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Les flammes cachent une belle surprise - Feat Diana la belle ~ ♥ [+18]

Anonymous





Invité
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Jeu 28 Sep - 18:41
Les flammes cachent une belle surpriseDiana & JavierLe réveil avait été aussi difficile que la soirée de la veille pour moi, mais le travail m'appelle, je dois y répondre. Comme si les interventions se ressemblaient, j'étais encore une fois envoyé sur un incendie, mais cette fois de forêt. J'en aurais mis ma main au feu qu'un cabron d'humain avait encore une l'idée de se faire un feu dans un campement avant de partir comme un idiota. Ce n'était pas comme si la moitié du bois de Nekai était remplie de panneau indiquant que la cigarette et les feux sauvages étaient interdits. Encore une raison de plus de vouloir faire de ses loco d'humains des cendres. J'avais beau en côtoyer, travailler avec certains, ça ne m'empêchait pas de vouloir en tuer un bon paquet à tour de bras. Je soupirais dans le camion, secouais par les cahots de la route avant que nous nous garions non loin de la forêt. D'ici, on pouvait déjà voir la fumée de l'incendie ainsi que sentir l'odeur de brûlé. « Javier, tu passes devant comme d'hab' » « Si John, j'ouvre la voie, toujours préférable amigo. » C'était un des avantages d'être un enfant du feu, une salamandra comme disaient mes ancêtres. On me voyait souvent comme un petit caïd tatoué, qui faisait peur, mais j'étais plus. Chaque tatouage avait son sens, chaque écriture, son importance. Personne n'avait jamais osé m'approcher et donc de prendre le temps de comprendre tout ça et tant pis. Si Maria avait pu expliquer à tous ces humains idiots et agressifs que je suis un ange enflammé, il aurait pu le comprendre, mais à la place, il était plus facile de casser les hybrides sous sa botte. Sauf qu'on n'écrasait pas Javier aussi facilement. Le dernier à avoir essayé, s'était retrouvé en tas de cendres et son voisin avec un trou dans l'abdomen. Ils rigolaient de moi, moi, je ne rigolais pas.

J'avançais d'un pas calme en essayant de pousser un peu les branchages qui avaient fini par s'accumuler sous le feu. Tout n'était que bois carbonisé, feuilles mortes, mais je voyais quelque chose au loin. C'était sans doute l'épicentre de ce feu qui prenait place de plus en plus. Au fil de ma progression non sans entendre les collègues se disperser pour éteindre les flammes encore présentes en contre bas du feu, je progressais donc vers son centre. La chaleur avait fini par augmenter énormément me poussant à ôter mon casque et cette fichue combinaison simplement au niveau du cou. J'adorais ce boulot, mais bon sens quel bastardo avait eu l'idée d'en faire des aussi moulantes et étouffante. Je finissais par tomber sur des sacs à dos ainsi qu'une paire de basket. Bon, au moins il était clair que quelle que soit l'origine de l'incendie, il avait un rapport avec des randonneurs du dimanche ou des faux baroudeurs. À croire que les humains adoraient me mettre en rage le plus souvent possible et prouver combien ils leur manquaient des neurones. Je relâchais le sac en grognant avant de le jeter vers le bas de la pente que j'avais arpenté sans trop de soucis. Je me doutais qu'un des collègues, resté en arrière au camion finirait par le voir. Un mur de flamme finissait par se dresser devant moi, ce qui avait tout pour faire reculer la plupart des pompiers avec qui je travaillais, sauf moi. Je passais donc au travers du mur de flamme avant de voir une silhouette sans doute, inconsciente. Merda il ne manquait plus que ça, quelqu'un de pris dans ce merdier incandescent.

J'approchais rapidement avant de voir que sa tenue faite en…Hoja. Je passais sur le fait que j'aurais plutôt vu ça sur un arbre et non sur une femme si… hermoso et endormi. Je tapotais sur sa joue en me mettant à genoux non sans prendre son pouls. Elle ne semblait pas morte, heureusement vu la femme sublime que j'avais devant moi. Je tentais de l'appeler. « Seniora, vous m'entendez ? Je m'appelle Javier, je vais vous sortir de là. » Aucune réponse merda, mais bon, je devais quand même la sortir de là si je ne voulais pas qu'elle succombe par la fumée et la chaleur des flammes. Je n'étais pas du genre à prendre une femme si hermoso, mais pour le coup, je me faisais violence pour l'emmener plus loin, dans une partie plus calme du bois. Je n'étais pas un grand randonneur, mais je la connaissais pour y avoir séché quelques humains. Nous étions donc près de la rivière et en prenant un peu d'eau, je mouillais son visage, mais pas de réaction. Santa madre, j'allais devoir lui faire du bouche-à-bouche, quel cabron je faisais, de ne pas y avoir pensé avant. J'approchais mon visage de cette pelirojja très jolie avant de poser mes lèvres sur les siennes pour entamer le bouche-à-bouche. Cela durait sans doute quelques minutes avant de sentir sa main sur ma nuque en prolongeant plus ce bouche-à-bouche en baiser. Maldita sea si j'avais prévu ça. Je reculais le visage un instant pour la regarder. « Soit j'ai rêvé soit vous avez plutôt bien aimé mon sauvetage. Vous vous sentez comment ? Je m'appelle Javier, je l'ai déjà dit, mais vous étiez inconsciente. » Je finissais par la reposer contre ma cuisse en ouvrant le haut de mon uniforme pour dévoiler ma veste du soir, pour aller prier, même si je pensais pouvoir reporter cela à demain.


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Dim 1 Oct - 16:45
Les flammes cachent une belle surprise

feat. Javier




J’avais passé une grande partie de la nuit à penser à cet humain près de chez moi. En plus il avait attaqué Marty sans aucune raison… Il n’avait pas l’air d’être un chasseur, mais je me méfiais quand même… En plus, si c’était un randonneur, il y avait de forte chance qu’il soit venus avec des amis à lui et qu’ils décident de faire un feu de camp même si c’est bien dit partout que c’est interdit. Enfin, avec toutes ces pensées, j’avais à peines dormies quatre heures, ce qui n’était pas top je dois l’avouer. Mais bon, j’étais habituée, quand même depuis le temps. Je me levais après avoir décidée d’aller vérifier si l’humain d’hier soir allait bien, quand même. Histoire d’avoir la conscience tranquille, je n’aimerais pas avoir la mort de quelqu’un sur les épaules… J’en profiterais même pour prendre mon bain tiens ! Je sortais donc de ma grotte, faisant bien attention à cacher l’entrée pour éviter que si des humains passent par-là, y entre et dépouille le peu d’affaire que j’avais. Parce qu’après tout, tout ce à quoi je tenais était là-dedans : les portraits de ma famille fait par ma mère, l’arc de mon père, le livre préféré de ma sœur… Je secouais doucement la tête pour ne plus penser à tout ça, me mettant en route vers la rivière en silence et discrètement pour ne pas me faire repérer si les amis de l’humain étaient là.

Arrivée à la rivière, je penchais la tête de derrière un arbre, surprise de ne plus voir l’humain que j’avais attaché hier avec Marty. Il semblerait donc que quelqu’un l’ai libéré, donc je supposais qu’il allait bien. Mais… Je voulais vérifier, alors je suivais les traces pas très discrètes qu’ils avaient laissées, jusqu’à arriver à une sorte de campement en pleine forêt, avec un feu au milieu. Je fronçais les sourcils, pas vraiment ravie de constater qu’ils étaient tellement novices que rien  ne pouvait empêcher le feu de sortir de son foyer et de se propager dans toute la forêt. Est-ce qu’ils se rendaient compte qu’ils mettaient en danger des dizaines de plantes et d’animaux avec leur satané feu ? J’avançais doucement vers eux, pesant le pour et le contre sur ce que je voulais faire. Après tout, leur apprendre les bases améliorerait peut-être la prévention sur les feux de forêt… ? Du coup je rentrais dans leur champ de vision, souriant doucement. Avant que le garçon d’hier se mette à hurler en me voyant, disant que c’était moi qui l’avais attaché hier. Je n’ai pas le temps de dire un seul mot que je vois les quatre humains se lever précipitamment, l’un d’entre eux shootant dans le feu et faisant sortir une braise. Ils se rapprochent de moi, assez mécontents de me voir débarquer apparemment… Mais ils n’ont pas vraiment le temps de me faire quoi que ce soit que j’ai chaud d’un seul coup et je vois des flammes monter dans un arbre. J’ouvre grand les yeux, ne faisant pas attentions aux humains qui se sauvent en courant, je suis paralysée devant ce spectacle, moi qui avais justement peur que cela arrive…

Je vois le feu se propager sans vraiment comprendre tout de suite l’impact de ma paralysie. Je reprends mes esprits quelques secondes après, et je me mets à courir  mais le feu me rattrape rapidement, m’encerclant et je me mets à tousser. Je tombes par terre, trébuchant sur un sac qui traînait et je rampe comme je peux, essayant d’échapper aux flammes, en vain. Je sens mes poumons me brûler, mes yeux pleurer et ma peau verdir à vue d’œil avant de sombrer dans le noir totale, en plein milieux des flammes. Je ne sais pas combien de temps je reste allonger par terre, les flammes ravageant ma maison, brûlant les plantes sur son passage, mais je reprends légèrement conscience lorsque je sens de l’eau couler sur moi, me faisant un bien fou car je mourrais de chaud. Mais je reprenais vraiment conscience en sentant des lèvres se poser sur les miennes. C’était doux, chaud… J’avais oublié ce que c’était d’embrasser quelqu’un, depuis le temps que je suis seule. Par reflexe autant que par envie, je passais une main sur le cou de la personne qui me faisait surement un bouche à bouche et le transformais en baiser. J’ouvrais les yeux doucement lorsque les lèvres se séparèrent des miennes, étonnée de voir que celui que je venais d’embrasser avait une tête remplie de tatouages, mais étonnement cela lui allait bien. Je riais quelques secondes à sa phrase avant de me mettre à tousser, essayant de me lever en prenant doucement appuis sur le bras de l’homme. Je retenais son nom, à l’accent étranger, et je le regardais avec un petit sourire en coin.

-Diana, enchantée et merci, pour le sauvetage. Je ne m’excuserais pas pour le baiser, c’était… Agréable. Et… Si je vais bien… ? Je… Je ne sais pas trop, j’ai juste mal… Là…

Je mettais la main sur mon buste, où mes poumons me brûlaient encore un peu. Je regardais mes mains, plus verte que jamais mais je voyais que ma peau commençais à reprendre un peu de sa couleur naturelle là où le beau Javier avait arrosé. Je me dirigeais vers la rivière, chancelante, pour me réhydrater, avant de rentrer doucement dans l’eau en soupirant de plaisir. Je me tournais ensuite vers l’homme, le regardant doucement. Il était pas mal, franchement, même si je ne pense pas qu’un costume aussi classe soit une tenue appropriée pour la forêt, elle lui allait vraiment bien… Je secouais intérieurement la tête, me disant que ce n’était pas vraiment le moment pour mater quelqu’un, surtout qu’il m’avait sauvé. Puis je me rappelais que je n’étais peut-être pas la seule à avoir été prise dans les flammes.

