu pas mal d’émotions ! Souriant doucement, je l’écoutais lorsqu’il prit la parole. Je suis un peu surprise : finalement, ça ne le gêne pas que je l’ai invité ? Un énorme sourire apparut au fur et a mesure de ses paroles, comprenant qu’il allait venir me rendre visite un jour.

Je regarde bêtement son visage lorsqu’il me donne son numéro et son adresse. Un portable… C’était le truc que les humains mettent tout le temps à leurs oreilles ? Non, effectivement, je n’en avais pas... Par contre, l’adresse allait m’être utile, si je réussissais à chopper une carte de la ville ! Parce que oui, je ne connaissais pas la ville par cœur, je n’y allais que rarement… Et encore heureux vus les gros lourds qu’il pouvait y avoir là-bas. Je buguais un peu à son bisou, avant d’avoir un énorme sourire. Ce Marty m’étonnait de plus en plus, décidemment ! Je descendis agilement de mon petit perchoir pour aller le prendre doucement dans mes bras. Je l’aimais bien cet hybride ! Il était doux, attentionné mais avait aussi son petit caractère, on dirait un peu moi version masculine et… Moins verte ! Je lui fis un bisou sur le front avant de reculer en souriant, espérant que ça ne l’ai pas déranger plus que sa de se faire câliner par une rouquine comme moi. Bon il avait déjà tâté mes fesses, il pouvait bien supporter un câlin, j’imagine ! Et puis, ce n’est pas comme si c’était quelque chose de négatif, sa montrait juste que j’étais contente et que je l’aimais bien. Gardant mon sourire, j’ouvris la bouche pour lui parler.


- Merci, BatMarty. Je veux dire, d’accepter mon invitation, de me donner ton adresse… Oui, parce que par contre, je dois t’avouer que je n’ai pas grand-chose qui appartient aux humains… Appart une poêle, je veux dire. C’est plus utile que d’utiliser des feuilles ou des branches, cette chose ! Et…

Le bruit de la porte s’ouvrant violemment me fit sursauter et arrêter de parler. Décidemment, les humains ne tapait jamais avant d’entrer, dans cet hôpital ! C’était peut-être pour sa que peu de personnes aimait venir ici, en plus d’être malade, je veux dire. L’humain qui vient d’entrer demande à Marty de venir le plus vite possible, car apparemment on avait besoin de lui ailleurs, avant de partir aussi vite qu’il était revenus. Eh bien, aussi rapide qu’un mulot cet humain ! Décidemment, cette soirée n’était pas banale, je voyais tout et n’importe quoi. Les humains pouvaient surprendre,  parfois… Je regardais Marty, un peu sonnée par la vitesse dont les choses se sont passées. Je soupire doucement, avec un air amusée. Bon, apparemment je devais me décider à y aller. Il fallait bien que je rentre et que mon Batman personnel retourne à son travail. Je remets quelqu’une de mes feuilles en place avant de faire un bisou sur la joue de Marty. Je lui fait un petit clin d’œil avant de m’étirer

-Eh bien, cher chauve-souris, je pense que je vais retourner dans ma petite forêt, avec mes plantes et mon jardin. Si tu te décides à passer me voir, je te donne un indice : je me suis installée pas loin d’un point d’eau.

Je lui fit un dernier câlin avant de me diriger vers la porte. Je l’ouvre un peut avant de me retourner vers Marty avec un sourire taquin.

-Tu sais quoi ? Mine de rien, je suis contente d’être tombée ‘malade’. Parce qu’on s’est rencontré, et puis tu as pu toucher mon ‘merveilleux fessier’. Alors s’il fallait, je referais pareil ! Aller, à la prochaine Marty ! Bisous mon chou !

Je sortis de la pièce en riant, imaginant les joues rouge de Marty à l’évocation de ‘l’incident’. Essayant de retrouver mon chemin vers la sortie, je me perds un peu dans les couloirs avant d’enfin sortir de l’hôpital. Je souris en m’apercevant qu’il ne pleuvait plus. Le temps devait avoir pitié de moi qui venais à peine de me remettre d’une crise de ‘rétention d’eau’. Je marchais doucement jusqu’à la forêt, évitant au maximum les humains qui devais être bien amochés à cette heure de la nuit. Arrivé à mon petit chez-moi, je fermais le rideau de feuille qui cachait l’entrée avant de m’affaler dans mon ‘lit’ en souriant. Finalement, ce n’était pas plus mal qu’il ait plu autant. J’avais gagné un ami donc c’était un mal pour un bien… Une journée qui avait bien finie. Je fermais les yeux, riant en me souvenant de ce Batman les quatre fers en l’air. J’avais hâte de le revoir et de le taquiner encore plus.
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