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Avez vous deux minutes pour parler du dieu des bois, ami barbu ? Ft. Balthazar

Anonymous





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Mer 6 Juin - 22:23

Promenons-nous dans les bois, heureusement que Balthazar est là !

Il est encore tôt quand je sors du lit. Comme un matin sur trois depuis quelque temps, je dois aller courir. Je sais que je pourrais rester dans le canapé devant un dessin animé ou avachi dans mon lit. De toute façon, personne ne me blâmera pas pour ça. Après tout, même moi j'ai bien le droit de souffler par moment et de ne pas être la jolie demoiselle modèle que je tente d'être chaque jour au travail. Enfin quand je ne renverse rien et ne casse pas quelque chose dans ma maladresse. Je suis une vraie petite boulette de douceur, mais aussi de catastrophe. Je me rend compte que j'ai encore oublié d'appeler mon collègue pour savoir s'il veut bien me remplacer la semaine prochaine. Il faut vraiment que je l'appelle, mais en attendant, il faut que je me lève. Pour une fois, je décide de prendre ma douche avant de déjeuner. Étrangement, et même si je sais que je vis seule, je n'ai pas peur que quelqu'un entre chez moi, voir dans la salle de bain pendant que je me lave. Il n"y a pas souvent âme qui vive loin de la maison et le peu de personne que je croise, sont souvent aussi agréable que courtoise. Heureusement que je n'ai invité personne, sinon ça serait terrible, enfin en quelque sorte. Bon, il y a juste mes manies comme me balader en culotte le soir, mais bon, il faut bien un début à tout. Après tout, je suis chez moi aussi, je peux bien être moins présentable. Suite à la bataille entre mon gel douche et moi, se terminant sur ma victoire, j'enfile ma tenue de sport puis file dans la cuisine. Je prépare ma bouteille de jus nutritif, mange un peu de pain aux céréales avec une pomme et me voilà prête. J'espère qu'il ne pleut pas.

Je quitte la maison en m'assurant de ne pas avoir oublié le gaz ou d'avoir fermé le robinet de la cuisine. Je peux enfin filer vers la forêt. Je traverse un chemin de terre. Loin de l'apparence assez respectable que j'ai au travail, j'ai surtout envie de me vider la tête. J'en ai marre de recevoir des appels de cet ex collant. Il ne veut pas tourner la page, il insiste, mais que moi, je veux simplement ne plus en entendre parler. Au moins, ici, je ne risque pas de le croiser ou alors ça va rendre ma journée atroce donc je préfère éviter. Je suis parti tôt ce matin, afin de ne pas perdre de temps et de ne pas encore papillonner devant mon miroir comme j'ai si souvent l’habitude de faire. Je me demande parfois si je ne vais pas croiser un beau brun en chemin ou dans la forêt qui comme moi à une la brillante idée de me sauver la vie ou de simplement lui aussi, courir dans les bois. Je glousse en rougissant avant de me dire qu'il est temps d'être plus sérieusement sinon ce footing ne m'aura servi a rien. J'accélère en montant un peu la pente pleine de verdure pour me retrouver au milieu du bois. Je file dans des chemins les uns après les autres en me disant que je sais où je vais. Sauf que ça ne me dit rien cet endroit. Pourquoi j'ai décidé de m'embarquer là-dedans déjà ? Ah oui... Pour changer de chemin, changer d'air. Quelle idée idiote. Bravo Samantha, tu es perdue.

Je tape dans un caillou en avançant, incapable de me repérer, avec le soleil dans la figure et une bouffée de chaleur. Je doute que quelqu'un puisse venir me sauver comme un véritable Robin des bois, alors je vais devoir me débrouiller toute seule. Je regarde la mousse sur les arbres, l'angle du soleil et du vent. Qu'est-ce que tu tentes de faire Samantha, sérieusement ? Je ne sais déjà pas différencier deux champignons alors faire ma petite Bear Grylls, c'est ridicule. Je tente de courir dans une direction où je crois apercevoir de la vie, mais ce n'est qu'une biche et en plus de ne croiser personne, me voilà qui me prend les pieds dans une grosse racine. Quelle gourde je fais, mais si seulement quelqu'un pouvait venir... Pourquoi je n'ai pas pris le chemin habituel, je serais en train de courir en casant les oreilles de la forêt, mais au moins, je ne serais pas perdu. Je tente le tout pour le tout, en sachant que personne ne va me répondre. « Il y a quelqu'un.. ? Répondez si c'est le cas... Je n'ai pas envie de rester comme une idiote par terre et seule. » Je grimace en me massant la cheville, j'espère que je ne vais pas boiter sinon je crois que le travail va être encore plus dur. Je crois que je ne peux qu'attendre quelqu'un, de toute façon, je suis perdue. Je pourrais faire un feu, mais en plus, je provoque un incendie, je vais avoir envie de me cacher sous ma couette pendant des années. « Hey, y a quelqu'un ? Je ne veux pas rester toute seule moi... » Je me sens si gourde et ça sera encore pire si quelqu'un tombe sur moi, allongée par terre, la cheville toute rouge et l'air idiote.

