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Utsukushi Neko Sekai
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[RP Neko/Maitre ;; Min. 200 mots ;; H/Ya/Yu autorisé (avec modération ♥)]
Aujourd’hui, était le grand jour ! Je devais m’installer et commencer mon service au Lucky Drink ! Oh, et puis rencontrer tout le gens avec qui j’allais travailler… Moi, nerveuse ? Pas du tout ! Oui, bon d’accord, un peu quand même. Je me demandais juste comment tout le monde allais réagir face à une hybride avec un physique comme le miens. Je sais que la chanteuse principale du cabaret était également une hybride, une corneille d’après mes souvenirs de ma conversation avec Christian. Cela faisait quelques minutes que j’étais plantée devant l’entrée du cabaret, la poignée une valise assez grosse imposante dans les mains. J’hésitais entre rentrer ou téléphoner à Christian. Car oui, même à la rue, j’avais trouvée quelques petits boulots pour garder mon portable, qui était quand même indispensable quand on cherchait un travail fixe : comment on pourrait me contacter sinon ? Je n’étais pas une poule sans cervelle moi monsieur. Bon, ça avait été difficile, mais j’avais réussie ! Et c’est peut-être grâce à ma détermination que j’étais ici, face à cet établissement ma fois très jolis, qui allais surement devenir un lieu où j’allais passer beaucoup de temps. Car après tout, en plus d’être mon lieu de travail, ça allais être également là où j’allais habiter ! Alors j’avais de bonnes raisons de stresser un peut, quand même… Non ? Je fixais le néon, qui semblait me demander quand j’allais enfin rentrer dans le cabaret, au lieu de faire la poule pétrifiée devant les phares d’une voiture.
Soufflant un bon coup, je serrai de plus belle la poignée de ma valise avant d’ouvrir la porte et d’entrer dans mon nouveau ‘nid’. Je devais avouer que c’était assez joli ! Et sacrément spacieux, plus que l’extérieur ne le laissais penser. La scène était assez grande pour une dizaine de personnes, ce qui était franchement impressionnant. La déco était sympa, les tables assez intimistes, le bar donnais envie de siroter un petit cocktail en profitant du spectacle… Mon nouveau patron avait un bon gout indéniable. C’était obligé, vus sa déco et qu’il m’avait engagée ! Je gloussais de ma bêtise, au centre du cabaret, seule et un peu perdue. Je repérais un papier sur le bar et m’en approchais doucement, le bruit des roulettes de ma valise atténué par la moquette qui jonchait le sol du cabaret. C’était assez agréable de ne pas entendre le bruit de mes talons, en plus ça empêchais surement les petits bruits pendant les spectacles. Personne n’y pensais à ça, donc ça montrait que Christian pensais vraiment à tout ! Un bon patron en somme ! Je prenais le papier, le lisais rapidement, comme il était assez court. « Empêchement, désolée. Moira sera là pour toi. A ce soir, C. ». Je souriais car même à l’écrit, cet homme semblait blasé au possible. Il faisait tout le temps la même tête, ce qui rendait parfois difficile de deviner à quoi il pouvait bien penser, appart à ses cocktails je veux dire.
Je reposais le papier sur le bar avant de m’asseoir sur un des hauts tabourets du bar, laissant ma valise à mes pieds en soupirant doucement. Je ne savais pas si je devais rester assise ou me balader pour essayer de trouver Moira, qui semblait être une de mes futures collègues. Chrichri m’avais dit que c’était une femme de caractère, avec qui je risquais de bien m’entendre apparemment. Je louchais sur un verre d’eau qui était à côté du mot, qui semblait être pour moi et buvais un peu avant de soupirer de plaisir. Il faisait assez chaud dehors, donc un rafraichissement n’était pas de refus. On avait beau être en plein dans l’après-midi, il n’y avait pas un chat dehors à cause de la chaleur étouffante, assez étonnante pour un mois d’octobre. Je me demandais où pouvais bien être allé le propriétaire du cabaret, avant de me rappeler qu’il m’avait dit qu’il allait souvent se réapprovisionner en alcool chez un de ses fournisseurs favoris et que ça pouvait durer quelques heures. Je me retrouvais donc là, assise toute seule, remuant doucement les pieds en attendant une femme que je ne connaissais pas. Tout ça me rendait légèrement nerveuse, tout de même. Changer de vie c’était pas facile, mais en plus quand on ne connaissait personne c’était intimidant.
