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Utsukushi Neko Sekai
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[RP Neko/Maitre ;; Min. 200 mots ;; H/Ya/Yu autorisé (avec modération ♥)]
Voilà que j’aplanie les choses, je suis assez riche pour ne pas avoir à m’occuper de l’argent perdu pour une hybride, sa vie vaux bien plus que cela !
Mais avant, ma condition, faire du shoping ! Disons que sa liberté sera sa récompense de cette journée. Naturellement je viens attraper son bras pour mener la danse.
Toutefois, à peine l’eus-je prie qu’elle réagissait comme si je venais de la brûler, de la mordre. Tel un instinct, si je ne vois pas de la crainte sur son visage. Je comprends aussitôt que je dois oubliée cela... POUR LE MOMENT ! JE REVIENDRAIS !
Mais j’en suis bien dépitée... j’adore faire et avoir des câlins, ça me rend vraiment triste et j’en ai un sourire dépitée que je ne cachas pas. Malgré le choix que je lui laisse, elle accepta de me suivre... Plus forcée sans avoir de lieu de départ que d’envie, mais ce n’est pas grave, je ferais avec. Je soupire avant de me reprendre et de sourire.
-C’est dommage, mais... Je t’autorise à me faire des câlins quand tu veux. Lui souriais-je les mains sur les hanches. Contente qu’elle me tutoie. Je pointais le centre-ville. Allez, en avant toute Euphi ! La surnommais-je aussitôt.
Euphemia était un jolie nom, mais Euphi était pas mal non plus. Et évitant de justesse de prendre sa main, encore un réflexe héhé... Nous nous dirigions vers des boutiques. Avant de me stopper net, sans préavis je vins lui tourner autours.
-Dis moi, tu as quoi comme goût vestimentaire ? Je peux te prendre ce que tu veux, donc n’hésite pas trop. Aussi, j’ai des shampoings et... Des sous-vêtements (masculin oups) mais il faudra que tu ai les tiens, on aura pas les mêmes tailles, coloris, cuir chevelu, etc... Donc tout ce dont tu as besoin le plus rapidement de suite, c’est aujourd’hui. On a toute la journée pour s’éclater ! Ne te soucie pas des dépenses, je suis une fille riche... d’amour ! Lui fis-je un clin d’œil malicieux et rieur. Après, si tu es douée pour quelque chose et que tu veuille un job, je t’aiderais. Je te l’ai dis tu es libre... mais tu vie avec moi. C’est tout. Lui souriais-je encore plus grand, les mains dans le dos, l’air d’une gamine joviale, pleine de vie et d’énergie, qui ne demandait qu’a s’amuser et se faire des amis.
Et je jure sur le nom de ma famille, Opal, qu’elle retrouvera le goût de vivre et finira par accepter mes câlins ! Yeah ! ... Faudra juste que je fasse attention à ce qu’elle ne découvre pas que je suis un homme... Ahem.
Elle a été gentille avec toi depuis le début. Tu t'en veux un peu de ta réaction aussi vive, pour un simple contact. C'est un réflexe dès qu'on te frôle. Comme si tu craignais quelque chose. Tu te sens obligée de préciser qu'elle n'est pas le problème, de lui expliquer. Tu es telle une enfant prise en faute. Elle semble déçue de ta réaction. Mais elle sourit bien vite, affirmant que toi tu peux lui faire des câlins quand tu le souhaites.
La proposition t'étonne. Elle est si naturelle quand elle dit ça. C'est une jeune femme qui réagit sur le moment peut-être. Tu commences à envisager la possibilité qu'elle n'ait pas de mauvaises intentions. Elle t'a même déjà donné un surnom. Une part de toi reste sur ses gardes. Mais une autre part accepte de la croire. C'est avec un peu plus de bonne volonté qu'au début que tu la suis vers les boutiques.
Tout ce dont tu as besoin, elle est prête à te l'acheter. Cela fait longtemps que tu n'a pas fait de shopping. Il te faut un peu de tout, vêtements, produits pour toi. Tu n'as pas à te soucier du prix apparemment. Sa remarque te fait intérieurement sourire, légèrement. Une vraie enfant quand elle parle et agit. Son attitude serait presque mignonne quelque part. Et son sourire à quelque chose de contagieux. Mais tu te retiens pour l'instant.
Plus que les choses matérielles, elle te propose de t'aider à trouver un job. Tu n'as jamais vraiment pensé à travailler. Ton ancien maître refusait. Et de toute façon, tu n'as aucune expérience. Peut-être que tu pourrais faire un effort. Ezra ne semble avoir aucun problème d'argent. Mais ce serait une manière comme une autre de la remercier. Si tant est que tu puisse trouver quelque chose de compatible avec ton problème de contact.