-Il y avait quatre humains, qui campaient… Ils sont en sécurité ? Même si c’est leur feu de camp qui à causer ce… Ce massacre de plantes, se serait dommage que cela cause des morts.

Je jetais un coup d’œil aux alentour en restant dans l’eau, me demandant si ma ‘maison’ avait brûlée elle aussi. J’espérais que non, car les souvenirs qu’il y avait dedans m’était très précieux… Je me remis à tousser, me mettant à genou dans l’eau car cela me faisait assez mal. Mais je me rassurais un peu en voyant ma peau commencer à retrouver sa couleur naturelle. Je jetais un coup d’œil à Javier, espérant qu’il ne paniquera pas de voir une femme changer de couleur comme sa et qu’il ne déteste pas les hybrides… Ce serait dommage, moi qui le trouve physiquement à mon goût.

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Lun 2 Oct - 1:48
Les flammes cachent une belle surpriseDiana & JavierMême si cette hermoso de femme nommée donc Diana semblait s'amuser bien plus de la situation que moi, je ne pouvais pas faire l'idiota en ignorant que ce rire, avant de quoi raviver mon âme d'homme éperdument attiré. Elle me rappelait Maria et sa beauté de femme pieuse et si caliente. Je n'avais jamais été un homme porté sur la chose, mais cette bonne sœur était aussi belle qu'admirable. Hélas, en venant à Nekai, je l'avais perdu de vue, ce que je faisais difficilement sur cette jolie pelirojja. Je sentais encore la saveur de ses lèvres sur les miennes quand elle avait fait passer mon bouche-à-bouche en un sensuel baiser. Moi qui rencontrais toujours des ménagères en mal d'hommes et des chiquita tout juste majeur, j'avais quelqu'un de bien plus intéressante. Pendant que je retirais ma combinaison étouffante, je la voyais qui se baignait clairement dans cette maigre rivière et il fallait avouer. Elle savait donner envie de la rejoindre autant que de ne pas faire mon travail. Je l'écoutais qui me parlait de ceux qui avaient provoqué l'incendie et avaient dû entendre à la suite un grognement de ma part. Je maudissais tous ces humains infoutus de respecter la tipo et de ne pas être de vrais dangers publics, même si intérieurement, je le remerciais pour une seule chose : cette Diana. J'ignorais si c'était l'incendie ou cette femme en tout cas, je me retrouvais à retirer également ma veste et donc exposer la multitude de tatuajes sur mes bras et le haut de mon torse visible au travers de ce fichu T-shirt de corps. Ça ne serait vraiment pas aujourd'hui que le Javier que j'étais, allait faire son obligacion de catholique praticante. Je n'allais pas renier la bible et la Santa Madre même pour une femme, mais j'étais là de devoir toujours fuir les femmes comme des moscas sur une viande avariée. Je me rapprochais donc bien d'elle en croisant les bras en ayant de prendre un air neutro ? « Encantado seniora Diana. Je n'ai hélas croisé aucun de ses cuatro de loco d'humains, mais le collègue resté au camion devrait les voir venir ou les autres pompiers avec moi. Surtout, si vous avez encore mal aux poumons, dites-le que nous nous éloignons encore de l'épicentre. Si je peux éviter que la hermoso de femme que vous êtes soit, disons encore mal, cela serait préférable. Je dois avouer que je ne vous demandais pas de vous excuser, mais si vous voulez un autre beso, il suffira de demander.»

Moi qui n'étais jamais du genre à avoir ce genre de méthode et surtout de draguer, je l'avais clairement fait là. Surtout en ayant le sourire. Au point qu'en entendant l'un des collègues arriver à ma suite avec sa combinaison et surpris de me voir découvert, je perdais mon sourire aussi vite qu'il était venu. « Javier, ça va ? » « Bien sûr que ça va. » « On doit raccompagner cette femme ? » « Non, je m'en occupe. Elle m'a dit qu'elle avait vu quatre randonneurs, ceux qui ont déclenché ce maldito de merdier. » « Quatre randonneurs, ok, je vais prévenir les autres, tu restes là ? » « Oui, je vais m'assurer que mademoiselle va bien et je vous retrouve… Plus tard. » Il me fixait longuement avant de lever la tête vers le haut, de soupirer et de rebrousser chemin en remettant son casque. L'incendie derrière avait l'air de commencer à s'étouffer lui-même et si tout se passait bien, dans une bonne heure il n'aurait plus rien de bien dangereux à part du sol malléable et noirci par le feu et sa chaleur. Afin de tenter de mieux rassurer la femme des plus deseable, je m'asseyais sur un des petits rochers autour de l'eau dans laquelle baignait encore Diana. Elle avait beau être verte et sans doute tout sauf normale, j'étais très mal placé pour l'ouvrir sur le sujet. Je l'appelais légèrement avant de faire brûler ma main. « Diana, si je peux vous appeler par votre prénom, voir vous tutoyer. Je suis aussi hybride que vous, enfin que toi. Sauf que moi, c'est par le feu que je suis né, une salamandre. Tu es une plante, c'est ça ou je rêve ? Moi qui pensais que l'on se moquait de moi au service, j'aurais mieux fait de fermer ma gran boca et de les écouter pour une fois. » Je soupirais, avant de me gratter la joue. Je n'étais clairement pas le meilleur pour discuter étant donné le peu de dialogue que j'avais dans ma vida.

Je me frottais ensuite la nuque assez embarrassé de ne pas savoir comment aborder une question muy rapido, mais qui aurait le mérite de mettre les choses au clair. Je préférais savoir si cette hermoso de Diana avait un homme dans sa vie avant de venir avec mes botas les pieds dans le plat. Je n'aimais déjà pas m'immiscer dans la vida des gens, mais encore plus quand cela penchait dans le côté emocional de cette dernière. J'ouvrais et fermais le poing pendant qu'une flamme naissait avant de disparaître entre mes doigts sans me rendre compte que cela devait fasciner ou du moins attirer l'attention de la belle plante. Una planta dont le charme avait de quoi faire battre mon corazon perdu et solitaire depuis trop longtemps. Je soufflais en baissant la tête, me la massant alors que la flamme se répandait sur cette dernière avant que je ne l'éteigne en grognant puis que je fixais Diana. « Ce n'est pas mon genre seniora Diana, mais une question idiota me vient en tête. Êtes-vous, enfin es-tu célibataire ? Que je sache si je suis un cabron de vouloir disons…M'intéresser à toi ou si je suis un pompier suerte et que je tente ma chance ? Oh et si mon espagnol te fait défaut, je vais tenter de faire des efforts, mais c'est plou fort qué moi. Et si je peux ajouter, tu es une hermoso enfin une femme magnifique.» Je me raclais la gorge en soupirant avant de tourner le visage vers le coté en essayant de ne pas la regarder. Je n'étais vraiment pas fait pour aborder les femmes et j'avais sans doute été totalement ridicule à vrai dire. Que la Santa madre ne se moque pas de moi, je tentais de vivre avec mon temps aussi.


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Mar 3 Oct - 18:11
Les flammes cachent une belle surprise

feat. Javier




Je l’observais enlever sa combinaison pour dévoiler une sorte de… Tenue de soirée, je pense, enfin je supposais. Je ne voyais que rarement des humains habillés ainsi dans les rues de la ville, sauf le samedi ou le dimanche, sans comprendre pourquoi. M’enfin, les humains avait des habitudes bizarres que j’avais, depuis longtemps, arrêter de chercher à comprendre, c’était trop compliquer, surtout depuis que j’avais appris que certains jours était fêter pour rien du tout… Oui, comme le premier avril, par exemple ! Mais… Javier portait bien cette tenue, elle lui donnait un air beaucoup plus… classe. Je l’écoutais parler, souriant doucement à cause de son accent et des mots qu’il employait. Je ne comprenais pas tout mais c’était assez facile de deviner pour certains ! Mais je riais sincèrement sur la fin de sa phrase : certes, j’avais osée l’embrasser pendant le bouche à bouche, mais je n’allais pas non plus me jeter sur lui. Mais… Il avait réveillé mon côté séductrice et joueuse, je dois l’admettre… Je voyais également d’autres tatouages, me demandant s’ils avaient une signification particulière ou non. Il en avait beaucoup, mais je trouvais que cela lui allait bien et en plus sa attisais ma curiosité, me donnais envie de mieux le connaître. Je mettais de l’eau dans mes mains pour m’arroser la tête avec, trempant mes cheveux au passage, mais tant pis, sa sèchera tout seul. Je me cachais comme je pouvais dans l’eau en entendant la voix d’un inconnu, le fixant avec de grands yeux ouvert.

Mais je me calmais vite en voyant qu’il était un des collègues dont parlais Javier il y a quelques secondes. Je les laissais discuter en me remettant debout, l’eau coulant le long de mon corps me faisait un bien fou et ma peau avait enfin retrouvée une couleur acceptable. A la fin de leur discussion  je regardais l’autre homme s’en aller, avec un air blasé… Javier n’avais pas le droit de rester ici ? Je suivais l’homme tatoué du regard pendant qu’il allait s’asseoir sur des rochers au bord de la rivière. Je lui faisais un sourire en hochant la tête pour répondre à sa question du tutoiement. Après tout, il m’avait sauvée et ne s’enfuyais pas en courant alors que j’étais verte, il pouvait bien m’appeler par mon prénom et me dire ‘tu’. Mais mon regard fut vite attirer par ce qu’il avait dans la main… Il pouvait faire du feu, comme ça, sans aucuns soucis ? Je fixais la flamme, assez fascinée et je m’approchais doucement, comme hypnotisée. Mais je repris mes esprits, pour pouvoir répondre à sa question, assez hésitante. Après tout, même s’il était pompier et hybride, je ne le connaissais pas tant que ça… Je soupirais doucement en posant une main sur ma hanche, le regardant alors qu’il avait l’air assez gêné, sans que je ne sache pourquoi.

-Oui, vous… Tu peux me tutoyer et m’appeler Diana, après tout, c’est mon nom, Javier… Je suis effectivement une plante, mais ce ne serait pas drôle de dire laquelle tout de suite. Une salamandre… C’est la première fois que j’en vois une… Et non, ce n’est pas un rêve, après les animaux, les hybrides plantes sont là. Peu de personnes sont au courant, et ça nous arrange que les humains pensent que nous ne sommes qu’une légende urbaine.