J’étais plongée dans mes pensées, lorsque j’entendis le bruit caractéristique de talons derrière moi. Je me retournais pour voir une femme assez grande sur la scène. Je clignais doucement des yeux en la détaillais, curieuse. Cheveux courts et noir, des yeux d’un bleu lagon magnifique et un sourire en coin qui me disait d’avance qu’on allait bien s’entendre. Je descendais de mon perchoir, attrapant la poignée de ma valise, avant d’approcher de la scène où elle se tenait, doucement et avec mon sourire habituel. J’étais quelqu’un d’assez sociable, donc parler avec une inconnue ne me dérangeais pas. Mais parler à une inconnue qui allait faire partie intégrale de ma vie au travail c’était autre chose. Je remettais en place les plumes dans mes cheveux avant de m’arrêter devant la scène, levant la tête pour regarder la femme qui, je supposais, était Moira.
-Salut ! Je suis Goldie, la nouvelle serveuse et danseuse ou chanteuse si besoin. Je ne sais pas si Christian vous a parlé de moi… Mais comme il a laissé un mot, je suppose que oui. Vous êtes bien Moira ? On risque de se voir souvent, si on est collègues !
Je gloussais doucement, m’imaginant déjà en train de rouler des hanches en servant les clients qui regardaient cette femme sublime chanter. J’aimais déjà cet endroit, alors si en plus Moira était sympa, y’avais de forte chances que j’aime ma nouvelle vie ici.
Invité
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Mer 17 Oct - 16:29
Rencontre entre volatiles.Si je n'avais pas l'ombre d'une représentation aujourd'hui, cela restait un jour très spécial. Christian, notre cher patron en marbre, m'avait prévenu de l'arrivée d'une nouvelle venue dans le cabaret. S'il n'avait fait qu'une rapide présentation d'elle sans entrer dans les détails, j'avais retenu qu'elle allait s'entendre avec moi d'après lui. S'il avait oublié les émotions dans le vestiaire du cabaret, il fallait avouer que Christian était aussi doué pour faire des cocktails que pour cerner les gens du coin de l'œil. Il avait plus facilement vu en moi ma détermination à travailler que de vouloir savoir mon passé. Comme il aimait me dire, le passé des gens présents dans le Lucky Drink reste à la porte. Donc les douleurs de mon ancien métier ne faisaient pas exception. J'étais assise dans ma loge à ranger un peu le capharnaüm qui me servait de penderie avant de lever un sourcil, en constatant l'absence de l'une de mes robes. Soit Christian l'avait prise pour l'envoyer au pressing, ce qui voulait dire qu'il était bien chez lui, soit Vivienne me l'avait subtilisé la coquine. Je gloussais un peu devant l'absence de la robe avant de hausser les épaules en resserrant mon manteau. Je ne savais pas vraiment quand la nouvelle venue, allait pointer le bout de son nez, mais je savais que, quoi qu'elle puisse être, j'étais déjà bien curieuse. Je me fixais devant la glace avant de remettre en place mon bustier et l'une de mes mèches de cheveux. Ce n'était pas la Moira de la scène, mais ça suffirait pour un premier contact.
Je m'étirais les jambes en retenant un petit bâillement dans un son, tout sauf élégant. Je me relevais pour aller d'abord sous les combles du cabaret afin de déposer mes bas ainsi que les jarretelles de ma tenue d'hier, sachant que tôt ou tard, il allait falloir laver tout ça. Une fois chose faite, il ne me restait plus qu'à retirer tous ses vêtements et d'enfiler une de mes robes moulantes sans oublier ce fidèle manteau. Il ne m'avait quitté depuis le début que je l'avais eu à la maison close. Il était aussi bien un triste souvenir qu'une preuve que j'avais réussi à rebondir et avancer. Je soupirais en fixant le miroir particulièrement vieilli dans ma chambre avant de me rappeler qu'une nouvelle recrue allait arriver. J'étais chargé de l'accueillir, et quoi de mieux pour moi que de passer par la scène me direz-vous ? J'avais entendu un bruit de talon et je devinais qu'elle devait être arrivée. J'apparaissais sur la scène non sans poser les yeux sur la demoiselle, les mains sur les hanches, avec mon air de femme sensuelle de toujours. Je crois que je m'étais attendue à beaucoup, mais pas vraiment à ce genre de collègue. C'était rare de croiser des hybrides dont l'hybridation était encore plus visible que moi. J'avais envie de plaindre cette petite chérie avec son bec. Je devinais sans même lui avoir encore parlé que la vie ne devait pas avoir été facile pour elle avec ça. Enfin ça, avec son bec. Elle n'y pouvait sans doute pas grand-chose, mais si je voyais juste elle ne devait pas vraiment vivre bien avec. Je haussais un sourcil en me rappelant que lui parler était tout de même mieux que de faire des hypothèses.