-Je ne suis pas trop difficile question vêtements. Au détail près que je préfère porter des tenues qui couvrent bien. Je me sens plus à l'aise comme ça. Sinon j'aurais besoin de quelques produits pour le corps aussi.
Ce n'est pas que tu prends spécialement soin de toi. Mais tu aimes faire un minimum, ne serait-ce que par respect pour toi-même. Ce n'est pas pour te sentir belle. Juste le minimum. Peut-être que tu pourrais lui proposer quelque chose pour un job. Si elle peut te trouver quelque chose dans ce domaine, ce serait parfait. Même si beaucoup de portes sont fermées aux hybrides comme toi. Peut-être qu'elle pourra t'en ouvrir quelques unes.
-Avoir un job, ce n'est pas une chose à laquelle je pensais. Mais... Je suis très douée au piano. Si jamais tu trouves une occasion de ce côté-là, je serais preneuse. Sinon j'irais chercher autre part, je trouverai bien.
Vivre avec elle ne sera finalement pas une mauvaise chose. Du moins, c'est ce qu'il semble pour l'instant. Ça aurait pu être pire te dis-tu.
Euphemia semble être un peu plus prête à m’accepter, bon je suis un peu déçus de ne pas encore la voir sourire, d’habitude personne ne me résiste longtemps mais là... Rahlala, cela ne me donne que plus envie de la faire sourire et j’y arriverais !
Croix de bois, langue de chat, j’y arriverais !
Elle me répondit sur son choix de vêtement qui... Resta absolument flou, juste une chose, elle veut des vêtements qui la couvre... Elle est frileuse ? C’est dommage alors si elle aime pas les câlins, sa réchauffe le cœur et l’esprit.
-Pas de soucis, nous irons côté cosmétique alors. Lui souriais-je joyeusement. Je la dirigeais vers la première boutique qui avait des vêtements ample, bien chaud, ah... peut-être s’avançait-elle comparée à l’hiver qui approchait !
En entrant dans celui-ci, elle se proposa pour jouer dans le métier muscial, cela me fit sourire, avait-elle deviner que j’y étais et tentais de s’y intégrer ou bien était-elle vraiment douée ?
-Les métiers de la musique sont difficiles à percer, mais je verrais si mes partenaires recherche une joueuse de cet instrument. L’informais-je
Nous dérivions alors dans les allées du magasin, tout était jolie, mais difficile à trouver pour moi, je restais à côté d’elle, un pas en retrait. Elle continua alors sur une question intéressante. Où je vivais.
-Et bien en ce moment je vis dans un appartement, mais quand je vais retrouvé ma famille, nous sommes en château. Faudra que je te le fasse visiter, il est... MAGIQUE ! M’exaltais-je en secouant les bras dans tous les sens.
J’adorais notre « Sweet Oerphryne castle » et je l’avais quitter avec regret, mais il fallait que je fasse ma vie de mon côté malgré tout.
-Il est immense, rose et ultra connue ! On l’ouvre une fois par an aux visiteurs, et nous faisons un concert public pour nos fans. Toutes la familles chante et danse, chacun sur son style. Tu devrais voir, c’est comme un festival. Rigolais-je. On a bien tenter de faire venir des attractions, mais on a pas suffisamment de place, sinon on écrase le jardin, labyrinthe, et on va pas empiéter sur le cimetière familiale hein. Haussais-je la tête pour moi-même en croisant les bras.
Il y avait tant à dire, mais je ne voulais pas trop la spoiler dessus... Dommage en fait que je lui ai donner la couleur du château. Elle aurait été super surprise et je suis sûr que j’aurais eu un sourire de sa part à ce moment là !
Une question que tu aurais peut-être du poser avant. Après tout, tu vas vivre avec elle maintenant. Autant te renseigner sur les lieux. Savoir un peu à quoi ressemblera ta nouvelle demeure. Quelque soit l'endroit, tu sais une chose. Tu ne seras pas enfermée là-bas. Ezra l'a bien dit, tu es libre de tes mouvements. Ce qui t'enlève un certain poids, tu dois bien l'avouer.
Après coût, tu te rends compte que tu ne lui as presque rien dit sur tes goût vestimentaire. Sûrement voulait-elle plus de détails en posant sa question. Le fait que, jusque là, tu n'as que rarement choisi tes propres vêtements. Ton ancien maître le faisait souvent à ta place avant. Alors toi-même tu ne sais pas exactement ce que tu aimes. Du moment que ça te couvre.