Je riais doucement, mon sourire toujours aux lèvres. Cela pouvait paraître bizarre que je souris autant alors que la forêt brûlait mais j’étais comme ça : toujours joyeuse, a essayer d’apporter le bonheur autour de moi. Prononcer le nom de Javier m’avais fait tout drôle, surtout que je devais avoir l’air ridicule à ne pas savoir le prononcer comme il le fallait… Je remettais bien mon pantalon qui commençait à glisser à cause de l’eau lorsque que je remarquais  que Javier semblait jouer avec la flamme dans ses mains. Je m’approchais de nouveau doucement, sans qu’il ne le remarque car il semblait absorbé dans ses pensées. Je me trouvais à présent à moins d’un mètre de lui et je fixais cette flamme qui se rependait maintenant sur son crâne avant de disparaître totalement. C’était comme de la magie, mais avec le feu, je trouvais cela totalement fascinant. Je me sentais attirée comme un papillon vers une fleur ou une mouche vers une dionée. Je rougie en voyant qu’il me fixait, me sentant d’un coup gênée de l’observer comme ça. Mais je rougie un peu plus à ses paroles alors qu’un sourire se formait au coin de mes lèvres. Est-ce qu’il s’intéressait à moi, ou je rêvais ? Moi qui disais hier à Marty que je me sentais seule et que j’aimerais bien trouver quelqu’un… Est-ce que c’était le hasard ou le destin ? Je ne savais pas, mais je n’allais pas laisser passer l’occasion de mieux connaître ce pompier tout feu tout flammes. Je m’assis doucement à côté de lui à la fin de sa phrase, remarquant qu’il n’osait plus me regarder. Il… Il était assez timide, en dessous de ses tatouages apparemment… C’était mignon !

-Il n’y a pas  vraiment de question idiote. Oui… Oui, je suis célibataire donc non, je ne pense pas que tu sois un… Un ‘cabron’ de t’intéresser à moi… Oh, je n’ai rien contre ton espagnol, en fait je trouve ça assez sexy ! Même si je ne comprends pas tout, je pense arriver à traduire certains mots ! Merci, pour le compliment. Tu n’es pas mal non plus, tu sais, Javier…

J’avais finis ma phrase en prononçant son nom dans un soupir, ayant peur de mal le prononcer, mais en le regardant, espérant croiser son regard pour lui montrer que l’intérêt qu’il me portait était réciproque. Je me levais, pour me placer face à lui, dans l’eau, et légèrement penchée en avant, mes cheveux tombant sur le côté. Je ne voulais pas qu’il se sente gêné d’avoir osé demander ça, après tout il était le premier à me le demander, les autres hommes se contentant simplement de me dire des choses pas toujours bonnes à entendre. Je souriais doucement, essayant d’attirer son attention, sans vraiment remarquer d’une des bretelles de mon haut avait doucement glissé le long de mon épaule. Je tendais doucement la main vers son visage, voulant le relever pour qu’il me regarde mais je la rabaissais, ne voulant pas faire quelque chose d’inapproprié. Je cherchais un sujet de conversation qui pouvait enlever sa gêne, mais je me voyais mal parler du beau temps alors qu’un feu brûlait toujours un peu non loin. Je restais penchée vers lui, parlant doucement.

-Tu es le premier à me demander ça, tu sais… C’est gentil de ta part et je dois avouer que c’est agréable de croiser un homme avec un temps sois peu d’éducation sur ce sujet… Alors… Merci, Javier. Oh, dit-moi, c’est la première fois que je te vois, alors que j’ai toujours vécue ici… Tu es à Nekai depuis longtemps ?


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Mer 4 Oct - 22:17
Les flammes cachent une belle surpriseDiana & JavierJe sentais que cette hermoso n'avait rien de celles que je pouvais croiser devant la caserne ni dans la rue. Avoir des tatouages sur le corps, un accent soit disant bueno et a priori une bonne gueule, c'était surtout fastidiosos. Je recevais souvent des courriers de femmes que nous avions été voir en interventions avec souvent des avances bien crues. Merda, je n'aimais pas ce genre de lettre, car je ne savais jamais quoi y répondre. L'amour et moi s'était comme le feu et l'eau, loin d'être compatible. Pourtant, cette femme avait le don de me rendre aussi perplexe qu'intéresser. Au point que relever le visage quand elle me parlait non sans avoir remarqué que les flammes que je provoquais avait le don de l'attirer vers moi comme des insectes vers la lumière. Enfin, elle était mucho plus belle qu'un vulgaire insecte. Elle était donc l'une de ses hybrido plantes dont j'avais entendu parler sans plus. Au moins, j'avais dû tomber sur la plus belle de la bande, même si elle préférait ne pas dire son hybridation. Je n'étais pas un expert en botanique alors à part lever les épaules comme un idiota, je ne trouvais rien à lui répondre sur ça. Je n'avais pas pu retenir un sourire presque crispé par ma gêne, en l'entendant prononcer mon prénom. Ce n'était pas encore ça, mais pour une fois que quelqu'un faisait l'effort de tenter. Je savais la passion que pouvait avoir cette bande d'idiota d'humain pour ma langue natale. L'espagnol, même si je le mêlais comme un cabron avec mes propres expressions. La vue de Diana en train de remettre son pantalon, le corps trempé par l'eau avait de quoi me faire me poser pas mal de questions. Cette hermoso était en train de me rendre loco ou j'avais vraiment envie de la rejoindre pour faire le Javier escanto ? Toujours est-il qu'elle revenait vers moi non sans avoir les joues rojo sous mes remarques. J'étais franc avec cette seniora et je préférais l'être totalement. Je me décalais légèrement afin qu'elle puisse s'asseoir à côté de moi avant de reporter mes iris fuego sur cette pin-up de la nature. Ce n'était sans doute pas la comparaison la plus parfaite, elle en avait tous les airs. Des formes à faire tomber même l'homme rarement attiré par la chose que j'étais. Un sourire qui me berçait déjà le corazon comme jamais et un charme indéniable. C'était bien la première fois que je parlais d'une fois de la sorte, mais tant pis.

Instinctivement ou sous son petit humour, je lui rendais son sourire un peu moins crispé qu'auparavant. Elle était fuerte la Diana pour me faire sourire aussi facilement que Maria. Je crois même que j'y retrouvais un peu d'elle dans cette hermoso de femme plante. Elles avaient toutes les deux la même manie de me regarder avec un grand sourire et que ce soit la nonne ou la jolie plante, j'en étais déjà bien adicto en si peu de temps. Dire que dernière nous, pendant qu'on faisait plus amplement connaissance, l'incendio continuait de brûler les feuilles et les arbres. Je la regardais se lever et ce que je voyais avait de quoi me rendre encore plus loco bon sang. Cette…vista, ce escotado, bon sang qu'elle avait été gâtée par la nature. Je décrochais bien vite mon regard de sa poitrine en me rappelant que ce n'avait jamais été quelque chose de spécialement courant et correct envers une femme. Même ma mama si elle avait été encore là ou la Santa madre m'aurait approuvé de ne pas insister mes yeux sur son buste généreux. Je sentais bien qu'elle voulait que je la regarde un peu plus dans les yeux même si elle s'était ravisée. Je me demandais si ma remarque sur sa bretelle tombante était de circonstance, alors dans un naturel bien à moi, je me chargeais de lui remettre avant de l'attirer sagement sur mes genoux. « Je ne suis pas le plus bueno des hommes et j'ai fait des ravages étant jeune, mais je serais un idiota de ne pas te respecter. Tu es une femme qui semble… Hum pétillante ? Pleine de vie, même, alors c'est bien normal. Et ne m'en veux pas, mais tu fais déjà une première impression assez terrible, enfin dans le bon sens. » Je l'avais prise sur mes genoux et en tendant la main volontairement devant nous, je refaisais apparaître une fuego dans ma main en la faisant danser non sans me permettre de plonger mon visage contre les cheveux de la belle plante.« Pour être honnête, tu es la seconde femme que j’approche de la sorte et crois-moi, tu peux en être flatté. Pour te répondre ma hermoso, je viens d’en-dehors de Nekai, de Porto-Rico, un endroit où on parle ma langue remplie de gang, de drogue, de meurtre et autre. Après tout, tu es prévenu, je ne suis pas de base un bon gars. Enfin, tout dépend avec qui, avec toi par exemple, je veux bien faire l’effort. »

Alors que je finissais par embrasser sa joue à la limite du cou en la gardant contre moi, j’entendais l’agitation de mes collègues avant de reposer Diana sur le rocher. Je marquais un blanc en regardant cette magnifico femme avant de poser ma main tatouée dans ses cheveux en l’embrassant brièvement avant de filer rapidement à environ plusieurs mètres d’elle. Elle était suerte de pouvoir assister à ce que même mes collègues ne savaient décrire. Lentement, j’entrais dans les flammes qui s’enroulaient autour de mes doigts, de mes jambes et de mon tronc avant de finir comme aspirer par mon corps. Je m'accroupissais en restant immobile dos à elle ayant simplement cette humo du feu qui s'échappait de tout mon corps comme de la vapeur. C'était un peu ma méthode pour calmer les flammes quand même l'eau et la mousse anti-incendie n'y arrivait pas. Malheureusement, c'était aussi bien douloureux au point de retourner vers Diana non sans grimacer et serrer les poings. Je me reposais alors dans l'eau, à moitié contre son buste et son ventre en la fixant. Je devais encore avoir cet air de perro battu, mais tant pis. Je levais la main vers son visage avant de sourire faiblement, entre deux grimaces. Elle était magnifique et dieu sait que j'avais envie de lui dire encore et encore. Je soufflais des paroles légèrement en la fixant toujours. « J'étais venu à Nekai à cause d'un homme et de son père, ceux qui avaient fait de moi un monstre, mais si te rencontrer est le signe que ça peut changer, alors tu me laisses t'emmener joli signe du destin et t'avoir pour moi, Diana ? Tu es une plante, moi le feu, mais je saurais te réchauffer sans te brûler, t'éclairer sans t'éblouir, tu sais. » Je ne savais pas si c'était elle qui me rendait comme ça, en tout cas ce n'était pas désagréable, pour une fois.