Je m'apprêtais donc à quitter la scène pour la rejoindre, mais elle finissait par s'approcher, valise à la main. Je l'écoutais sagement avant de glousser derrière le col de mon manteau. Elle avait l'air particulièrement nerveuse et j'allais devoir la détendre avant qu'elle n'explose sous toute la pression qu'elle se mettait. Quoi de mieux donc que de l'attraper par le bras pour la faire venir avec moi sur scène, très près de moi. Je lui faisais un clin d'œil et un sourire avec tendresse. « Tu peux directement me tutoyer, voir m'appeler Moira, ma jolie. On va être collègue, alors autant directement briser la glace entre toi et moi. Tu as bien dit chanteuse c'est bien ça ? Tu sais que j'aimerais bien faire plus souvent des duos ? Si ça te tentes, je crois que tu vas rapidement rejoindre le petit groupe du cabaret quand tu auras l'envie, mais d'abord, il serait peut-être judicieux que je te montre les chambres non ? Tu ne vas pas porter ta valise indéfiniment ma chérie. » Je lui prenais doucement des mains sa valise en la guidant derrière la scène puis vers les marches amenant aux combles. Tout ça sans perdre mon sourire, ni la perdre du regard. Je laissais mes talons résonner sur le sol sans vraiment y faire attention. Je me demandais tellement de choses sur cette jolie Goldie, même si je retenais mes questions pour ne pas l'accabler d'interrogation alors qu'elle venait d'arriver depuis peu. Elle respirait encore un peu le stress du premier jour de travail et je ne la comprenais que trop bien. J'avais moi aussi eu cette boule au ventre quand j'avais dû me proposer avec l'aide de Carl et Vivienne, auprès de Christian. J'étais également curieuse de savoir comment notre patron préféré l'avait repéré. Il avait l'œil pour trouver des artistes et de la main d'œuvre sortant de l'ordinaire. Il n'y avait qu'à voir le groupe de musique, les employés du Lycky Drink en général. Personne n'était considéré comme ordinaire, à sa façon.
Elle ne semblait pas du tout étonnée de moi voir ici. Donc elle semblait au courant qu’elle devait m’accueillir. Mais apparemment c’était plus mon physique qui l’étonnait… Je me grattais doucement la joue, sentant son regard sur ce qui me complexait intérieurement : mon bec. Génial, je savais qu’il était voyant, étant en plein milieu de mon visage, mais je ne pensais pas que c’était la première chose que cette femme, ma future collègue, fixerais chez moi. Je clignais doucement des yeux en la regardant descendre de la scène en gloussant, me demandant si j’avais fait ou dit quelque chose de drôle ou un truc du genre. J’écarquillais les yeux lorsqu’elle me prit par le bras comme si on se connaissait depuis des années, et pas depuis quelques minutes. Mais je les écarquillais encore plus quand elle me colla contre elle sur scène avant de me faire un clin d’œil en souriant. Ok, je notais donc que cette femme était… Très tactile. Je me mettais à glousser face à cette femme quand même surprenante. Je ne m’étais pas du tout attendue à ce que cette première rencontre se passe aussi bien. Je l’écoutais en haussant un sourcil, assez étonnée qu’elle dise déjà vouloir un duo avec moi, sans jamais m’avoir entendue chanter une seule fois. Mais je hochais la tête à sa proposition de visiter les chambres, histoire de voir dans quoi j’allais vivre désormais.
-Oh, vous… Tu sais, Christian m’a surtout engagé pour aider pour le service le soir, moins pour chanter et danser sur scène. Et puis, peut-être que je suis une mauvaise chanteuse, qui sais ! Je ferrais fuir les clients un par un, jusqu’à ce que la salle soit vide. Ce qui serait fortement dommage pour un si bel endroit, n’est-ce pas ?
Je la laissais prendre ma valise, sachant d’avance qu’elle n’était pas extrêmement lourde, enfin moins que ma tête qui était pleine de souvenirs. Pas toujours joyeux, mais je devais faire avec, donc bon. Je la suivais calmement, laissant le bruit de nos talons respectifs résonner en observant mon nouvel environnement. J’était assez contente de constater que les chambres étaient à l’étage, ce qui devais empêcher que les clients s’égarent ‘sans faire exprès’ jusqu’aux endroits personnels du… Bah du personnel. Je souriais de ma bêtise toute seule avant de rentrer dans la chambre, avec un coup d’œil appréciateur. Bon, je m’attendais pas à avoir une chambre à moi toute seule : enfin si en fait, vue que c’était ce que Christian m’avais dit. Mais j’allais pas faire ma fine bec. Un toit, un travail, un salaire, j’allais pas en plus réclamer à mon patron un endroit rien qu’à moi. Je m’asseyais à côté de ma valise, testant le matelas en gloussant. C’était bien mieux que de vivre dans la rue ! Je regardais Moira en souriant.
