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Liberté et précarité - Ft. Néau

Anonymous





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Dim 18 Déc - 23:25

Mercury

Néau

Liberté et précarité
L'argent que tu tenais dans les mains te semblait une véritable petite fortune: le petit bar où tu avais joué hier soir payait vraiment bien... Même si l'ambiance était pourrie et que les clients se croyaient tout permis. Au moins, tu avais de l'argent. Et tant pis si tu avais du envoyer au diable plusieurs clients -tu n'avais pas compté- qui t'avaient prise pour une fille facile. Ton argent, tu voulais le devoir à ta musique et à rien d'autre... Surtout pas la prostitution. Tu étais venue là pour jouer, tu avais fait ton travail et tu avais gagné de quoi passer un bon moment dans la stabilité... Sauf que tu avais déjà décidé ce que tu allais faire de ces jolis billets. Cela semblait ridicule, mais tu voulais un hybride. Mais pourquoi? Qu'est-ce que tu allais en faire? Tu n'avais même pas une chambre pour toi alors pour un hybride! Tu te disais que, pour celui que tu pourrais d'offrir, la vie précaire que tu menais serait toujours mieux qu'une cage sale et que manger des pâtes tous les jours serait toujours plus sympa que la pâtée insipide qu'on leur sert, là-bas. Tu en avais entendu de belles sur les animaleries, dans ton quartier.
Tu avais prit le bus pour aller en ville, et plus les stations défilaient, plus tu voyais monter de nouveaux clients. Franchement, tu commençais à te demander ce que tu fichais là. Tu portais un jeans, un blouson en cuir et une longue écharpe que tu avais bien enroulée autours de ton col. Tu n'avais pas l'habitude de sortir sans ta guitare, et tu te sentais presque nue aujourd'hui. Tu avais l'impression que tous les regards étaient braqués sur toi.
Voilà ta station, tu es ravie de descendre enfin de ce maudit bus! Mais, avec les gens dans la rue, c'est le même effet. Alors tu presse le pas jusqu'à la boutique, que tu reconnais tout de suite à sa devanture affriolante. Tu entres sur un son de clochette de porte à réveiller un mort. De nouveaux yeux se posent sur toi, un vendeur vient de proposer son aide, tu lui lances, sur un ton sec:
-Je sais regarder toute seule.
Et te voilà qui disparaît dans les rayons, tu fais le tour de la boutique. Tu n'aurais jamais cru voir des prix si élevés un jour dans ta vie! Tu te demandes comment tous le monde fait pour avoir un hybride à ce prix-là. Toutes tes économies vont sans doute y passer! Tant pis, ce sera riz blanc ce mois-ci!
Oups! Ton médiator porte-bonheur se glisse hors de ta poche lorsque tu en sors ta main. Tu te baisses pour le ramasser et tombe alors nez à nez avec une jeune lapine aux cheveux bruns. Elle est clairement plus jeune que toi et a l'air plutôt fragile, tu te mets aussitôt à t'inquiéter de ce qui a déjà pu lui arriver, et de ce qu'il lui arrivera à l'avenir. Tu t'en voudrais de passer ton chemin. Tu jettes donc un coup d’œil à sa plaque et retient un soupir de soulagement en constatant que son prix serait dans ton budget. Enfin, tu ne veux pas lui forcer la main, non plus, alors tu te décides à lui parler un peu:
-Bonjour, je m'appelle Mercury. Ton nom c'est Néau, c'est ça? Voilà, qu'est-ce que tu dirais de venir avec moi? Mon appartement est tout petit et je n'ai pas beaucoup d'argent, mais tu pourras aller où tu voudras et ce sera toujours mieux qu'ici... J'espère...
Tu commençais à douter de ton idée, étais-tu vraiment capable de nourrir une bouche supplémentaire?
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Anonymous