En entrant dans la boutique, elle affirme qu'elle cherchera dans ses partenaires musicaux. Pour voir si elle peut trouver quelque chose pour toi. Si jamais elle ne trouve rien, ce n'est pas grave. Tu ne travaillera pas, ou tu iras chercher ailleurs. Dans les cafés ou boutiques, il cherchent souvent des employés. Avec la possibilité de payer moins cher un hybride.
Dans les allées, ton regard parcoure les divers vêtements. Parfois tu t'arrêtes pour regarder plus précisément. Parfois tu prends même une chose qui te plaît. Histoire d'essayer par la suite. Tu ne prendras rien que tu n'auras pas essayé avant. Pour vérifier que ce que tu as choisi cache bien ce que tu refuse de montrer. C'est le critère le plus important.
Ezra vit donc dans un appartement. Du moins, pour l'instant. Mais sa famille a choisi un autre endroit où vivre. Un château, rien que ça. Ta maîtresse en parle avec un certain enthousiasme, avec en tête de te le faire visiter un jour. Pourquoi pas après tout, ça peut être un moment original. Sa famille est probablement plus connue que ce tu pensais. Peut-être feras-tu des recherches sur eux plus tard.
-J'espère avoir l'occasion de le visiter alors. Je ne suis jamais entré dans un château, encore moins rose. Toute ta famille est dans le milieu de la musique ?
C'est ce qu'il semble. Pour qu'un spectacle soit organisé au château, toute la famille doit y participer. Voila un milieu où tu devrais te sentir à ton aise. Si tu arrives à remettre la main sur un piano, tu vas te plaire avec elle. Même si c'est un héritage de ton ancien maître, tu aimes en jouer. Parce que c'était un des rares moments tranquille avec lui.
Une fois quelques tenues en main, tu tournes la tête vers les cabines. C'est le moment pour essayer. Par principe, tu laissera Ezra donner son avis. Même si ton choix prime sur le sien. Faisant quelques pas vers la cabines, tu lui lances un regard.
-Je vais faire quelques essayages. Tu peux attendre devant la cabine pour me donner ton avis ?
Devant la cabine, pour être sûre qu'elle ne voit pas tes cicatrices. Sans même attendre sa réponse, tu vas t'enfermer dans une cabine. Ta question n'en était pas vraiment une. Plus une affirmation avec l'impression de lui donner le choix.
Suivant ma nouvelle amie, nous faisons le tour des magasins, des aller d’un tel et je la laisse faire son choix. Bien que je lui donnerais mon avis, il ne s’agira pas de mes goûts. Bon, je dois tout de même avouer que si elle pouvait éviter le côté dark cela m’irait, c’est cool, mais un peu déprimant à la longue. Toujours étant que ce n’est que mon avis !
Elle a l’air intéresser mais... Bon sang, elle ne sourit pas plus, elle a juste l’air plus décontracté, elle me zappe presque ma joie de lui en parler. Grrr, j’y arriverais un jour, j’y arriverais !!
-Oui, c’est cela. Ensemble nous formons la « Oerphryne Familly » ! Je souris mais... ouai, moins exalté qu’avant. Je ne compte pas me laisser aller pour autant !
Elle termine son tour avec des tenues, et souriante je la regarde aller vers les cabines. J’ai tout juste le temps d’hocher la tête qu’elle y rentre... C’est... Sa va être une relation plus compliquée que je ne le pensais. On peu s’entendre, mais voilà, être amis... Non, je ne me laisserais pas abattre !
Toute seule je me redonne du courage et sautille sur place pour regonfler mon énergie, attirant un peu l’attention, mais pas plus que mon physique perturbant...
Soudain alors que je regarde la cabine, un bras passe autours de mon cou et je sens une autre main tâter mon fessier, je rougis et sursaute. Deux hommes qui... N’ont rien à faire dans un magasin pour fille (quoi moi ?) viennent me draguer, si ce n’est pas plus.
-Hey ma jolie, tu nous attendais ? Me dis celui qui m’a mis son bras autours du cou comme si on était pote.
J’inspire pour garder mon calme et tourne mon sourire radieux vers celui-ci alors que l’autre garde sa main sur mes fesses.
-Oui. L’imbécile sourit tout heureux, je lui fait signe de se pencher pour que je lui murmure quelque chose.