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Dim 8 Oct - 20:06
Les flammes cachent une belle surprise

feat. Javier




Cet homme semblait assez gêné devant mes formes… Est-ce qu’il était comme Marty, et qu’il voulait que je sois plus habillée que ça ? Désolée, mais là on n’était pas chez moi, donc je ne pouvais pas vraiment y faire grand-chose… Je le remerciais d’un sourire lorsqu’il remit en place ma bretelle, et fus légèrement flattée qu’il ne reste pas fixé sur mon décolleté. Enfin un homme qui savait que ce n’était pas vraiment agréable et qu’on préférait qu’on nous regarde dans les yeux quand on parlait. Cela me changeait des humains qui ne savaient pas regarder ailleurs que ma poitrine ou mon fessier. Ce qui me rappel ma rencontre avec Marty, où il était tombé de sa chaise, le pauvre. Je reportais mon attention vers Javier lorsqu’il m’attrapa doucement pour me poser sur ses genoux. J’avoue que j’étais surprise, mais ce n’était pas désagréable, il fallait que je l’avoue. C’était bien la première fois que quelqu’un me prenais sur lui sans me demander son avis et que je ne le remette pas à sa place. Je ne savais pas trop si c’était parce que cela faisait longtemps que j’étais seule ou si c’était parce que c’était Javier qui le faisait… Je l’écoutais en posant doucement ma tête sur son épaule, espérant que cela ne le gênerais pas. Je fronçais un peu les sourcils lorsqu’il me dit qu’il n’était pas le meilleur des hommes : mais qui pouvait l’être de nos jours ? Je n’étais surement pas la meilleure des femmes non plus, et ce n’était pas un drame en sois…

Je reportais mon attention sur sa main tendue lorsqu’il fit apparaitre une flamme, tout en gardant ma tête sur son épaule. Franchement, je sens que je n’allais jamais m’habituer à ce truc, c’était énorme quand même… Au moins il n’aurait jamais froid en hiver. Je souriais doucement en sentant qu’il se mettait dans mes cheveux, mais je ne disais rien car cela ne me gênas pas, c’était même… Assez agréable, en vérité. Je fus étonnée de son aveux, j’aurais pensée qu’il aurait eu plus de… Conquêtes ? Je me demandais pourquoi il avait fréquenté si peu de femme… Peut-être la peur de finir en brochette ? Je le regardais pendant qu’il répondait à ma question, étonnée de croiser quelqu’un qui ne venais pas de Nekai. Porto-Rico… ? J’en avais entendue vaguement parler mais seulement de nom, je ne connaissais pas plus que ça. Je haussais les sourcils au mot ‘gang’, me demandant ce que c’était : une bande d’amis ? Vue la suite de la liste je n’étais pas sûre… Je ferais des recherches, pour comprendre. Je rougissais bêtement à la fin de sa phrase, quand même assez flattée qu’il veuille faire des efforts pour moi, avant de frissonner sous son baiser, étonnée qu’il ose faire ça. Il n’était pas censé être un homme timide avec les femmes ?

Je tournais légèrement la tête en entendant du bruit, surement les collègues des Javier. Je le regardais alors qu’il me reposait sur le rocher, étonnée qu’il me porte aussi facilement, souriant doucement lorsqu’il glissait sa main dans mes cheveux avant de le regarder bouche bée lorsqu’il m’embrassa, les joues rougissantes. Il m’étonnait de plus en plus ce Javier ! Penchant la tête, je l’observais, me demandant ce qu’il comptait faire en allant vers… Dans les flammes ? Je me levais, légèrement paniquée, il comptait ce faire rôtir vivant ou quoi ? J’avançais d’un pas, prête à lui demander de sortir des flammes avant de rester à le regarder… Aspirer les flammes ? Je ne savais pas trop comment le qualifier, mais c’était étonnant. Je n’aurais jamais pensée voir une chose de ce genre un jour dans ma vie. Je reculais lentement, me rasseyant sur les rochers lorsqu’il revint vers moi, assez choquée : comment il arrivait à faire cette chose ? C’était assez impressionnant ! Je le regardais, désolée de voir qu’il avait l’air de souffrir, le pauvre… Je frottais doucement ma joue contre sa main levée avec un regard triste, j’avais mal pour lui de le voir dans cet état. Je l’écoutais, souriant grandement, attendrie par ses paroles. Je caressais sa joue du bout des doigts, cherchant mes mots pour lui répondre.

-Tu sais… Je ne suis pas du genre à juger les gens sur leur passé… Je ne trouve pas que tu ressembles à un monstre, même avec tous tes tatouages. Je te trouve même charmant, à vrai dire. Tu es le premier homme que je rencontre qui… Me fixe dans les yeux, on va dire. Je ne pense pas être un signe du destin, juste une dionée qui passait par là. Mais… Si ça te conviens, on pourrait… Apprendre à se connaître, passer du temps ensemble ? Et… Comme le dit ta description, tu serais… Un peu mon soleil ? Enfin, entre autre.

Je riais doucement, pas vraiment gênée de ce que je venais de dire. Après tout il en fallait beaucoup plus vue mon caractère. Je le fixais, le regard doux, cherchant à savoir s’il souffrait encore ou non. Les doigts qui se trouvaient sur sa joue glissèrent le long d’un de ses tatouages jusqu’à effleurer son cou. Je me penchais légèrement vers l’avant pour lui embrasser doucement le front. Je souriais doucement, comme je le faisais souvent avec les gens que j’appréciais. Et je ne sais pas pourquoi, mais je sentais que cette salamandre et moi, nous allions bien nous entendre. Je sentais que sous ces tatouages se cachais quelqu’un de gentil, enfin quand il le voulait comme il le disait si bien.

-Tu souffres encore ? Est-ce que je peux faire quelque pour t’aider ? Si tu as besoin de… Je ne sais pas, manger, par exemple… Mon chez-moi n’est pas loin et j’ai de quoi manger pour toi… Ce n’est pas grand-chose mais tu m’as sauvé la vie alors… C’est la moindre des choses. Si tu as besoin de quoi que ce soit… Je serais heureuse de te donner un coup de main, Javier… D'ailleurs,
tu devrais éviter d'aspirer les flammes, si ça te fais tant souffrir, non?



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Lun 9 Oct - 1:00
Les flammes cachent une belle surpriseDiana & JavierMes yeux n'avaient pas quitté ce visage d'ange, celui de cette plante si belle, si atractiva au point de me montrer presque docile. On ne dominait jamais el diablo, el fuego, mais avec cette Diana, je faisais une exception. Elle lui disait elle-même, elle ne me jugeait pas sur ce que j'étais. Au moins le respect que je pouvais porter pour cette hermoso de femme ne passait pas inaperçu à ses yeux ce n'était pas plus mal. Comme si ses mots chassaient mon mal, je me sentais de plus en plus soulager de cette douleur caliente dans mon poitrail et le reste de mon corps. À la place, j'avais simplement envie de lui répondre oui en me laissant emporter dans l'élan. Le fait qu'elle me dise que je serais son sol me faisait sourire faiblement alors que ma main entourant la sienne en entrelaçant nos doigts légèrement. J'avais pensé trouver des blessées, peut être un mort dans l'incendie, mais pas une femme sachant si bien m'attiser comme un feu sauvage. Je tentais de retenir mes pensées sensuales pour moi, même s'il ne m'aurait pas été difficile d'imaginer la bonita dionée dans une tenue bien moins habillé. Je sentais sa tierno sur mon front et ma peau en fermant les yeux. Je n'avais que très peu de moment de calme, de paix dans ma vie, alors j'allais profiter de la présence de ce rayon de soleil dans ma journée, autant que possible. Je restais sagement contre son corazon en silence afin de mieux m'apaiser. J'étais une flamme en constante combustion, mais parfois, j'aimais m'éteindre afin de m'enflammer à nouveau. « Non, la douleur s'est apaisé au fil des mots que tu prononçais, jolie dionée que tu es. Je serais loco de ne pas dire oui de suite, car je veux connaître bien plus cette plante dont le feu commence déjà à avoir envie de partager les journées. Je n'avais pas le choix, sinon ces idiota auraient passé encore deux bonnes heures à en venir à bout. Je suis un danger pour eux, mais je reste leur meilleure solution contre le fuego. Tu sais ce dont j'ai besoin Diana, c'est d'une femme dans mon corazon. Il est tellement asséché par la solitude que si je pouvais avoir une dionée dans ma vie, je serais l'homme le plus contento de tout Nekai. »

Je me relevais lentement en emportant Diana par les hanches doucement avant de marcher en la portant dans mes bras et contre mon torse. « Tu me fais la guia afin que je ne me perde pas dans ce bosque et qu'on puisse arriver chez toi ? » J'avais parlé avec un ton calme et presque bien plus posé que quand j'avais tenté de la faire revenir à elle en lui mouillant le visage. D'ailleurs, c'était un sacré esfuerzo de ma part, moi qui détestais l'agua. Normal quand on était né du feu le plus brûlant possible, de ne pas aimer l'eau. Je lui jetais parfois des regards alors que mon visage neutre reprenait instinctivement un air plus doux sous son regard que d'ordinaire. Elle était sans doute une occasion et une raison valable pour que le démonio des flammes s'apaise et laisse simplement le pompier profiter de cette invitation. Je suivais ses indications en la dévorant du regard par moment, mais sans jamais descendre plus bas que son cou avant d'arriver devant une sorte de grotte. Merda, une telle femme habitait donc dans un endroit aussi…Humido et sombrio ? J'avais accepté son invitation, donc j'allais me faire violence et la suivre chez elle. Elle avait dû voir ma grimace ridiculo, vu sa main sur la hanche. Cabron que j'étais, si j'avais été plus discret, mais bon, j'assumais toujours mes actes et ça n'allait pas changer encore une fois. « Ce n'est pas contre toi mi hermoso, mais je suis une braise constante, donc l'humidité, s'il y en a dans ta maison, ça risque de me faire vite déchanter. L'agua et moi n'avons jamais été amie, et même si tout à l'heure, j'avais le corps à moitié dans l'eau, ce n'était pas par plaisir. D'un autre côté, je dois avouer que j'ai la peur de la profondeur marine, donc ce devrait aller ici. Bref, guide moi encore ma Diana et je te dirais tout ce que tu veux sur moi. » Ce n'était pas des mensonges après tout, j'aurais donné mon corazon à cette hermoso de plante tant elle me plaisait.

Je restais près de l'entrée en croisant les bras avant de me sentir emporter par cette belle de la nature non sans lâcher un merda sonore et tout sauf discret. J'entendais son rire non sans lutter pour ne pas succomber sous l'atractivo de Diana. Mes mains se glissaient bien vite autour de ses hanches alors que je la dominais légèrement de ma taille. Je n'étais peut-être pas le Porto Ricain le plus grand de ce pays, mais à Nekai, je restais quand même une pointure en taille. Je laissais mes yeux se balader sur son visage puis son buste avant de me racler la gorge et de m'asseoir sur ce qui semblait être un lecho de cette plante. Je me doutais que pour elle ça devait être parfait, mais moi dormir sur un tel meuble, m'aurait brisé le dos deprisa. J'étais maintenant une nouvelle fois assis, en laissant mes iris dévorer les siens non sans sourire à cette femme. Je prenais ses doigts dans ma main. « Que veux-tu savoir de moi Diana dis-moi ? Tu avais l'air attiré par mes tatouages tout à l'heure, alors autant te faire un plaisir très rare, que j'offre peu. » Je retirais mon T-shirt avant de me relever, pour reprendre ses doigts délicatement. « Je peux te les citer par ordre de date et te dire leur raison, mais cela sera long, car j'en possède beaucoup et certains ont des histoires sombres, la part que je cache le plus. Donc à toi de voir si tu préfères continuer d'être attiré par le pompier ou si tu veux savoir ce qu'il a été avant. Au fait, tu m'as dit, toi-même ce que tu étais, une jolie dionée. Si j'avais su que les dionées pouvaient avoir une ambassadrice aussi envoûtante, j'aurais pris fleuriste et pas pompier, en métier. » J'avais pris un sourire taquin à ma propre blague, trouvant pour une fois que mon humour n'avait pas laissé à désirer, surtout devant une femme dont j'attendais plus que je le pensais.