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Lun 19 Déc - 21:09
La journée venait à peine de commencer lorsque notre petite hybride dû malgré elle, se réveiller. Alors encore assoupis en arrière-boutique où elle séjourné le plus clair de son temps, Néau vint à sursauter qu’en a l’apparition subite du gérant et de ces vendeurs. Les hommes ne se montraient, en aucun cas, soucieux du sommeil des petites bêtes et notre hybride suspecter même qu’ils prenaient un malin plaisir à surgir dans lorsque tous dormaient. Ainsi, alors réveillait en sursaut, notre hybride prit de longues minutes à malgré tout, sortir de ses songes. Frottant longuement et doucement ses paupières, la lapine finit enfin par prendre connaissance de son environnement. Comme chaque matin, la rengaine habituelle était de mise : la valse des cages et présentoirs passés et repassés devant ses yeux afin que tous puissent prendre la place lui étant désigné. Tel une ronde rébarbative et bien trop usée, tous entrer dans sa place avec une lassitude palpable. Ainsi, Néau vit son tour arrivé. Sa cage saisit à la va-vite, elle fut emmenée et placer à une place idéale pour elle et les hybrides de son genre : au plus bas. Loin du regard directeur de chacun, elle et ceux étant comme elle étaient mis là pour justifier d’un prix bas. Comme les rayons d’un supermarché, les prix allé du plus bas : le moins cher, au plus haut : les prix les plus chers. Mais bon, cela notre hybride ne s’en soucier plus tellement. Elle n’attendait plus grand-chose des humains et attendait tout simplement que le soir arrive pour pouvoir se retirer de nouveau et prendre soin de ceux en ayant besoin, comme à chaque fois…

Ainsi, alors placé dans les places les plus basses du présentoir, Néau finit par faire un rapide tour du propriétaire. La cage était effectivement la même, mais ne sait-on jamais quelque chose pourrait avoir changé. Plus il fallait bien habiller le temps ? De ce fait, le tour fait, notre petite lapine commença par s’étendre dans un petit gémissement significatif. De tous son être, elle s’étendit en hauteur puis replaça une dernière fois ses cheveux, coiffer aux quatre vents dû à une nuit agitée. Là, la ronde des vendeurs reprit de plus belle ! Tous avaient fini d’installer les hybrides et commençaient déjà à placer le repas du jour dans chaque cage. Il fallait bien que les animaux se nourrissent, puis quoi de mieux pour vendre, d’afficher un animal en forme et bien traité ? Alors Néau se présenta aux abords de sa cage. Comme tous et par habitude, elle attendait de pouvoir se saisir du plat avec un plaisir dissimulé. L’homme tendit ainsi l’assiette, l’hybride la saisit, et les deux se séparèrent aussi vite qu’ils se rencontrèrent. Néau elle, recula alors sa prise en main, s’agenouillant à quelques centimètres plus profondément. Ainsi, déposant son plat sur le sol, elle fixa l’assiette avec un léger dépit. Elle était contente du contenu, mais c’était bien ceci qui créer un tel désappointement. Il était si facile d’acheter le silence d’un hybride et elle n’en faisait pas exception ! Rongeant alors son frein en silence, elle saisit avec délicatesse la carotte et commença à la manger avec une grâce peu commune. Faisant mine de faire la fine bouche, elle semblait dégustée avec attention son plat. C’était pour elle un jeu contrariant la routine et rendant les choses plus vivables.

C’est alors que tout s’arrêta. Les vas et viens incessant s’arrêtèrent et le calme s’installa. Bien qu’agréable pour un repas du matin, le silence était annonciateur de bien plus grand encore. C’était l’heure ! L’heure de l’ouverture et de la vague de client bruyants et gesticulant. Notre lapine eut alors le même réflexe qu’à chaque fois : elle lâcha sa prise, s’enfonça de plus belle dans sa cage et remonta sa capuche sur son nez. Telle une autruche, elle trouvait dans cette routine un certain calme et une certaine sérénité lui permettant de faire face. Ainsi, les yeux cachés derrière cette large capuche sombre et ce large pull enroulant ses formes, l’hybride reprit doucement son repas. Pas un seul cri d’enfant, ou brouhaha intempestif de clients excité n’arrivèrent ainsi, à l’atteindre de nouveau. Elle manger ainsi calmement, sans jamais se soucier de l’environnement dans lequel elle était enfermé. C’était sa bulle : son monde et personne n’était invité ! 

