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Utsukushi Neko Sekai
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[RP Neko/Maitre ;; Min. 200 mots ;; H/Ya/Yu autorisé (avec modération ♥)]
Hinami... Hinami... Cette fille me restait dans la tête, j'avais envie de la revoir, d'en savoir plus sur elle, mais... Je me demandais si c'était une bonne idée, sa bague m'avait mis bien dans l'embarras, surtout qu'elle disait malgré tout être « libre » ou... Elle était polygame ? Argh... Bon d'accord, j'étais pas forcément mieux d'une certaine manière.
A trop me tirer les oreilles, je me décidais finalement à y aller, et puis je verrais sur place le fond de cette affaire ! Euphemia était dans l'appartement et ne m'avait toujours pas vue en garçon, donc je me préparais une version discrète afin de passer inaperçue avant de me stopper... Sortir ok, mais lorsque j'allais rentrer ? Bon, bah je sortais en tenue rose avec de quoi me changer ailleurs. Je lui laissais un mot ne voulant pas la déranger et m'en alla.
Et depuis le temps, j'avais trouvé la parfaite manière de se changer easy ! Des vêtements à doubles sens, doubles coloris, rouge pâle intérieur et noire à l'extérieur ou inversement du coup. Un long manteau ainsi, un jean bleu marine et un t-shirt blanc. Une fois en dehors, dans une ruelle, je changeais mes cheveux en noire, mes iris et hop parti en direction de ce quartier qui me titillait temps... Alors, qu'allais-je y découvrir ?
En marchant jusqu'à la-bas, je me faisais mille-et-un film, un kidnapping, une caméra-caché, ou bien encore le fait qu'Hinami m'ai oublié... Sa faisait tout de même un peu plus de deux semaines quoi !
Genre elle me claque la porte à la gueule ? Je commençais à divaguer et j'hésitais de plus en plus à m'y rendre. Avant de me dire, que j'allais juste faire genre, je passe devant incognito et regarder par la fenêtre comme un espion avant de me décider à quoi que ce soit et puis... Elle est peut-être pas là !
Voilà ! J'allais faire ainsi, je mis les mains dans mes poches et sifflotant avant de passer... et repasser, impossible de trouver la maison, il y avait bien un trou, mais c'était des débris d'une ancienne bâtisse cramer par un … incendie.
Je me postais devant le portail ouvrant de grand yeux inquiets. Putain et s'il lui était arrivée quelque chose entre temps ?! Une boule monta dans mon ventre, depuis quand ceci était en cendre ?! Hinami était-elle encore en vie ?! Pris de panique, j'ouvrais le portail et rentra dans la propriété. Je me retenais de courir, mais en même temps, je sentais mes jambes trembler sous mon poid. Finalement je fini par me poser contre un mur. Le corps tremblant qu'était-il arrivé ?!
Ezra … Cette homme peu commun avec qui je n’avais passer que quelques heures. Pourtant, il m’avait beaucoup marqué et même un peu influencer.
Depuis que je l’avais vu, j’avais décidé pour avoir plus de chance de le contacter et de le revoir … De demander à Heaven si je pouvais avoir un téléphone. Je ne m’étais pas arrêter là. Pour pouvoir rembourser les jeux qu’il m’avait payé, je lui avais aussi demander de l’argent de poche.
Je n’aimais pas beaucoup demander mais je voulais avoir plus de chance … Pourquoi ? Je ne sais pas. Il m’a marqué c’est tout. J’attendais avec hâte de le revoir à ma maison … Enfin mon ancienne maison … Je lui avais bien dit non ? Je ne suis plus sûr de lui avoir dit qu’elle était brûlée … Oups !
Je m’y rendais donc tous les jours comme à mon habitude mais une semaine passait sans aucune trace de lui. Une deuxièmes puis je me demandais s’il viendrait un jour.
Il est vrai que je n’avais aucune certitude et je ne savais plus si je pouvais encore y croire.