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Mer 11 Oct - 15:57
Les flammes cachent une belle surprise

feat. Javier




Pour un homme qui contrôlais le feu, je le trouvais assez calme, même lorsqu’il semblait souffrir. Je souriais doucement en le sentant entremêler nos doigts : je trouvais cela mignon, même si je savais que généralement c’était les couples qui faisaient ça. Mais ça ne me gênais pas que Javier le fasse, sans savoir pourquoi, j’aimais assez en vérité. Je souriais doucement à ses paroles, assez contente d’entendre que lui aussi souhaitait me connaître un peu plus. En fait, j’étais rassurée : il ne prenait pas mal le fait que je lui propose de but en blanc d’apprendre à se connaître pour voir… Si on se plaisait vraiment. Je riais légèrement à la remarque sur ses collègues, les pauvres qui se faisaient traités d’idiots sans être là. D’un côté, Javier avait aidé à ce que le feu ne se propage pas plus, mais il en avait souffert, et je n’avais pas trop appréciée du coup… Je n’étais pas le genre de femme à se pâmer devant un homme qui risquais sa vie pour la sauver : ma vie n’avais pas plus de valeur qu’une autre et une mort valait mieux que deux. Oui, c’était assez bizarre, mais c’était ma façon de penser. Ses paroles me firent rougir : la dionée dont il parlait, c’était moi ? Enfin, je pense que oui parce que les hybrides de mon espèces ne courraient pas les rues, et apparemment il n’en avait pas rencontré avant moi. Je poussais un petit cri de surprise lorsqu’il me souleva pour me porter : j’étais si légère que ça, vraiment ? Ou alors il était assez fort pour me porter aussi facilement, au choix.

Hochant la tête à sa demande, je le guidais tranquillement, installée dans ses bras et contre son torse. Il n’avait pas l’air encombré de me porter ainsi, et j’avoue que je trouvais cela assez drôle, surtout quand je ne laissais pas n’importe qui m’approcher comme il le faisait. Certes, j’étais très sociable, mais je n’étais pas tactile avec quelqu’un qui, à mes yeux, ne le méritait pas. Je le regardais doucement, constatant qu’effectivement, il avait l’air plus en forme qu’en revenant des flammes tout à l’heure. C’était quand même impressionnant ce qu’il arrivait à faire, cet homme… Je posais doucement ma tête sur son épaule, continuant de le guider en le regardant, tellement je connaissais la forêt. Du coup je pouvais en profiter pour poser doucement mon regard sur lui, ses tatouages, son air si sérieux qui s’adoucissais sans que je ne sache pourquoi. Je me demandais ce qu’il avait pu vivre pour ce considéré comme un ‘monstre’ et ne laisser aucune émotion apparaître facilement sur son visage … Je tournais mon regard vers mon chez-moi lorsque nous arrivons devant, soupirant de soulagement en constatant que le feu n’avais pas été jusqu’ici. Cela me faisait un souci en moins ! Une fois à terre, je mis ma main sur ma hanche, amusée de l’air dépité de Javier devant ma ‘maison’. J’espère qu’il ne s’attendait pas à une maison quatre étoiles en pleine forêt… Je secouais la tête en souriant doucement à ses paroles, certes cela avait l’air sombre et humide, mais ce n’était que l’extérieur. J’avais fait en sorte que l’intérieur soit vivable pour pouvoir faire un feu et vivre sans tout le temps tomber malade, il n’avait rien à craindre. Aucune goutte d’eau ne tomberait sur lui. Je fis un sourire en coin, coquin et taquin.

-Promis Javier, ce n’est que l’extérieur qui parait aussi… Humide. Aucune goutte d’eau ne tombera sur ton corps… Et aucun poisson ne nage à l’intérieur, juré. Tu ne crains rien, parole de dionée.

Je l’attirais à l’intérieur, non sans rire de l’injure qui sort de sa bouche. Il faudrait que je travaille l’extérieur de la grotte aussi apparemment, pour qu’il soit plus enclin à venir me rendre visite dans le futur. Je rougie doucement à mes pensée : est-ce que je venais de m’avouer que j’avais envie qu’il revienne ? Il semblerait… Et puis, s’il ne venait pas, j’allais venir à lui, ce n’était pas un problème réel ! Il suffirait que je m’habille comme les humaines, et le tour était joué. Je rougissais doucement sous le regard de Javier, qui me dominaient légèrement en taille et ce n’était pas pour me déplaire. Il fallait avouer que c’était assez rare de voir un homme qui me dépassait, d’habitude ils faisaient à peut-près la même taille que moi. Je souriais encore plus lorsqu’il se racla la gorge en s’asseyant. Est-ce qu’il n’assumait pas d’avoir regardé ou… Ou alors, au final je ne lui plaisais pas physiquement ? Ce serait bien la première fois que cela arrive mais comme on dit : il y a une première fois à tout. Je le laissais attraper mes doigts, souriant doucement à ses paroles avant de rougir brusquement en détournant le regard lorsqu’il enleva son t-shirt. Il savait qu’il était bien fichu ou non ? Hey, mine de rien cela faisait longtemps que je n’avais pas vue un homme comme sa moi, c’était presque de la torture !  Je retournais mon regard vers lui lorsqu’il attrapa de nouveau mes doigts, toujours les joues rouges, évitant de le regarder plus qu’il ne le fallait. Oui, je me faisais violence pour ne pas le mater, par respect au fait qu’il ne l’avait pas fait avant. Je riais doucement à ses paroles, constatant que lorsqu’il le voulait, il pouvait être drôle.

-Je ne suis pas attirée spécialement par le côté pompier, en vérité. Je ne sais pas pourquoi, mais c’est comme si j’étais un insecte attiré par ta lumière. Et même si c’est long, j’ai envie de te connaître, Javier. Peut-importe ce que tu as fait dans le passé, ou à cause de qui, tu resteras mon beau sauveur à moi.

Je souriais tendrement, me mettant en face de lui et le poussant doucement pour qu’il se rasseye sur mon lit. Je sais que beaucoup de personnes auraient des pensées perverses en voyant cette scène, mais ce n’était pas ma préoccupation principale pour le moment. Je plongeais mes yeux dans les siens et une fois qu’il fut assis, je m’asseyais face à lui, et sur lui, espérant qu’il ne le prenne pas mal. Je caressais du bout des doigts les tatouages sur son visage, doucement, et avec un sourire assez tendre. Mon regard s’arrêta un instant sur ses lèvres et je du remonter assez vite vers ses yeux pour résister à l’envie de l’embrasser.

-Je ne voudrais pas prendre tout ton temps non plus, après tout tu as un travail… Mais… J’aimerais au moins en apprendre plus sur toi, tu pourrais me parler des tatouages sur ton visage ? En échange, je répondrais à tes questions, comme ça on sera quitte, Javier…


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Ven 13 Oct - 22:57
Les flammes cachent une belle surpriseDiana & JavierJe ne m'étais jamais trouvé bien drôle dans ma vida de tueur d'humain et flamme sur pied. Même avec mon métier de bombero où je sauvais bien plus de gens que je pouvais en laisser mourir dans les flammes injustement, je ne me sentais pas meilleur. Faire des bonnes actions en pagaille n'allait pas pour autant effacer l'ardoise. Surtout quand cette dernière était recouverte du nombre de mes victimes, provoquées ou non par leur problème arrogance. Je n'étais pas une bonne personne, pas plus que l'hybride le plus respectable, mais cela la hermoso Diana, elle ne s'en souciait pas vraiment. J'avais de quoi ne plus savoir sur quel pied danser devant cette plante qui se fichait du démon sous ce bois de chair et appréciait l'écorce tatouée, blanche et charmante, selon elle. Voir la volonté de cette femme à se ficher de ce que j'avais fait en étant attiré comme un papillon vers le fuego dangereux ne faisait que la rendre encore plus désirable. Alors, quand elle me poussait à me rasseoir sur le lit, je la laissais faire avant de l'accueillir sur mes cuisses, mes mains sur ses hanches, ses doigts sur mon rostro. Je l'entendais me demander les significations de ses marques à l'encre qu'elle touchait et comme promis, j'allais lui offrir une réponse. Elle prenait tout son temps avec moi, alors j'aurais été un cabron de ne pas prendre le mien pour elle. Elle le méritant amplement. « Tu sais, de base, j'étais en congé hermoso Diana. Alors, je peux bien rester aussi longtemps que je le souhaite ici, je suis mon propre chef. Pour ce qui est de mes tatuajes, je pense que je vais faire simple pour tout t'expliquer, alors j'espère que tu es prête ma belle plante. Bon, déjà comme tu as pu le constater le tatouage le plus visible sur mon visage, c'est un calavera. Je l'ai fait en tout premier quand j'ai commencé à me faire tatouer en prison, afin qu'on me respecte. Ils jouaient tous au jefe pour savoir qui était le meilleur alors je leur ai rappelé qui était le vrai chef. Ensuite la faux est en gros un rapport que j'ai toujours été aussi bon pour faire le bien, que faucher les gens. Le feu devant lequel tu t'émerveilles, il tue très bien et efficacement. Les traits au-dessus de mon sourcil, c'est… Le nombre d'hommes que j'ai réduit en cendres et bossant pour le fils de celui qui m'a exploité. Un moyen de me rappeler ceux qu'il m'a poussé à buter pour arriver à lui. Et enfin El Diablo, c'est le surnom que l'on me donnait avant à Porto Rico, mais aussi en prison et maintenant à Nekai. Je suis un sauveur pour toi, un tueur pour d'autres et crains de beaucoup. » C'était sans doute le meilleur résumé de ce que j'étais à vrai dire. Pour elle, j'avais l'étoffe d'un blanco caballero à ses yeux, ce qui rendait la chose encore plus ironique, vu mon métier et mes meurtres que j'avais totalement assumés.