Oui, mais voilà, une chose inhabituelle arriva. Bien plus tard, alors que les heures avaient défilé et que la boutique s’était légèrement calmée, notre hybride était là, immobile au milieu de sa cage de verres. Songeant longuement à ce quoi pouvait ressembler « le » maître parfait dont tous rêver, un bruit de cloche retentie encore. C’était devenu tellement habituel que le bruit se faisait presque oublier. Oui, mais non. Là, une chose étrange arriva. Bien que le vendeur, comme à son habitude, s’affranchît de sa rengaine définie, celui-ci fut recalé vite fait bien fait. Un client mécontent ? Effectivement, ça pouvait facilement être le cas : mais là non. La voix était différente… Plus sereine, plus travailler ? S’était une sensation bizarre pour notre petite lapine qui sentait au fond de son cœur que quelque chose allé arriver. Tellement que lorsque la chose en question arriva, la lapine ne remarqua pas tout de suite la femme qui venait de se poster devant sa cage.

Lorsque la femme vint à la saluer et à l’interroger avec une douceur inouïe, Néau continua quelques instants à rêvasser. Ce n’est qu’au bout de quelques longues secondes qu’elle comprit que la cliente lui parler bien et non pas sa voisine d’au-dessus ou d’à côté. C’est alors qu’elle fut horrifiée. Comment cette humaine pouvait lui adresser la parole aussi normalement, aussi gentiment… d’ailleurs pourquoi lui parlait-elle tout court ? C’était étrange et pas une faute. Elle l’avait appelé par son nom et c’était déjà magique. D’autant plus que d’entendre son nom prononcer par cette femme lui fit un drôle d’effet. Son cœur s’était tordu profondément et elle fut incapable de réellement réagir. Un seul réflexe de renfoncement de la capuche se fit en signe d’une peur profonde et inavouée. Mais Néau se refusa d’en rester là. Elle devait lui répondre ! C’était trop beau pour être vrai effectivement : mais elle devait lui répondre ! Ainsi, prenant une très courte respiration qui lui sembla lui faire exploser les poumons, notre petite lapine lança d’une voix semblable à celle d’une fée sous un coussin, une phrase étrangement commune pour l’occasion :


« …Ou..oui. Que… me voulez…vous ? »

Fébrile, douce, presque inaudible, mais sortie avec une franchise et une quiétude profonde. Comment aller réagir cette humaine ? Avait-elle réellement demandait ce qu’elle avait demandait ? D’autant plus que notre hybride craignait déjà pas mal les humains, car leurs désirs étaient bien trop souvent les mêmes et notre hybride avait bien trop peur de se montrait une nouvelle fois, incapable de mettre à bien ce pourquoi elle était née. Peut-être qu’on ne lui demanderait pas trop cette fois…
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Lun 26 Déc - 22:04