Aujourd’hui, je me rendis encore à ma maison en regardant ma petite carte. Je devrais marquer ma nouvelle demeure pour être sûr de rentrer sans problème tout de même.
D’ici peu, ce lieu qui représentais ce qu’il me restait de mon ancienne vie allait disparaitre. Il allait laisser place à une autre maison pour que d’autre soit heureux. Je ne voulais pas mais un simple hybride sans pouvoir comme moi n’y peut rien.
Je marchais donc dans les décombre pour chercher comme à mon habitude ce qu’il pouvait rester d’avant. Pour cela, je n’avais pas la meilleure des tenus mais j’étais tout de même en short couleur gris foncé et d’un haut bleu marine.
C’est souvent que je me blessais un peu, aujourd’hui, j’étais griffer sur toute mes jambes en ayant trébucher. J’avais trouvé cacher sous des décombre une boité en métal. Je la connaissais, elle était à mes parents. J’essayais de l’attraper mais n’arrivait pas à soulever ce qui était au déçu alors je passais mes bras et réussi à l’avoir en me coupant bien le bras.
Je regardais la boîte un peu dans mes pensées quand j’entendis mon prénom. Je connaissais cette voix et cette odeur … Je me mis à courir vers la voix et sourit en voyant Ezra. Je lui sautai déçu en lâchant ma boite. Pourquoi ? Je ne sais pas j’étais juste contente de le revoir.
-Ezra ! Tu es venu au final …
Je le regardais et vit après coup qu’il n’allait pas si bien. Oh non qu’est-ce qu’il a ? C’est bizarre.
-Ça ne va pas ? Qu’est-ce qu’il y a ?
Dis-je sans avoir réaliser ce que j’avais osé faire moi ! J’avais agis sur le coup sans réfléchir et ne m’en étais même pas rendu compte. C’est seulement quand je me calmais un peu que je rougis en comprenant.
-Désoler … J’étais juste très contente … Désoler *baisse les oreilles et la queue mais ne bouge pas*
ft. Ezra Opal
Invité
Invité
Lun 5 Nov - 18:26
I cry for you Ezra & Hinami
Cette maison détruite, en cendre... Je n'ai pas connus de mort de ce genre, mais j'ai déjà eu suffisamment de membre parti pour connaître la douleur, alors je commence à paniquer, et si... Si elle était morte ? Entre ses semaines ? Pire ! Le même jour que nous nous étions connus !
Je tremble, j'ai du mal à respirer, pourtant je cris son nom comme je peux, ah ah... je me suis peut-être même trompé d'endroit !
Mais cela n'empêche pas mon cœur de se serrer et mon ventre de s'écraser comme mis sous un compresseur, je me sens mal, j'ai envie de vomir, ma vue se trouble quand soudain un rayon de soleil balance mon prénom et me saute dessus.
Heureusement que le mur m'empêcha de rouler en arrière, tant j'étais peu préparer. Je reconnais Hinami et le soudain soulagement, commence à me faire pleurer, j'entends vaguement ce qu'elle dit, je peine à reprendre mon souffle, mais je vais mieux. Je la sers fortement contre moi, pleurant son prénom avant de lentement glisser contre le mur, mes jambes ne me tenant plus. Mais je ne la lâche pas, comme si elle risquait de disparaître si je le faisais.
Mais pendant un moment je pleure doucement, murmurant encore et encore son prénom. Je ne sais pas combien de temps... Une minute ? Deux ? Cinq Peut-être. Cependant, j'arrive enfin à me calmer, à retrouver un souffle plus calme, je garde les yeux fermés, caressant sa chevelure, je rigole d'embarras avant de la relâcher.
-Pardon, je... Lorsque j'ai vue la maison dans un tel état, j'ai crus que tu étais... Le mot me couple le souffle, je le murmure toute juste. Morte. Puis je rigole, plus à la manière d'Erza, que d'Ezra, un peu comédie pour me redonner de la force.