-Oh, j’ai l’habitude de partager ma chambre, dans la rue on n’a pas vraiment le choix ! Et certains ne font pas que ronfler. Et puis, comparer au squat, ici c’est vraiment un palace. Je dois avouer qu’au départ j’avais pris Christian pour… Un recruteur de prostitués.
J’avais fini ma phrase en chuchotant, avant de rire. Il fallait avouer que quand quelqu’un avec l’air blasé de Christian venant vous voir pour vous proposer du travail, de but en blanc, on ne pensait pas tout de suite à devenir serveuse ou quelque chose dans le genre. Je croisais doucement les jambes, regardant les murs avant de refixer ma nouvelle voisine de chambre.
-Si tu as des questions, je t’en prie, tu peux me les poser. Après tout, on va vivre ensemble non ? Autant que les choses soient claires dès le départ ! Pareil, s’il y a des règles : le réveil, un couvre-feu, les garçons… J’apprends très vite, donc autant tout me dire d’un coup ! En revanche… J’ai une question : on peut personnaliser notre côté de la chambre ? Parce que les murs nue… ça me fou le cafard.
Je riais doucement en agitant mon pied qui pendait dans le vide. J’allais droit au but avec Moira, mais j’aimerais qu’entre nous, les choses soient claires dès le début. Baser une relation potentiellement amicale sur des doutes, c’était très peut pour moi.
Invité
Invité
Mar 4 Déc - 15:52
Rencontre entre volatiles.Elle ne manquait pas de franchise et allait droit au but. Elle me plaisait vraiment beaucoup. En l'écoutant, je nous trouvais un énième point commun : elle avait aussi connu la misère de la rue. Je me doutais qu'elle ne devait pas être passée par la case maison close tout ne ne pouvant pas le confirmer moi-même. J'avançais pour venir à mon tour m'asseoir sur son lit. Je me sentais toujours l'envie d'être proche des gens, des filles principalement et pour ce qui était de Goldie, c'était encore plus flagrant. Non sans vouloir dormir dans son lit, ce qui aurait été très étrange et cocasse pour nous deux. J'avais envie de la soutenir quoi qu'elle endure. Je ne savais pas si ça me ressemblait, mais l'envie était bien là. Sa remarque sur Christian m'arrachait facilement un rire tout ce qu'il y avait de sincère. Il fallait avouer que ce grand échalas avait une étrange allure au premier regard. Il était des plus charmants dans le fond et attentionné, mais avec son visage expressif, c'était déroutant parfois. Je secouais la tête en posant ma main brièvement sur la cuisse de Goldie. Je devais un peu freiner mon côté tactile, afin de ne pas trop la brusquer. Sinon elle allait finir par partir en courant, cette petite chérie. Je posais malgré tout, ma main dans son dos comme pour lui offrir un geste de soutien et mon sourire de toujours.
« Je pense que personne ne te blâmera et surtout pas moi, que tu aies pensé ça de lui. Il a des allures qui font s'interroger. Même si tu découvriras bien vite que sous ses traits sans émotion, il regorge de gentillesse quand il veut. Je pense que la plupart des employés du cabaret ont été sauvés par Christian, de quelque manière que ce soit. Il ne parle pas de ce qu'il pense du monde et des hybrides, mais je le pense de notre côté.» Je lui faisais un petit clin d'œil avant de me diriger vers le porte-manteau pour poser mon manteau avant de me tourner vers mon armoire de fortune. J'en sortais alors des sucreries. Je ne savais pas vraiment si cette demoiselle aimait ou non grignoter en dehors des repas, mais un peu de sucre n'allait pas nous faire du mal après tout. Je retournais bien vite m'asseoir près d'elle avant d'ouvrir la boîte et lui tendre avec gentillesse. En me connaissant, c'était une preuve de ma confiance et de ma sympathie, car on ne grignotait pas impunément le petit péché mignon de Moira, la diva. Je gloussais au fait que j'en faisais toujours trop tout en reposant mes yeux sur Goldie. J'essayais au maximum de ne pas insister du regard sur son bec en ayant compris que cela la gênait sans doute autant que quand on voyait mes ailes. À la différence que j'avais la chance de pouvoir mes cacher. Je soupirais, avant de revenir à la réalité. Elle m'avait proposé de lui poser des questions alors autant ne pas me gêner et aussi la rassurer vis-à-vis de la chambre et de sa personnalisation.