Mercury

Néau

Liberté et précarité
Tu devais savoir, au fond, que ce n'était pas une bonne idée... Mais pourtant tu ne regrettais même pas tes paroles. Tu restais persuadée de faire plus de bien que de mal dans cette affaire, et ce peu importe comment cela allait finir. Tu avais eu un coup de coeur pour cette petite hybride aux allures si fragile, elle te semblait tellement jeune et tu ne voulais pas la laisser ici. Tu savais que les communautés de rebelles étaient nombreuses autours de chez toi et, si elle y était malheureuse, tu pourrais toujours faire en sorte qu'elle puisse les rejoindre et vivre libre. Ce sera toujours mieux que dans une petite cage au ras du sol dans un magasin froid et crasseux. Peu être que tu voyais ta vie un peu plus belle que ce qu'elle était vraiment, mais rend toi à l'évidence... Tu n'y arriveras jamais!
Tu refuses d'écouter cette petite voix dans ta tête et tu ne baisses pas les bras: tu attends une réponse de la part de l'hybride, partir maintenant serait impoli de toute façon! Elle te semblait ailleurs, mais finit par sortir de ses rêveries après un moment. C'est alors qu'elle eut l'air étonnée, choquée, sans doute, que tu lui aies parlé avec tant de franchise et fait cette proposition de but en blanc sans prendre le temps de discuter vraiment avec elle... Tu ne pouvais pas savoir. Elle te répondit d'une toute petite voix et tu eus un sourire:
-Ce n'est pas un piège, je te propose de venir vivre avec moi. Enfin, si tu veux... Comme je le disais, mes moyens sont limités alors je ne peux pas te promettre le grand luxe mais la liberté c'est déjà bien.
Tu voulais lui laisser le choix, tu étais prête à lui décrire ta maison, ton "métier", tes horaires, tout ce qu'elle voudrait savoir avant de prendre sa décision car tu n'étais pas le genre à emmener quelqu'un de force chez toi pour lui donner des ordres; Tu n'étais pas la seule à décider, il fallait qu'elle te choisisse aussi.
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Ven 30 Déc - 14:23
Notre hybride un long moment d’abstinence vocal. N’en croyant littéralement pas ses oreilles, la lapine se contenta dans un premier temps de fixer la femme avec un souffle coupé. C’était clair maintenant, cette femme la demandé elle et personne d’autre. D’autant plus que sa grâce et la gentillesse qui semblait en émanaient la rendit perplexe. Voyant constamment le mal partout, elle se demanda déjà ce qu’elle pouvait bien lui vouloir ? Elle ne semblait pas avoir un goût prononcé pour la dissection alors ne terminerait-elle pas en steak haché. C’est alors qu’elle fit le lien avec l’accueil qu’elle avait réservé à son hôte. Néau se dit alors qu’elle voulait sans doute se saisir d’elle pour faire d’elle son objet ! C’était sûr maintenant. Elle était vraisemblablement énervée, excitée, fatiguée, aussi se cherchait-elle un passe-temps ? Un objet de substitution à la vie dure de tous les jours ! L’hybride recula alors encore un peu et s’inclina avec grâce. S’en était ainsi et elle devait s’y faire ! Après tout le travail qui avait était fait sur elle était parfait : obéir était la seule et unique raison d’un hybride et la lapine n’avait pas d’autre choix que de penser et agir ainsi.

Ainsi, gardant un très court instant la pose afin de signifier sa soumission, l’hybride se redressa alors et, alors posté sur ses genoux, commença à retirer son pull ? Dénudant peu à peu ses épaules, puis ses jambes, elle se retrouva rapidement en petite culotte devant la femme. Son visage trahissait cependant son appartenance. N’osant pas un seul instant à fixer la femme, l’hybride se contenta de s’exécuter silencieusement. Mais c’est alors qu’un des vendeurs revint à la charge. L’homme stoppa net l’action par sa présence. Présence qui effraya le petit animal qui n’eut par réflexe, que l’action de saisir ses vêtements et cacher son corps derrière. Elle n’avait pas eut le temps de se dévêtir totalement, se retrouvant simplement en petite tenue et chemisette, mais la honte elle, était bien là ! Néau se tourna alors légèrement, terriblement confuse et vêtements serrer dans ses bras. La petite n’avait pas compris que l’homme venait en réalité de l’aider sans le vouloir. Elle était un peu influençable et manquée terriblement de jugeote. Si les choses avaient continué, sans doute se serait-elle déshabillée sans rien demander. Oui, mais encore fallait-il comprendre que l’action avait clairement déplu au vendeur qui, sans laisser placer un mot, prit une posture légèrement hautaine ?


- « Je vous prie d’excuser ma tenue, mais comprenez que c’est un magasin respectable. Aussi, nous demandons à nos clients de ne toucher aux hybrides qu’après leurs achats. Ou peut-être souhaitez-vous simplement vous rincer l’œil ? Aussi dans ce cas, je vous demanderais de sortir prestement ! »

Néau n’osa encore une fois, pas poser un œil sur l’homme. Celui-ci lui faisait peur et s’est sans un mot que la lapine écouta, gênée. Comprenant tardivement qu’elle venait de jeter le dévolu sur la femme, elle se rhabilla rapidement et s’inclina de nouveau pour excuser sa tenue. Appuyant cette fois cette dernière, elle finit par saisir un moment de blanc pour s’adresser à la femme. Peut-être comprendrait-elle qu’elle n’avait pas voulu le faire exprès après tout…

- « Je… suis désolé. Je… je veux partir d’ici. »
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Sam 7 Jan - 14:09