Je me relève difficilement, mes jambes sont encore un peu flageolante, mais le mur m'aide bien, je lui souris et lui tend la main, pour la faire se relever. Je l'observe et fronce les sourcils en voyant son état, des cendres sur elle, des coupures.
-Mais qu'est-ce que tu t'ai fait ? Je tente alors une petite blague pour changer l'ambiance étrange et le malaise de ce qu'il vient de se passer. Tu as comme même pas chercher des zombies ?
Je la regarde en fronçant les sourcils avant de lui faire une petite tape sur la tête.
-C'est dangereux ici, pourquoi m'as tu demandé de venir ici alors ? Lui demandais-je regardant autours la misère d'un triste accident.
Je suis enfin calme, mais mon cœur palpite encore... Elle m'a fait une de ses peurs ! Et ce, même si nous nous connaissons à peine. Je m'accroche vite dis donc !
J’étais inquiété de ne pas voir Ezra mais quand je l’avais entendu m’appeler j’étais tellement contente que je ne pus m’empêcher de courir vers lui et de lui sauter dessus.
J’avais remarqué après qu’il n’allait pas très bien. Il me serrait contre lui en répétant mon prénom. Je l’entendais pleurer, je lui avais demander ce qui n’allait pas et attendis sa réponse en me laissant faire.
Quand il se senti mieux, il me répondit. Il était inquiet pour moi, j’avais donc bien oublié de lui dire. Je ne disais rien et le regardais juste. Quand il me tendit la main pour m’aider à me lever après qu’il se soit lever. Je la pris et me relevais.
Je vis à son regard qu’il n’était pas contente de me voir dans un état pareil. Je me regardais et rigolais un peu. Il est vrai que j’étais dans un sacré état.
-Non je cherchais juste ce qui peut encore servir …
Il me demandait pourquoi je l’avais fait venir ici. Je baissais la tête, il n’était pas content. Je me retournais et retournais chercher la boite que j’avais laissé tomber en courant vers lui.
-C’est juste que je pensais que tu voudrais en apprendre plus sur ma bague. Je sais que tu avais trouvé sa bizarre. La réponse est ici c’est tout. Et puis pour mon état … Je voulais juste chercher ce qu’ils leur appartenaient encore. Tout va être démolie pour laisser place à une autre maison.
Je me tournais de nouveau vers lui. Je m’avançais vers lui, et le regardais. J’enlevais mon collier avec ma bague.
-Celui qui me l’a offert est mort ici. C’était le jour de l’incendie, il me la donner et m’a ordonné de partir. C’était mon premier maitre … Voilà pourquoi je disais que tu as le champ libre. Il n’est plus là, je sais que je ne devrais pas la garder comme sa … Mais c’est plus fort que moi, c’est comme mes chaines … C’est ce qu’il me reste d’eux …
Je baissais la tête et ouvrit la boite ayant peur de sa réaction. Je vis dedans une lettre et une clé. Je reconnue l’écriture de ma maman et pris la lettre pour la lire.
« Chère Hina, tu es ma fille et je te connais mieux que n’importe qui. Je sais que tu n’enlèveras jamais ses chaines à tes pieds peu importe ce qu’il se passera. Voilà pourquoi j’ai décidé de t’écrire cette lettre car je sais que tu m’écoute. Et j’ai demandé d’avoir les clés pour pouvoir de les donner le jour où tu partiras de la maison. Ma petite Hina, dans le monde extérieur, il est mieux de ne pas avoir ses chaines. Si tu veux te faire des amis, il serait mieux que tu ne les portes pas. Cela serais aussi mieux vu pour Yunan, on ne pensera pas des choses méchantes sur lui. Alors le jour où tu seras prête, tu pourras te libérer de ses chaines. »
Je me mis à pleurer, je ne pensais pas ça … Je pris les clés et regardais Ezra. Je ne savais pas quoi faire …
-Dit Ezra … Mes chaines tu en pense quoi toi ?