Le jeune homme n’hésite pas et se penche. J’agrippe alors son oreille et la tire vers le bas, la douleur le fait instinctivement se baisser pour l’éviter. Malheureusement mon genou atteins violement son nez et je crois même avoir entendu un bruit sourd. Il retombe en arrière se tenant le visage sous le regard méduser de son ami, je me retourne et gifle son camarade, le secouant. Il recule et avant qu’il ne se reprenne, je lui balance mon pied entre les jambes, le laissant K.O lui aussi.
Il eut alors un silence dans le magasin, les femmes n’arrivant pas à savoir si elles devaient approuver le fait que je me suis défendues ou être choquer de ma contre-attaque sans avoir prévenue ni tenter d’éviter que cela ne dégénère. Moi je reste planter face à la cabine, me contentant de demander à ce qu’on fasse venir la sécurité pour emmener les agresseurs agresser.
On ne peut pas dire que tu lui facilites la tâche. Elle qui voulait une amie, elle a très mal fait son choix. Mais tu l'as prévenue, d'une certaine manière. A aucun moment tu ne t'es montrée réellement sympathique avec elle. Pas plus que tu n'as sourit ou autre. Dès le début, elle savait à quoi s'en tenir. Et tu n'as pas l'intention de changer juste pour lui faire plaisir. Toi faire des efforts, ce serait bien mal te connaître. En tout cas, maintenant que tu es sortie de l'animalerie, rien ne t'oblige à jouer l'hybride parfaite.
Tu t'enfermes rapidement dans la cabine, posant tes achats dans un coin. Être seule ici te permet de réfléchir un peu. Tu en as besoin. Cette Ezra, elle te perturbe. Elle ne semble réellement pas méchante, bien au contraire. Joyeuse, souriante, un peu trop tactile peut-être. Mais tu n'as pas l'impression de sentir des arrières-pensées chez cette jeune femme. Alors qu'avec ton ancien maître, tu étais incapable de déterminer ce qu'il pensait. Là, elle semble juste agir sur le moment, sans réfléchir. Tu ne sais quoi penser de tout cela.
Bien sûr, tu devrais être ravie de sortir de l'animalerie. Quoique rester là-bas comme une plante verte était ton idée principale. Là, tu vas avoir de nouveaux vêtements, un toit sur la tête. Et une personne avec qui vivre. Tu devrais te satisfaire de ça. Et dans le fond, tu n'es pas totalement mécontente. Mais tu n'es pas certaine de bien t'acclimater à ta nouvelle vie. De t'habituer à la jeune femme. Malgré sa gentillesse apparente, tu as du mal à lui faire confiance. Tu as toujours peur qu'elle ne change d'un coup, révélant un mauvais côté. Et pour le tactile... Cette relation risque d'être difficile.
Finalement, tu essayes enfin une tenue. Un ensemble d'un pantalon en toile bleu, et une tunique d'un bleu plus foncé. Une fois enfilé, tu vérifies dans le miroir ce que ça donne. Tu jettes un œil à chaque parcelle de ta peau, pour vérifier que tout est couvert. Aucune de tes cicatrices n'est visible. Un bon début. Tu ne comptes pas lui parler de ça, encore moins lui montrer. Tu en as trop honte pour accepter que qui que ce soit les voit. Tu dois essayer chacune des tenues. Mais tu es à peu près sûre que toutes iront.
Une certaine agitation se fait entendre à l'extérieur. Perdue entre tes pensées et ton observation, tu n'as pas vraiment fait attention à ce qui se passe. Doucement, tu passes la tête hors de la cabine. Pour découvrir que Ezra a mis à terre deux hommes. Hommes qui n'auraient rien à faire ici, à moins d'accompagner une personne. Tu peux sans difficulté imaginer ce qui s'est passé. Ils ont approchés d'un peu trop près la jeune femme. Mais tout de même...
-C'est toi qui a fait ça ?
Tu es impressionnée, tu dois bien l'avouer. Une femme qui se défend seule contre deux hommes, ce n'est pas courant. Elle remonte légèrement dans ton estime. Elle a bien fait de ne pas se laisser faire. Même si tu restes surprise qu'elle ait réussi à faire ça seule. Tu restes la tête sortie le temps que la sécurité ne vienne chercher les deux hommes. Ensuite seulement, tu montres la tenue à Ezra. Répétant l'opération pour les autres. Son avis n'a pas réellement d'importance, mais tu lui donnes l'illusion.
-Tu es forte pour une jeune femme. Mais j'approuve l'attitude de ne pas se laisser faire.
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