Mercury

Néau

Liberté et précarité
Le comportement que tu avais aujourd'hui était assez éloigné de tes habitudes: d'ordinaire tu restais assez loin des gens, même lorsque tu les voyais souvent, tu préférais garder une distance afin de pouvoir sortir facilement de leur vie si tu venais à devenir une gène pour eux... Ou inversement. Là, tu proposais à une parfaite inconnue de venir vivre avec toi... C'était de la folie! Mais, enfin, chacun d'entre nous avait parfois son petit moment de folie, bien que le tien soit carrément démesuré!
Tu attendais la réponse de l'hybride. Si elle acceptait, tu donnerais la quasi-totalité de tes économies à un vendeur et vous partiriez toute les deux hors de cette maudite boutique qui te donnait la nausée. Mais si elle refusait, tu serais sans doute contrainte de sortir d'ici seule, et tu te sentirais particulièrement mal d'avoir abandonné cette pauvre créature seule ici, bien que ce ne serait pas exclusivement ta faute. La lapine s'inclina tout d'abord, comme en signe de respect. Tu restais un instant paralysée par ton état de surprise... Personne n'avait jamais eu une pareille marque de respect envers toi et ce n'était certainement pas le fait que tu étais une humaine qui le justifiait. Tu commençais à comprendre devant quel genre d'hybride tu te tenais... Et cette impression ne fit que se concrétiser lorsque tu la vis retirer son pull sans comprendre tout de suite pourquoi. Tu le fis signe d'arrêter plusieurs fois mais elle ne semblait pas le remarquer. C'était donc ainsi que l'on élevait les hybrides ici? Une telle soumission te laissait sans voix. Tu étais révoltée, c'était décidé: tu ne pouvais pas la laisser ici, où elle tomberait sans doute sous les mains d'un taré qui s'en servirait comme d'un jouet sous prétexte qu'elle est fragile et naïve.
C'est alors que tu entendis des bruits de pas derrière toi, le vendeur t'avait suivi et restait figé de stupeur devant cette scène. Aussitôt, il commençait à te faire sa tirade sur sous magasin "respectable" et te demanda expressément de quitter sa boutique si tu n'étais pas disposée à acheter. Tu t'indignas à ton tour devant son comportement. Tu ne supportais pas que l'on se montre hautain envers toi, tu n'étais qu'une petite musicienne de rue mais tu étais aussi capable de hausser la voix et de jouer au plus fort!
-Il semblerait que vous sautiez un peu vite aux conclusions. Aussi, je vais vous amener moi-même vers la bonne direction: votre magasin est si irréprochable que le traitement que vous accordez à vos hybrides est DÉPLORABLE. Vous devriez également être capable de contrôler les réactions de ces derniers et de connaître les risques que celles-ci pourraient occasionner. Il devrait également être normal qu'un client puisse s'assurer que l'hybride qu'il va acheter n'aie subit aucun sévisse corporel au par avant. Et, par ailleurs, vous devriez vous abstenir d'insulter le client. Surtout quand il est déjà de mauvaise humeur! Maintenant, voilà comment cela va se passer. Je vais vous donner votre argent et vous allez ouvrir cette cage sans broncher. Faites au moins cette partie de votre travail correctement.
Tu te tournais vers l'hybride qui s'excusais et te faisait comprendre qu'elle n'avait pas réfléchi à ses actes et voulait simplement sortir d'ici. Tu lui offrais un sourire rassurant et ajoutais sur un ton plus doux:
-On va sortir d'ici.
Tu avais prit sur toi toute cette histoire, c'était mieux ainsi.
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Anonymous





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Mar 4 Avr - 12:52
Le dépit et la gêne, voilà ce que l’on pouvait lire dans les yeux de la petite lapine. À trop vouloir y croire, Néau avait réussi à sauter sa chance de sortir et avait créer un malentendu sans même le vouloir. C’était vraiment gênant ! La lapine n’oser même plus relever les yeux vers l’humaine. Plutôt, morfondue sur elle-même, elle attendit longuement que la femme la réprimande pour l’avoir ainsi, gêner par son comportement. Genoux aux sols et le plus courbé possible, Néau attendait les yeux fermés sa sentence tandis que la femme reprit la parole tout en même temps. Avec verve et ton, elle pesta… Contre le vendeur !? La lapine rouvrit alors les yeux étonnés et fixa la femme en coin. Elle ne comprenait pas. Pourquoi s’en prenait-elle au vendeur ? L’hybride n’avait-elle pas était le seul sujet de discorde dans le problème ? Mais inquiète, Néau n’osa pas s’interposer pour essayer de comprendre. Plutôt, elle tendit l’oreille discrètement et resta dans une posture base au plus possible. Ainsi, si jamais les protagonistes s’en retournaient vers elle, elle serait prête à accepter les reproches sans broncher.