S’il pense que c’est étrange, je pense que je les enlèverais …
ft. Ezra Opal
Invité
Invité
Dim 11 Nov - 12:34
Your past Ezra & Hinami
Je ne comprenais pas pourquoi Hinami était ici, que faisait-elle dans ces lieux ? Qu'est-ce que cette maison représentait pour elle ? C'était à cette étrange question que j'espérais avoir une réponse, même si j'en avais vaguement idée avec sa bague... Ce qui m'aurait fait grogner, si imaginer que la personne n'était plus là. Son fiancé je crois.
Elle m'expliqua chercher ce qui pouvait servir... Sauf que dis comme ça, on penserait à une voleuse, génial ! La fait que je la gronde lui déplaisa, évidemment, de la même manière que cela ne me plaisait guère de la voir dans un tel état. Et je n'avais rien sur moi pour ses plaies il fallait pourtant s'en occuper, que cela ne s'infecte pas !
Elle alla chercher une boite que, vue l'état, avait du rester ici, cela lui appartenait-il ? « La réponse est ici » ? Une vie détruite pus-je comprendre, mais cela n'expliquait pas le lien précis entre elle et... Bon en fait je le savais pas ne voulait pas le dire à haute voix. La démolition de la maison la peinait, je le comprenais, mais... Il fallait aussi aller de l'avant et elle ne semblait pas prête à cela.
Finalement, elle revint et me remontra le collier, me donnant enfin son histoire. Je commençais à entrevoir la scène, son maître bloquer sous des décombres, il l'aimait et lui demandait de vivre... Elle culpabilisait de ses chaînes... du passée.
Je baissais les yeux, triste pour elle, pour ce qu'elle avait vécu, ne trouvant rien à dire sur le coup. Ce sentiment... Cela lui appartenait. Elle ouvrit par la suite la boite, sortant une lèvre au teint un peu jaune, sûrement par la fumée, mais en bon état, avec une clé, celle de son cœur... Je parle métaphorique, avec ces chaînes.
Je me reculas pour lui laisser plus d'espace et lire en silence. C'était émouvant, quoi que fut le contenu. Elle se mit à pleurer, avant de me regarder, pleine de question. Je vins alors la prendre dans mes bras, comme pour la réconforter. J'avais compris que la clé était bien celle de sa chaîne.
-Pour moi, cette chaîne représente ton passé, un passé auquel tu attache beaucoup de sentiment. Un passé douloureux, mais aussi joyeux qui c'est terminé brutalement... Ces chaînes te rappels ton passé, ce que tu as eu, ce que tu as perdue... Je lui fit alors un baiser au front, caressant son dos avec une tendresse qui se voulait réconfortante. Je n'ai pas à te dire ce que tu dois faire, je ne te dirais pas non plus d'oublier ton passé, c'est impossible et cela serait une faute. Car il te représente toi, ce que tu es devenue. Tu dois l'accepter et lorsque tu seras prête, avancer, alors cette chaîne ne représentera plus qu'un accessoire et non ton passé, tu pourras choisir plus librement de la garder pour le style ou de l'enlever car cela ne te ressemble plus. Car tu as changé, que tu n'es plus la même et que tu es prête à t'ouvrir à un nouvel avenir.
De mon autre main de libre, je caressais sa chevelure, me remémorant moi-aussi mes nombreux aller au cimetière, nous étions une grande famille et nous étions tous unis... ce qui impliquait aussi de souffrir plus souvent, mais aussi de tous nous soutenir les uns les autres, c'est ce qui comptait le plus après l'héritage transmis. En repensant à sa, j'en eus une petite larme. Je comprenais un peu son ressenti, mais chacun le vivait différemment. Il lui faudrait peut-être encore du temps et... La plaie n'est jamais totalement refermer, parfois comme ici, des traces de notre passé vienne nous effleurer, il fallait l'accepter afin de ne pas replonger dans la tourmente de l'oubli.
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