© Nye-Hael sur Epicode
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Ven 16 Nov - 17:44
Un matin comme tous les autres matins, le chant des rossignols me tirait hors de mon sommeil avec lui de doux rayons du soleil réchauffais mes carreaux. Il devait être sept heures et demie, je restais un instant à contempler mon plafond de buches, me laissant bercer par la chaleur de notre astre qui culminait haut dans les cieux à des centaines de milliers de kilomètres d’ici. J’avais tant de choses à faire aujourd’hui encore mais n’ai-je point le droit de me prélasser un peu ?

Je finis par me lever tout en douceur, ouvrant en grand les fenêtres de maison boisé au milieu des bois. Direction la cuisine pour me faire chauffer un café, ou un chocolat. Allons pour le chocolat chaud avec disons une tartine de pain beurré enfin deux, ça fonctionne par paire après tout. Une fois tout cela près je me mettais sur la table de ma terrasse, savourant lentement mon petit déjeuner, pas question de me presser, le petit dej c’est sacré pour moi !

Le temps passait assez vite une bonne heure devait déjà s’être écoulé depuis mon réveil, c’est du moins ce que je déduisais à la position du soleil. J’avais bien une horloge chez moi, même un téléphone portable, mais à vrai dire je ne me servais ni de l’un ni de l’autre. A quoi bon chercher à se chronométré à compter tout ce que nous faisons, rien ne presse nous avons toute la vie devant nous. Qu’est-ce que je plains les citadins et leur foutu confort, si demain tout disparaissait, peu survivraient j’en ai bien peur, enfin, une bonne partie le mérite, après tout.

Je parti finalement prendre une douche rapide, et m’habillant de mon accoutrement habituel, une bonne vielle chemise de bucheron rouge et noir, un jean bleu à moitié délavé, et mes bottes noir qui m’arrivaient à mi mollet, ce ne sont pas des vulgaires bottes de jardin non plus n’exagérons rien. J’aime avoir un minimum de tenu. Aujourd’hui je devais couper quelques arbres fragile qui menaçaient de tombé depuis le dernière orage, ils se situaient à l’orée du sentier que les randonneurs utilisent généralement. Bien que je n’aime pas spécialement les citadins, si un arbre leur tombe sur  la tronche, ça me fera une belle publicité, et autant évité d’être exposé au média et tout le tintouin si c’est possible.

J’ôtais ma hache de son support et prenais une pierre ponce pour aiguiser les tranchants de mes deux  lames. Croyez-moi, elle ferait facilement tomber n’importe quel membre du corps humain sans grand problème. Je posais ma pierre ponce et partait la hache à l’épaule le long du sentier jusqu’aux arbres incriminé. Enfin arrivé, je plantais ma hache à même la terre, il n’y avait pas tant d’arbre que ça à faire tomber, trois arbres et c’est fini. J’aurais le temps de cueillir quelques framboises et mures en rentrant. Un coup de hache léger et rapide, un second, m’assurer qu’il soit prêt à tomber du bon côté et non en plein le sentier. S’entamais une série de coup de hache plus violent que les précédents.

L’arbre tomba dans un grand fracas, je vis une biche gambader sans doute avait-elle eu peur du bruit, je cru entendre un une voix au loin mais sans doute était-ce le vent qui sifflait entre les feuilles. Je m’apprêtais à couper le second arbre et j’étais ce coup-ci convaincu d’avoir entendu une voix de fille. Je reprenais ma hache et retournais sur le chemin.

Quel fut ma surprise en voyant une femme aux cheveux rose à terre au milieu de nulle part. Je m’approchais supposant quel était tombé avec la racine un mètre plus loin. Je venais à son niveau, bien que je n’étais pas particulièrement friand d’être aux contactes des inconnus mais je n’allais pas laisser cette femme ici. Je m’accroupissais à son niveau avant de lui demander.

- « Hey, ça va ? Tu t’es tordu la chevilles ? »

Elle avait un beau visage, mais je pense qu’elle a dû avoir peur de rester perdu au milieu de nulle part. On était à un peu plus d’un kilomètre de la ville alors en effet ce n’est sans doute pas rassurant pour un citadin. Je la raccompagnerais chez elle si elle peut marcher, du moins. Je lui tendais ma main pour l’aider à se relever, au pire des cas je la porterais sur mes épaules tel un sac à patate. Je ne pouvais pas cacher un petit sourire sur mes lèvres en imaginant la scène.

- « Je peux te raccompagne jusqu’à chez toi, si tu arrives à marcher, on n’est pas trop loin de la ville »

Elle avait de la chance que je sois dans le coin, à croire que je suis l’ange gardien de la forêt de Nekai, entre elle et Jane, j'enchaîne les sauvetages!
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Jeu 29 Nov - 17:36

Promenons-nous dans les bois, heureusement que Balthazar est là !