Je gardais le visage calme et neutre après avoir terminé de lui raconter la vida de mes tatuajes. Elle était seulement la seconde senora après Maria à être au courant de ce que cachaient et représentaient toutes ces marques sur ma peau. Aussi bien des preuves de ce que j'avais vécu que du demoniaco que j'avais été aux yeux de bien des humains. Né des flammes d'un brasero de bien des craintes, j'étais l'hijo del fuego, la salamandre du démon, Javier. En face de moi, j'avais une femme sublime, une hermosa de plante si exquise, qu'il m'était difficile de ne pas vouloir l'embrasser encore. Surtout en sachant qu'elle le voulait tout autant. Je n'avais pas ignoré son regard perdu sur mes labios avec envie. Je glissais l'une de mes mains dans son dos avant de la remonter vers son cou pour lui offrir ce qu'elle désirait tant : uno beso. Rien de cabron ni de violent, juste comme il fallait. J'avançais mon visage vers le sien avec douceur avant de déposer mes lèvres en la sentant participer au baiser. Cela ne m'étonnait plus vraiment, il était clair que cette ravissante planta et moi avions de plus en plus envie que chacun apprenne de l'autre pour former un tout a deux. En prenant sa main lors du baiser, je frôlais l'intérieur de cette dernière en espérant qu'elle comprenne le message. Je savais que c'était un geste très tendencioso, mais si elle avait assez de jugeote, ce dont je ne doutais pas, elle comprendrait. Ce n'était pas une idiota de plante juste bonne à trôner dans un salon, elle était pleine de vie, de charme et d'humour, pas pour me déplaire. Je brisais ce beso avec regret avant de la fixer longuement dans les yeux. Je remettais sagement de ma main tatouée elle aussi, l'une des mèches dignes d'un fuego ardiente, derrière l'oreille de Diana. J'avais croisé de belles femmes depuis que j'étais pompier, mais elle avait le don de me rendre presque trop calme, c'était aussi curioso qu'alentador.

Je bougeais légèrement les épaules en reposant mes yeux sur celle de ma jolie hôtesse du soir avant de contracter naturellement les muscles. Je n'essayais pas de faire le gallito devant elle ou de la charmer. Elle avait elle-même avoué que je lui plaisantais et mon aveu avait eu le mérite de mettre au clair que cela était réciproque. Je reposais mes mains sur ses hanches en laissant sa nuque en paix. « Tu sais, je repense à ce que tu as dit tout à l'heure mi hermosa. Si tu étais un insecte et moi la lumière, tu ne voudrais pas être uno palomilla plutôt qu'une mouche ? Parce qu'il est clair que tu serais plus belle en l'un qu'en l'autre. Je ne vais pas te demander d'où tu viens, enfin, je pourrais, mais je me doute qu'étant une plante, tu es né d'autres plantas. Par contre, je ne me rappelle pas d'avoir croisé une si jolie rouquine en ville alors, restes-tu ici toutes tes journées ? Tu as peur du feu tout en ayant une attirance pour l'une de ses sources, n'est tu pas un peu loco de risquer la combustion ? Je suis aussi intéressant que cela pour que tu oses vouloir mes baisers aussi vite ? Je suis un homme croyant, un fanatique de dieu et des flammes sans être pour autant l'homme parfait. Une chose est sure, je te suivrais où tu veux mi hermosa, enfin ma belle Diana. Raconte-moi ce que tu désires sur toi, tout ce que tu veux que je sache, que je me pende à tes lèvres encore longtemps. » J'ouvrais ma main après l'avoir présenté devant ses yeux sans trop l'approcher d'elle pour faire naître une flamme. Sa couleur changeait au fil des secondes, passant du vert, au bleu en passant par le violacé et le rouge.« Beaucoup voient en moi un tueur et c'est le cas, mais même les plus atroces des démons, ont un jour été des anges. » Un maigre sourire se posait sur mon visage tout en fixant mon propre spectacle, car même si je lançais une vérité difficilement à nier, j'avais parlé sans détour.

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Dim 22 Oct - 20:36
Les flammes cachent une belle surprise

feat. Javier




J’étais assez soulagée qu’il ne soit pas gêné par le fait que je me serve de lui comme ‘siège’. J’avais pour habitude de n’en faire qu’à ma tête, sans vraiment me soucier de l’avis des autres. Mais je n’avais pas envie de blesser ou de me mettre Javier à dos. Non pas que je craignais pour ma vie, mais justement, parce que je voulais qu’il entre vraiment plus dedans. Dans ma vie, pas dans autre choses, gardez vos pensées perverses pour vous, merci ! Je laissais ses mains se poser autour de mes hanches, frissonnant discrètement. Il fallait avouer que c’était bien l’une des premières fois que je me laissais toucher aussi facilement par un homme. D’habitude il fallait bien quelques semaines pour au moins me laisser caresser les cheveux. Après tout, tout le monde dit que je suis pacifiste mais cela ne veut pas dire que je suis une femme que l’on qualifierait de docile. Je l’écoutais tranquillement m’expliquer, sans l’interrompre, me permettant même de le regarder dans les yeux, un air curieux sur le visage. Je souriais doucement lorsqu’il me dit qu’il était en congé, comme quoi même lorsque vous n’êtes pas censé travailler, on vous appelle quand même. Au final, ça avait des inconvénients mais aussi des avantages d’être une hybride ‘sauvage’. Je haussais un sourcil à l’explication de son premier tatouage, ne comprenant pas trop en quoi un crâne pouvait montrer que vous étiez le chef d’un endroit. Mais j’étais aussi étonnée d’apprendre qu’il avait fait de la prison. J’étais peut-être une inculte du monde des humains, mais ça, je connaissais, et ce n’était pas les bonnes personnes qu’ils envoyaient là-bas. Certes, Javier m’avais bien dit qu’il n’était pas un enfant de cœur, mais je ne me doutais pas que c’était jusqu’à aller en prison. Je hochais la tête à l’explication de la faux, me doutant du coup du pourquoi il était en prison, vue comment il la décrivait.

Je le regardais droit dans les yeux à l’explication des traits au-dessus de ses yeux, montrant que malgré ce qu’il me disait, ce qu’il m’avouait, je n’avais pas peur de lui. Je comptais doucement, voulant tout de même savoir combien de vie il avait pris pour l’homme lequel il travaillait, si j’ai bien compris. Ensuite, je reportais mes yeux sur son dernier tatouage, avec un petit sourire : pour moi, il serait toujours Javier, et non El Diablo. Mais au moins, si j’en entendais parler je saurais de qui les gens parleraient. Je lui caressais doucement la joue, sans peur, sans crainte de finir en cendre. Je ne sais pas pourquoi, mais savoir tout ça sur lui ne me donnais pas envie de fuir, au contraire. Il avait vécue des choses pas roses, il avançait tout de même avec ce fardeau sur ses épaules, et je trouvais cela admirable. Il était bien plus facile d’enterrer son passé, de faire une croix dessus, que d’avancer avec des souvenirs sur la peau, nous rappelant tous les jours ce que nous sommes ou avons fait. Je comprenais mieux cet homme face à moi, et ça me donnait encore plus envie de le faire sourire, ou le rendre heureux. C’était, de base, dans ma nature, mais d’habitude il me fallait connaître un minimum la personne, alors qu’avec Javier, cette envie était venue naturellement, d’un coup, sans crier gare. Est-ce que c’était ce que les gens appelaient le coup de foudre ? Mais là, se serait plus le coup de feu… Je le laissais passer ses mains dans mon dos, étonnée de la sentir remonter vers mon cou avant de sentir ses lèvres se poser sur les miennes. Je fermais les yeux, souriant intérieurement en lui répondant doucement. Lui qui me semblait légèrement timide au départ, le voilà qui viens m’embrasser. Pas que cela me déplaisait, au contraire, j’étais juste étonnée. Je frissonnais en sentant sa caresse au creux de ma main, sentant mes joues chauffer d’un coup. Je ne savais pas ce que cela voulait dire chez lui, mais chez moi cela exprimais une envie de…. Comment dire, corps à corps ? Oui, on va dire que c’est ça. Je le laissais remettre mes cheveux en place à la fin du baiser, les joues encore rouges et le regard curieux, me demandant si le message était le même pour nous deux. Je fixais ses muscles, l’écoutant doucement avant de rire à ses questions.

-Tant de questions ! Mais ne t’en fais pas, je répondrais à chacune d’elles. Un papillon…. Pourquoi pas, même si être une plante me suffis largement. Si tu veux savoir d’où je viens, c’est très simple : je n’ai jamais quittée Nekai, j’ai grandie dans cette forêt, sans avoir de maître, juste avec ma famille. Tu es un flatteur, mais effectivement, je quitte rarement la forêt mais il se pourrait… Que j’aille plus souvent en ville qu’avant, pour avoir une chance de te revoir. Il faudrait bien sûr que je trouve des vêtements plus… Humanisés si on peut dire, sinon je vais encore avoir les chasseurs aux fesses…

Je le regardais doucement, un sourire en coin aux lèvres. Je faisais un peu exprès de laisser un blanc sur la réponse concernant le fait qu’il m’intéressait ou non. Une femme doit parfois se faire désirer, ma mère le répétait souvent à mon père, et c’était assez drôle de voir la tête qu’il faisait lorsqu’elle partait en remuant les hanches. A l’époque, je ne comprenais pas, mais aujourd’hui je m’amusais à appliquer ce conseil. Je remettais en place une mèche de cheveux dissidente avant de remettre en place ma bretelle qui avait encore glissée. Hm, il faudrait que je vérifie si elle ne c’était pas déformée lorsque je suis tombée avant l’incendie.

-Sache, Javier, que je suis effectivement un peu folle. Je tiens à la vie, mais je suis une plante sauvage, même pacifique, j’aime bien jouer un peu… Avec le feu. Et puis, j’ai envie de te connaître, quitte à finir en encens. Et… Le dernier baiser, je ne te l’ai pas volé, tu me l’as donné de toi-même, tu sais… Que pourrais-je te dire sur moi… Je suis une plante, née d’autre hybride plantes… J’ai perdu mes parents et élevée ma petite sœur toute seule. Aujourd’hui elle est partie voir si le monde est plus intéressant que Nekai… Je ne sais pas trop quoi dire d’autre, mais si tu as des questions pour moi, je serais heureuse d’y répondre…

Je lui souriais doucement, fixant d’un coup la flamme qu’il avait créé. Je savais que le feu pouvait avoir plusieurs couleurs, mais je ne me doutais pas qu’il y en avait autant. Je reportais mon attention sur lui lorsqu’il se mit à parler, arborant une petite mine triste. Je gardais mon regard fixé sur son visage, répondant doucement.

-Tu as beau avoir tué des gens, tu es venu ici pour commencer une nouvelle vie non ? Alors, ange ou démon, peut-importe, vis comme tu l’entends. Et puis, t’es pas si atroce comme démon, je trouve. Seul le regard des gens que tu aimes ou apprécie devrait compter pour toi, oublies les gens qui ne jugent que par les apparences ou des on-dit… Enfin, ce ne sont que des conseils, tu n’es pas obligé de les suivre.