Mais rien ne se passa à l’encontre de la lapine. Préférablement, la femme lança une tirade sanguine à l’encontre de l’homme, telle une flèche tirer à l’arc à poulie. Elle visa juste et fort ! D’un ton jamais ouï par l’hybride, la femme remit en plus vite fait, bien fait, le vendeur et le somma même de faire sortir l’hybride de sa cage. Le vendeur lui, n’eut aucune porte ouverte pour s’étendre dans l’échange et ne pues qu’acquiescer, passablement blesser dans sa fierté. Il fit un court signe de tête et informa alors la femme qu’il préparerait les papiers de l’hybride dans les instants suivant et invita l’acheteuse à rejoindre le comptoir pour finaliser la vente. Néau, légèrement étourdie par pareil affrontement, n’eut mots courants. L’hybride se contenta de sourire, larme à l’œil. Aussi désolée et morfondue était-elle d’avoir énerver la femme, elle ne pouvait que lui exprimé sa joie de partir, au travers d’un sourire intime et sincère. La femme venait de lui offrir une seconde chance dans sa vie et rien n’était plus beau à en instant !

Aussi, la lapine fut rapidement rejointe, dés que le vendeur et l’acheteuse disparurent quelques mètres plus loin. Un assistant du vendeur semblait-il, ouvrit la cage et saisit l’hybride. Sans attendre son approbation, il l’emmena dans une arrière-salle où elle fut rapidement déshabillée et plonger dans une salle de bain étrange, où l’attendaient deux hybrides dépêchés pour l’occasion. Elle connaissait la manœuvre. C’était le bain obligatoire du départ ! Une cérémonie bien peu agréable dans sa forme, mais prédictive d’un départ par la suite. L’hybride comprit alors qu’elle ne rêvait pas. Elle partirait aujourd’hui, enfin… Mais l’heure n’était pas à la rêverie sensiblement. Elle fut saisie et plongée sous l’eau sans même prendre le temps de comprendre. Il était clair qu’ils ne voulaient pas perdre de temps et que les hybrides, bien méritantes soient-elles, n’étaient pas réceptives à son bonheur. Les esclaves du moment savonnèrent, nettoyèrent, astiquèrent et récurèrent la lapine de haut en bas et veillèrent à ce qu’elle soit propre pour son départ. L’image de l’animalerie était en jeu ! Ainsi, en l’espace de seulement dix minutes, la lapine ressortie changée. Bien que frigorifiée d’avoir subi pareil traitement, elle était belle, sentait bon et disposait même d’une nouvelle tenue plus, mignonne ? Oui enfin, le mignon voulait définir : une simple robe de coton blanche parsemée d’un nœud rouge posé sur la tête. C’était simpliste, mais ceci laisser dessiner très humblement les courbes de l’hybride et offrait un meilleur aperçu de la marchandise avant départ.

C’est alors que Néau fut présenté de nouveau devant sa maîtresse. L’hybride, bien que fière et heureuse d’enfin pouvoir partir, ne pouvait s’empêcher de frissonner doucement, morte de froid d’avoir était plonger dans de l’eau à peine chauffer. Elle était petite, frêle, sensible… Et ça se voyait… Mais le vendeur n’en démordit pas. Plutôt, l’homme souligna les soins apportés à l’hybride et affirma qu’elle avait était bien traiter, pour le bien-être de l’achat. Il alla même jusqu’à la promouvoir pour sa jeunesse et son « inexpérience », justifiant une future éducation plus simple et rapide. C’est alors qu’il termina par une simple phrase avant de se saisir de la signature finale :


- « Voilà votre futur hybride toute en beauté à présent. Certes, elle semble frigorifier et je vous présente nos excuses ! Mais nous trouvions cela plus acceptable de vous la présenter avec une si jolie robe, qu’avec cet immonde pull où elle se fait plaisir à se cacher le visage… Êtes-vous à présent sûre et prête à signer l’offre d’achat ? »
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