Toujours aussi gourde je suis plutôt contente de voir qu'il y a bien âme qui vive dans cette forêt en dehors des animaux et de moi. Cet homme ne me dit rien, mais après tout, je ne dois pas connaître le quart des gens qui gravitent plus ou moins autour de cet endroit. Si ma cheville ne me faisait pas si mal, je crois que j'aurais été voir cet homme bien avant notre rencontre. Il a quelque chose de rassurant, même si je me demande ce qu'il peut bien faire avec une hache, seul en forêt. Il n'a pas tué quelqu'un avec, j'espère ? Ce n'est pas un tueur comme dans Halloween ? Qu'est-ce que je raconte encore moi ? Samantha, ce n'est pas le moment de paniquer, surtout qu'il a l'air de vouloir m'aider. Je lève un peu plus le nez en sachant que je dois avoir bien bête dans ma position avant de tenter de lui sourire. Il me tend alors la main en engageant la conversation. C'est sans doute par politesse, malgré tout ça fait plaisir de voir qu'il y a encore de civilité même en pleine forêt. Je prends sa main pour me relever suivi d'une belle grimace pour mieux terminer contre lui. Ce n'était pas prévu ça par contre… « Euh… Je… Oui ça va enfin sans compter ma cheville bien sûr. Si j'avais su que le terrain était accidenté, je me serais retenu de faire l'aventurière et de passer par là… » Je grimace en remettant lentement une de mes mèches rosées derrière mon oreille en me mordillant la lèvre. Je dois tellement passer pour une fille maladroite perdue alors que je passe régulièrement par là. Sans être mon milieu, j'adore courir entre les arbres et au milieu de la végétation. Il ne dit rien de plus que ce qu'il me propose, mais je sens bien qu'il me juge du regard. Il doit se dire qu'il est devant une fille de la ville. Je peux me tromper, je ne le connais pas.

Je m'adosse à un arbre en essayant de tendre la main vers ma cheville avant de voir qu'elle a gonflé et qu'elle est devenue bien plus rouge. Je ne me suis pas raté, on dirait, qu'elle idiote. Je repose mes yeux sur mon sauveur, en me rendant compte que je ne l'ai pas remercié. Un soupir et me voilà qui me rapproche un peu de lui en boitant. « Je crois que si tu veux me raccompagner bel inconnu à la hache, il va falloir… Me porter. » Je ne sais pas pourquoi je l'ai appelé bel inconnu ni la raison de ma proposition. Qu'est-ce qui me prend bon sang ?! Voilà, je suis toute rouge, les joues gonflées et j'ai juste envie de me cacher derrière l'arbre le plus proche. Même si je dois reconnaître qu'il a son charme. Il est assez grand, un petit bouc un peu farfelu et dans le fond, il ne dénote pas dans la forêt. Je suis trop curieuse, mais il faut que je sache qui il est, ce qu'il fait ou au moins son prénom, non ? Je me triture les doigts en recommençant à me mordiller les lèvres les rendant presque rosées à force d'avoir cette manie. Je sais que je suis trop curieuse, mais après tout pourquoi je ne peux pas savoir l'identité de mon sauveur de la journée après tout ? Aller Samantha, personne n'a jamais mangé le bonbon rose que tu es, alors ce n'est pas maintenant que ça va commencer. Enfin… Non ne pas commencer à penser à de drôles de choses, surtout en ce moment ! Je secoue la tête avec un petit timide avant de souffler pour mieux lui parler. « Dis-moi… Je sais que ça ne se pose pas, mais est-ce que je pourrais savoir l'identité de mon sauveur des bois ? Moi, je suis Samantha Buchanan, enfin Sam si tu préfères. Une… Fille comme un bonbon rose perdue en forêt ? Oui, je sais, il y a mieux comme présentation, mais je ne me foule pas la cheville souvent pour être franche. » Je glousse sans le vouloir puis fixe sa hache. « Tu as une bien belle hache enfin… Je crois ? Je ne suis pas trop coupeuse de bois, mais je présume que tu es bûcheron, je me trompe ? » Je tente maladroitement de faire la conversation tout en essayant de chasser au maximum que ma cheville est en train de me lancer énormément. Je ne pense pas finir par tomber dans les pommes devant lui, mais si ça continue, je vais avoir beaucoup de mal à lui cacher que j'ai mal. J'en ai vu d'autre et j'ai une certaine fierté, mais sans lui j'aurais été fière, mais surtout bien idiote et seule dans l'herbe à l'heure actuelle. Quoi qu'il puisse me répondre, j'espère de tout cœur qu'il va pouvoir le sortir totalement de là. Je me promets de lui proposer un verre ou de lui donner mon numéro. Enfin, est ce qu'il a un téléphone ce robin des bois ? Bonne question. Je vais attendre d'avoir mes réponses et je lui demande, mais avant bel inconnu, sauve-moi donc !

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