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Mar 24 Oct - 17:06
Les flammes cachent une belle surpriseDiana & JavierLe soin que prenait la hermosa Diana à me fixer et à profiter avec moi de ce moment avait un côté presque alentador. Avec la vida que j'avais vécu depuis ma naissance les aléas et les meurtres, on ne pouvait pas dire que les amis couraient les rues dans mes connaissances. On pouvait compter plusieurs carbon de collègues autour de moi au travail, mais en dehors, c'était le desierto le plus complet. Je ne me plaignais pas vraiment de cette situation, car je restais de base un solitario. Je préférais passer mes journée seul et en silence que dans une foule loco et insupportable. Autant éviter d'autres homicidio inutile sur mon tableau des gens à qui j'avais fauché la vie. Je retenais un soupir, car c'était si negativo de ma part de ressasser les choses totalement évidentes dans ma vida. Et puis, j'avais une sublime plante sur les cuisses, ce n'était pas le moment de broyer du noir. Planta qui d'ailleurs semblait avoir compris mon geste dans le creux de sa main. Elle avait les joues rojo, ce qui lui donnait un air assez mignon ? Hum ça devait être ça, je n'avais tout de même pas l'habitude d'utiliser ce genre de terme. Je l'écoutais silencieusement comme ma madre m'avait appris avec sagesse pour en apprendre plus sur la sublime planta qu'elle était. Alors cette caverna, cette selva était là où elle était venue au monde ? Non sans forcément me surprendre, j'avais imaginé bien des choses, mais pas la plus simple et la plus clara. Elle avouait que j'étais flatteur et il aurait été difficile de ma part de nier que je ne l'étais pas un peu. J'adorais la taquiner comme un idiota, sans savoir ce qui me poussait à oser autant. Ma vida était toujours carrée, rangée, mais pour une fois, je sortais des sentiers battus afin d'approcher Diana. Même si mon silencio persistait comme toujours, je ne la quittais pas des yeux. Elle faisait naître en moi par son sourire et sa beauté, une flamme nouvelle, c'était curioso, mais bueno à vrai dire. Au point de venir serrer sa main après ses derniers mots, afin de la fixer dans les yeux. « À vrai dire mi hermaso Diana, je n'ai pas vraiment d'amis, si tu veux tout savoir. Non pas que je sois le diablo de toujours avec le monde, mais on préfère me fuir que rester en ma compagnie. Alors, si je dois me faire un avis en me souciant que de celui de mon alrededor, je vais pouvoir me fier qu'au tien. Tes conseils sont justes, mais tu dois avouer que je suis curioso comme bombero. À savoir avaler les flammes, à les contrôler et à les dominer. » En finissant mes mots, je fermais mes doigts emprisonnant le fuego entre mes doigts avant de les rouvrir pour laisser à Diana le constat de mon contrôle.

Je réfléchissais aux questions qui pouvaient bien me venir tout en retenant que je l'intéressais assez pour qu'elle prenne le risque en tant que planta de se frotter au fuego dont j'étais l'engeance et le prolongement. J'avais déjà croisé la route de femme aussi loco qu'elle, sans compter Maria, mais il y avait chez celle nymphe des bois, une chose en plus. J'ignorais si c'était son assurance, son humour et cette décontraction qui me plaisait tant. Je venais glisser ma main sur sa joue sans quitter du regard ses yeux. Si le spectacle était hermoso encore une fois et je me retenais de l'embrasser à nouveau. Nous étions attirés comme des aimants, ça ne faisait aucun doute. Je prenais ses mains pour les reposer sur mes joues avant de lui offrir un autre maigre sonrisa. Il allait falloir que je m'habitue à être moins duro et distancia en sa présence, je lui devais bien cela. Elle avait pris le memonto de m'écouter sans faire plus de commentaire que prévu. Elle voyait plus loin que l'homme qui avait tué et fait du mal. Je n'étais pas la meurte devant son regard, ni la faucheuse, mais un homme brisé, avec un lourd passé sur les épaules. Dans un soupir, je lui affichais une mine un peu triste avant de me fendre d'un sourire amer. « Tu sais mi hermosa, avant toi, j'ai connu une certaine Maria. Une nonne qui comme toi voyait en moi le bon plus que le mauvais. Sauf qu'elle a dû couper nos relations, l'église ne l'autorisait pas à côtoyer le danger que j'étais. Alors, si tu t'attaches à moi sois en sûr, car il se peut que me côtoyer ne t'attirer pas les faveurs de beaucoup de monde, au contraire.» Mon ton serio ainsi que mon air quelque peu mélancolique avait de quoi indiquer à la belle planta que je n'étais pas un seul instant dans le trait d'humour. Cette historia avec Maria avait brisé mon corazon plus d'une fois et rien que d'en parler, je me sentais bizarro.

Tout en sentant ses mains sur mes joues, je reposais mon front contre celui de Diana. Je réfléchissais à tant de choses et pourtant, même si mon air était brisé, je voulais me changer les idées. Alors, j'osais encore une fois sans réfléchir. « Je ne sais pas si c'est une véritable question en fait, mais je me demandais ce qu'il se passerait si je faisais ça… » Comme un cabron, en portant Diana dans mes bras, je la plaquais sur le lit de fortune qu'elle m'avait indiqué en la surplombant de mon propre corps. Je ne voulais rien forcer dans notre rencontre, mais comme elle n'avait a priori rien contre ça, je préférais me permettre. Quitte à prendre le risque de me sentir dans la merdia plus tard si elle me calmait dans mon élan. Une main sur sa hanche, le regard dans le sien, je me mordais la lèvre comme un jeunot. Idiota comme jamais, j'avais agi sans savoir quoi faire par la suite et en glissant mes doigts sur les courbes de ses hanches, je lui offrais un sourire taquin. « Tu sais Diana, tu n'as pas besoin de vestido pour couvrir ton corps si tu veux me voir, il suffira qu'on se revoie, ici. Maintenant que je connais le chemin par cœur, je pourrais revenir rapidement dans ta caverna pour te couvrir encore de passion. Je suis parfois caliente sans m'en rendre compte, alors si tu préfères attendre, repousse donc le fuego, je ne me vexerais pas. » C'était la vérité, aussi ardiendo que je pouvais l'être, je n'aurais pas pu m'emporter devant cette hermosa Diana un seul instant. La preuve, de mes dedos je venais parcourir son flanc lentement pour en épouser les courbes. J'approchais finalement mon visage de son buste sans le toucher avec un sourire. « Mi hermosa Diana, tu aimerais devenir ma planta, la seule et l'unique hein ? » Je lançais ça avec un air taquin et un regard tendancieux, en espérant qu'elle soit claire si elle ne voulait pas ou au contraire me suive dans cette folie si loco. Quoi qu'il se passe entre elle et moi, tout n'était que charme, sensualité et… humeur caliente.


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Dim 12 Nov - 19:58
Les flammes cachent une belle surprise

feat. Javier




Sa main prenait la mienne, et j’entrelaçais nos doigts doucement, le laissant parler en l’écoutant calmement. Il était si seul que ça ? Je ne devais pas être la seule à ne pas avoir peur de lui quand même… Certes, il savait contrôler les flammes, mais je trouvais que ce n’était pas une raison suffisante, il n’avait pas cherché à me nuire, il m’avait même sauvé… Son passé moi au fond, c’est pas que je m’en fichais au contraire ça m’aidait à le comprendre, mais il était venus ici pour se faire une nouvelle vie, et apparemment les gens avait du mal à le comprendre. Je levais doucement mon autre main pour lui caresser doucement la joue avant de la laisser retomber doucement le long de mes hanches. Je savais bien que c’était fou, mais Javier m’attirais et je ne pouvais pas le nier. Pourtant on se connaissait à peine, même si je savais des choses sur lui, on c’était rencontrer il y à a peine deux heure… Et pourtant, j’avais envie d’en savoir plus sur lui, de le faire sourire même si ça promettait d’être dur et plus que tout ça… J’avais envie de le voir heureux et si possible avec moi. Je sais, c’était dingue, mais c’était exactement comme ça que ma mère était tombée amoureuse de mon père. Je le regardais dans les yeux pendant qu’il recommençait à parler, prenant un air triste lorsqu’il me dit qu’il avait connus une femme mais qu’il avait dû lui dire ‘adieu’ à cause des circonstances. Mais un petit sourire fleuris de nouveau sur mes lèvres lorsqu’il finissait sa phrase. Ne savait-il pas que j’étais déjà un peu attachée à lui, et surtout que je me fichais des autres ? Je le laissais prendre mes mains pour les poser sur ses joues, en profitant pour les caresser doucement avec un sourire.

-Javier, il faut que tu saches que je me fiche du danger. Autant venant de tes propres flammes que venant des autres. En plus j’ai déjà surement les chasseurs aux fesses à cause de ma dernière… visite en ville. Une histoire de pommes, de hyène blonde et de batte de baseball que je te raconterais si tu veux. Et Javier, les faveurs des autres ne m’intéressent pas… Les seules que je serais heureuse d’avoir se sont les tiennes…

Mon sourire s’agrandi encore plus avant d’être remplacé par un petit cri de surprise lorsqu’il me porta avant de me plaquer contre mon lit. Je le regardais, une lueur étonnée mais curieuse dans les yeux. Où était passé le Javier hésitant et un peu intimidé par la plante que j’étais ? Il était plus grand et plus fort que moi, mais avec ses doigts sur mes hanches, j’étais mieux que jamais : je sentais des frissons me parcourir doucement pour s’intensifier lorsqu’il arborait un sourire que j’aimais beaucoup. Décidément Javier était plein de surprise et c’était loin de me déplaire. Je souriais à nouveau lorsqu’il prit la parole, il était mignon à me proposer de revenir ici mais il avait une vie, un travail alors je pouvais bien sortir de mes bois pour aller voir l’homme qui faisait naître une flamme toute nouvelle dans mon cœur. Je passais un de mes bras autour de son cou, riant doucement lorsqu’il me dit que si je le voulais je pouvais l’arrêter. Mais la vraie question c’était si je voulais vraiment l’arrêter… Je n’avais pas pour habitude de batifoler avec quelqu’un que je venais à peine de rencontrer mais lui, il était différent… Il pouvait me toucher, me regarder et me parler autant qu’il le voulait, je le laisserais faire avec plaisir. Je rougissais doucement lorsque sa tête s’approchait de mon buste, soupirant un peu de frustration lorsqu’il s’arrêta pour reprendre la parole. Je le fixais, étonnée mais avec un petit sourire en coin. Est-ce qu’il me demandait d’être sa copine ou sa femme, là ? Parce qu’honnêtement ça ressemblait étrangement à une demande en mariage, même si je n’y croyais vraiment pas, il fallait avouer que c’était mignon. Son regard me fit me mordre doucement les lèvres, alors que je lui lançais un regard assez chaud.

-Tu me propose d’être ta copine… ? Alors que t’es au-dessus de moi, la tête presque entre mes seins… ? C’est une demande assez osée, mais c’est ce qui me plait. J’accepte d’être ta plante si tu veux être mon brasier, Javier…

Je passais les doigts de ma main libre sous son menton pour lui faire doucement relever le visage, approchant doucement le mien. Je soufflais doucement sur ses lèvres avant de l’embrasser avec un sourire. Je lui mordillais la lèvre inférieur avant de redescendre ma main et d’attraper le lacet qui fermais le devant de mon bustier et de lui glisser le bout dans la main, avec un regard taquin. C’était une chose que j’aimais bien, provoquer les gens pour voir s’il voulait vraiment ce qui se passerait ensuite. J’offrais à Javier la possibilité de tirer sur ce lacet, ce qui lui prouvait que non, je n’étais pas contre aller plus loin avec lui, au contraire. Je collais mon corps contre le siens en reculant doucement mon visage, lui faisant un sourire taquin. Laissant le lacet dans sa main, la mienne trouvais doucement le chemin vers son torse, que je caressais du bout des doigts, constatant que c’était bien utile qu’il ait enlevé son haut tout à l’heure. Au point où on en était, je lui laissais clairement le choix de s’arrêter ou non, alors qu’il savait que je n’étais pas contre. Je le regardais dans les yeux en penchant doucement la tête sur le côté, étalant mes cheveux sur mon lit comme si ils étaient des flammes. J’étais assez fière de ma chevelure, car je n’avais jamais croisée quelqu’un d’autre avec cette couleur autant en ville que dans la forêt. Il fallait dire qu’une plante avec une chevelure de feu c’était assez surprenant.  Je l’avais héritée de ma mère, mais maintenant qu’elle n’était plus là j’étais la dernière rousse de la famille. Je me mordais doucement les lèvres, attendant le verdict de Javier quant à la suite des évènements.

-Je ne compte pas te repousser alors… A toi de voir ce que tu veux faire, mi hermoso.


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Lun 20 Nov - 1:31
Les flammes cachent une belle surpriseDiana & JavierToujours en continuant dans notre folie, je souriais à cette magnifico de Diana en l'écoutant. À l'entendre savoir que j'avais tué, que j'étais un fuego instable n'avait pas l'air de l'apeurer un seul instant. Elle semblait aimer le peligro que je représentais au point de suivre mes avances et de les acquiescer. Difficile de ne pas sentir mon corazon rater un battement quand elle venait coller un peu plus son corps digne d'una diosa afin de m'embrasser. Il n'avait rien de sabio dans nos gestes, mais je crois qu'elle comme nous, ne voulions pas l'être. J'avais passé plusieurs années, après le départ de Maria estar solo. Devenant un hybrido pieux et croyant à la limite du fanatisme. Je croyais dans la force des miens et sur le fait que les humanos ne méritaient pas leur place, ni leur superior. Je n'oubliais jamais l'heure de rezar, chapelet dans la main et mains jointes. Pourtant, ce soir, je n'allais pas prier, au contraire, j'allais faire sans doute le plus beau des péchés. Cette Diana était si encantadora que j'en perdais mes pensées ayant déjà oublié combien mes collègues devaient m'attendre. Ils allaient bien comprendre cette bande de cabron que j'avais besoin de mon espace vital et que pour le coup, la mujer en détresse, allaient partager ma nuit enfin, j'allais plutôt partager la sienne. J'approchais mon visage du sien afin de lui redonner un beso en glissant ma main sur sa nuque, en filant dans sa melena de fuego pour la rapprocher de moi et rendre le beso plus caliente. Il durait peut-être quelques segundos voir plus et c'est reculant le visage que je fixais le lacet entre mes doigts. Je ne retenais pas un sourire totalement franc et un regard qui en disait long sur l'estupidez que j'allais encore faire avec elle. Tout chez cette planta et mujer me donnaient envie de n'être plus le dangereux monstro qui tuait les gens, mais simplement comme avec Maria, una ángel incandescente. « Tu sais mi hermosa, t'entendre parler espagnol comme moi, ça te donne un certain charme. L'accent n'est pas parfait, mais tu fais l'effort de vouloir encore plus comprendre el diablo, alors il serait fácil de ma part de ne pas le reconnaître. Même si tu te fiche del peligro, soit tout de même prudente, que je ne sois pas obligé de montrer pourquoi on me craint, aux autres. On est à peine nous plus qu'un toi et moi, mais si on te touche, je serais un brasero tirador. Enfin, je sais que je vais arrêter de parler de choses négatives et… profiter avec toi de ce que la chaleur peut nous faire faire. » Je ne comptais pas nier mes paroles et encore moins ne pas faire l'idiota en profitant de ce que j'allais voir.




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Mer 29 Nov - 13:30
Les flammes cachent une belle surprise

feat. Javier




Si un jour on m’avait dit que je passerais la nuit avec quelqu’un que j’avais rencontré dans la journée, j’aurais surement rit au nez de la personne qui l’avait dit. Mais décidément la vie était joueuse et pleine de surprise, car elle m’avait fait rencontrer Javier, avec qui je n’allais pas être aussi sage que je l’étais d’habitude. Pas que les gens utilises les mots ‘sage’, ‘adorable’ ou autre pour me qualifier, mais ce n’était pas dans mes habitudes de m’offrir à quelqu’un que je ne connaissais pas. Sauf que bizarrement, avec Javier, j’en avais envie, en plus d’avoir envie de le découvrir de plus en plus. Et je ne parlais pas uniquement de ses vêtements, mais de qui il était, les événements qui ont fait de lui la personne qu’il est aujourd’hui… Je souriais devant son regard en écoutant ses paroles, je ne savais même pas pourquoi j’avais parlé espagnol alors que je ne connaissais que les mots qu’il avait employé aujourd’hui, mais si cela lui plaisais, j’allais peut-être apprendre sa langue natale… Ca demanderais du travail, mais se serais une belle surprise, non ? Et me voilà déjà à penser à lui faire des surprises… J’avais perdu la tête depuis notre rencontre, et au fil du temps j’allais perdre aussi mon cœur, mon sixième sens me le disait. Je le regardais, assez étonnée de l’entendre dire qu’il serait énervé si quelqu’un venais à s’en prendre à moi. Je levais la main pour lui caresser la joue doucement, montrant que je ne n’étais pas une femme violente mais qu’on ne me touchait pas aussi facilement,  j’étais certes douce mais farouche également. Il fallait se méfier de ce visage que beaucoup d’hommes aimeraient frôler de leurs doigts. En attendant, mon regard était dans le sien, et je ne pouvais m’empêcher de sourire en frissonnant à sa phrase, qui était remplis de promesses et de sous-entendus. Ou alors j’avais un esprit étrange, mais je ne pensais pas, vue la situation dans laquelle on était tous les deux, Javier et moi.



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Mar 5 Déc - 16:25
Les flammes cachent une belle surpriseDiana & JavierBien, des choses me surprenaient chez cette belle planta qu'étais Diana. Mi corazon avait été bien longtemps le désert d'un désespoir que je n'osais illustrer. Comme un cabron, je n'vais fais que me rejeter la faute encore et encore après ma rupture. Perdre Maria avait été une stupida de défaite que je n'avais jamais réellement avalée. Pour moi, la cause n'avait pas été ou la religión, mais bien moi. Le fuego dont j'étais l'avatar, l'illustration même de l'incandescencia était bien plus un péché originel qu'un miracle.


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Mer 21 Mar - 16:20
Les flammes cachent une belle surprise

feat. Javier






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Dim 25 Mar - 16:17
Les flammes cachent une belle surpriseDiana & Javier


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Mar 27 Nov - 18:59
Les flammes cachent une belle surprise

feat. Javier






Les heures passaient, et lorsqu’on fut épuisés la lune était déjà haute dans le ciel et ses rayons filtraient à travers le rideau de feuilles à l’entrée de mon chez moi. Je regardais Javier, allongé contre moi sur mon lit, mes cheveux éparpillés autour de ma tête, sur mon oreiller. Je me retrouvais à rire doucement en venant coller une de mes jambes contre celle de celui qui partageait mon lit. Je laissais mes doigts parcourir lentement son corps, plus par envie de le toucher que par désir comme quelques heures plus tôt. Je devais avouer qu’il était rare qu’un homme me fasse autant d’effet, tellement rare que c’était la première fois que cette activité durait aussi longtemps pour moi. Je venais poser mes lèvres sur sa joue, doucement e tendrement.

-Je n’ai pas besoin de te dire que c’était super, n’est-ce pas ? L’état de mon lit est une preuve bien suffisante.

Je lui faisais un clin d’œil taquin avant de rire doucement en lui caressant la joue, passant mes doigts sur ses tatouages qui signifiaient beaucoup pour lui, mais qui pour moi signifiaient surtout qu’il avait eu une vie difficile. Chacun avait un côté sombre, le sien était marqué sur sa peau. Je me levais doucement, restant en tenue d’Eve, allant chercher un verre d’eau pour Javier avant de boire moi-même en le regardant. Il détonait dans ce décor naturel, il me semblait venir d’un autre monde… Je savais à cet instant que la vie en pleine nature n’était pas faite pour lui, et que la ville lui convenait bien mieux. A partir de cet instant, je me disais qu’il faudrait que je m’habitue finalement à aller plus souvent en ville, si j’espérait le voir assez souvent. Car oui, j’avais envie de revoir cet homme tourmenté, comme jamais je n’avais eu envie de revoir un des hommes que j’avais déjà fréquenté. Restant devant lui, je remettais mes cheveux en place, comme je le pouvais avant de plonger mes yeux dans les siens.

-Pour ta proposition d’un ‘nous’… Je vais être franche, comme je le suis tout le temps. J’aimerais beaucoup. Te connaître, te revoir, qu’on passe du temps ensemble… Voir ce que ça pourrait donner, avoir une chance que nous deux ça colle ? Même si apparemment physiquement, toi et moi on est plutôt franchement compatible.

Je riais en reposant mon verre avant de venir m’assoir à côté de lui après avoir enfiler mon bustier, histoire de ne pas avoir trop froid. Je venais embrasser doucement ses lèvres, espérant que ce n’était pas l’histoire d’une nuit entre nous.

-Enfin… Je suis prête à venir te voir en ville, si tu le souhaite, même si la dernière fois j’ai faillis finir dans une cage. Si je suis armée de pommes, je devrais m’en sortir !

Je gloussais de nouveau, avant de sourire en le regardant, espérant ne pas paraître pour une de ces jeunes femmes qui découvrait l’amour. Même si effectivement, c’était la première fois que je ressentais ça pour quelqu’un, je n’étais plus une enfant depuis longtemps… Je savais être une vraie femme lorsque je le voulais, mais actuellement, j’avais juste envie de me laisser aller, avec Javier, pour qu’il voit le plus tard possible mon côté sombre.


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